Il faudrait peut-être préciser que le rythme du film est assez particulier, presque européen, ça désarçonne mais une fois digéré, on se prend une claque divine avec ce qui reste l'un derniers polars inventifs de l'ex-colonie britannique.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."