Chacun son expérience. Pour ma part, en banlieue, culturellement parlant c'est le néant aussi bien mecs que nanas. Mes sorties sur Paris me démontrent que la capitale est surpeuplée d'étudiants, donc de gens cultivés mais souvent sûrs d'eux et condescendants. Pour les femmes, je constate une chose : l'art de pénétrer des domaines n'est pas forcément leur truc. Elles restent en surface la plupart du temps. Le pire étant quand je commence à parler politique, géopolitique, philosophie, science etc...Alors là c'est mort.

(je parle de mon vécu et de mon ressentit/interprétation de certains comportements ).
Nous les mecs on aime souvent refaire le monde pendant 4h devant une bière, quitte à se mettre des vérités dans la tronche qui peuvent déprimer, démotiver et ramener assez vite les pieds sur Terre (la femme est trop hédoniste pour s'infliger ce genre de tortures intellectuelles). Je dis ça je vais encore passer pour un con mais je constate juste ça dans mon champ empirique. Pour les discussions sur le cinéma par exemple, ça sort rarement de Disney et des comédies dramatiques, et elles ont tendance à ne jamais rien interpréter, ne jamais voir au-delà du film en lui-même, parler plus de 5 min sur le même film déjà ça les saoulent. Parler "histoire du cinéma" , de la filmographie et de la patte d'un artiste = néant. Et quand je dis ça de visu à une nana je passe pour un misogyne, elle croit que je la rabaisse : NON ! Je constate juste une différence globale dans nos façons de débattre, d'analyser, d'étudier. Et ça ne vaut que pour ma maigre expérience comme je l'ai dit. A chacun de compléter et on écrira un bouquin tiens.

Et pour ma part ça fait un bail que je ne recherche plus ce style de nanas car je me suis rendu compte que tout ça c'est ce que j'attends d'un homme, d'un pote, pas d'une nana avec qui je veux me poser en couple.