"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
Difficile à dire... Hormis la partie Néo Séoul, les autres histoires ne sont guère captivantes et pourtant je suis resté accroché pendant 2h30 à essayer de recoller les morceaux. Il y a quelques bons ingredients à picorer mais je ne vois jamais le génie très souvent vanté en ces lieux. Et même dans ses meilleurs segments, la redite est au RDV... Le projet était ambitieux mais le résultat est trop bancal à mon goût, et assez naïf surtout. Un message general anti oppression version club Dorothée soit des thematiques potentiellement fortes traitées de manière enfantine. Ça va tourner entre 5&6.
Pour le coup, je lui préfère Speed Racer qui parvient à s'affranchir de son postulat familial pour devenir une œuvre adulte. Dans Cloud Atlas, j'ai eu le sentiment inverse. L'ambition des wacho est indispensable sur la cartographie du ciné contemporain mais j'ai du mal à être subjugué pour autant. À partir du moment ou 4 des 6 segments ne m'intéressent pas vraiment, difficile d'y trouver son compte au final
En même temps pourquoi tu as maté ça ? Choix de madame ou masochisme du weekend ?
Sinon je vais me lancer la Momie 2. Je viens de me remater le premier volet auquel je met 7,5 environ; Par contre le second volet, vu qu'une fois et j'avais été assez déçu, j'espère le revoir à la hausse.
Perdu. Moins chiant, ah bon ? Oui, c'est vrai que c'était un petit peu relou les flash-backs du trauma dans le 4, mais le 5 bat des records dans le WTF, qui est abordé de manière trop sérieuse pour que ça soit fun.