[Alegas] Mes Critiques en 2024

Vos critiques de longs-métrages

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Mar 02 Jan 2024, 17:27

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar osorojo » Mar 02 Jan 2024, 17:42

Ah ok ^^
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Athlète incomplet (L') - 5/10

Messagepar Alegas » Mer 03 Jan 2024, 00:11

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The strong man (L'athlète incomplet) de Frank Capra
(1926)


Lorsque j’ai entendu parler de ce film pour la première fois il y a quelques jours, c’était uniquement parce que c’est ni plus ni moins que le premier long-métrage de Frank Capra (en tout cas, le premier où il est crédité au poste). Mais à me renseigner sur le film, la présence de Capra à la caméra est loin d’être l’élément le plus intéressant de cette production, et pour cause : The strong man est l’un des quelques longs-métrages avec pour vedette un certain Harry Langdon. Ce nom, globalement oublié aujourd’hui, est pourtant celui d’une des vedettes les plus en vue à l’époque, un acteur qu’on considère déjà comme un égal à Chaplin, et dont le succès est grandissant. Si le bonhomme est désormais particulièrement méconnu, c’est parce que son succès aura été de courte durée : en l’espace de trois ans, à cause d’une volonté d’indépendance prématurée, il passera d’acteur de premier plan à second voire troisième rôle, et tournera plus de courts-métrages que de longs jusqu’à la fin de sa vie.

Un destin passionnant qui rend ce film particulièrement intriguant, mais à la découverte du métrage j’ai quand même sérieusement l’impression que, même avec les bons choix de production par la suite, Langdon aurait bien eu du mal à rivaliser avec ses confrères de l’époque. The strong man est un film particulièrement inégal, autant dans sa construction scénaristique que dans la tentative de création d’une icône de cinéma. Pour le premier point, c’est bien simple : le récit n’a qu’un infime fil conducteur tout le long, et on a donc l’impression d’assister à une succession de scénettes comiques sans véritables liens entre elles, si ce n’est la présence du même personnage principal. Tout le début du film est assez lourdingue en termes de mise en place : ce n’est pas tant que le film prend son temps, c’est juste qu’il a tellement peu à raconter que la moindre péripétie donne lieu à des gags qui se répètent jusqu’à plus soif dans le même décor, avant de passer au suivant. On est loin, très loin de la narration bien plus fluide et dense qu’on peut trouver chez les Chaplin/Keaton/Lloyd de l’époque, et ça donne une comédie qui donne une impression de surplace toutes les dix minutes. C’est d’autant plus dommage qu’il y a des moments vraiment drôles dans le lot : le personnage de Langdon qui doit remonter une voleuse évanouie jusque dans sa chambre, son trajet en voiture jusqu’à la ville où se trouve sa dulcinée, le final avec le spectacle dans le saloon, mais ce sont des passages noyés dans un ensemble assez pénible à suivre.

Pour le point de l’icône, je trouve que le film parle de lui-même : là où un Chaplin ou même Lloyd sont capables de créer un personnage attachant à partir de peu, Langdon a bien du mal à faire de même. Son héros n’est jamais réellement attachant, ni même émouvant, c’est une coquille vide qui enchaîne les gaffes, et tout ce qu’il réussit est le fruit du hasard. Ceci dit, il y a des points d’écriture assez étonnants, à l’image de tout un gag autour d’évangélistes, qui va être développé sur un tiers entier du film avant de faire rire, ou encore l’idée d’avoir une love-interest aveugle (Chaplin aurait-il emprunté l’idée à ce film pour le reprendre cinq ans plus tard dans City lights ?), mais ça ne suffit pas à mon sens pour sauver l’ensemble. Formellement, difficile de déceler le futur Capra dans ce premier film, où il était probablement plus un exécutant qu’autre chose (il se séparera de Langdon l’année suivante). Bien que je reste circonspect devant ce que certains considèrent comme l’un des génies comiques des années 20, le film reste une curiosité intéressante, bien que très inégale. A réserver aux passionnés de la période.


5/10
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Peur bleue (1999) - 4/10

Messagepar Alegas » Mer 03 Jan 2024, 15:28

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Deep blue sea (Peur bleue) de Renny Harlin
(1999)


Ouh le vilain film que voilà :eheh: . Ça aurait pu être un plaisir coupable de compétition avec son pitch improbable (et si on cherchait un remède à Alzheimer en créant des requins surpuissants et intelligents dans une base en plein milieu de l’océan ? :lol: ), son casting qui l’est tout autant, des dialogues à se pisser dessus, et ses effets visuels.. comment dire ?... non, il n’y a pas de mots pour les décrire :eheh: . Mais malheureusement, et c’est un comble, ça cherche trop à rentrer dans le moule du film catastrophe premier degré, ce qui crée non seulement un côté cul entre deux chaises, mais aussi et surtout un rythme et des péripéties vraiment pas terribles : il faut attendre une quarantaine de minutes avant que l'élément déclencheur n’arrive, et après ça il faut se taper un grand nombre de passages qui consistent à voir des acteurs évoluer dans des couloirs inondés, on a vu plus prenant que ça :? .

Surtout que malgré ce côté sérieux souhaité, les caractéristiques et enjeux autour des personnages ne suivent pas, en témoigne Thomas Jane qui joue juste le beau gosse qui a la situation en main, ou LL Cool J qui est un cuistot croyant alcoolique et qui possède une perruche qui l’insulte constamment, faut le voir pour le croire. C’est difficile de critiquer le film car il y a des éléments qui sont objectivement nuls, mais qui participent à un effet nanar de luxe assez appréciable, et c’est clairement ça qui m’a sauvé le visionnage, avec quelques bonnes barres de rire à la clé, que ce soit LL Cool J qui se fight contre un requin dans une cuisine, Saffron Burrows qui se met en sous-vêtement pour… aucune raison :mrgreen: , un requin qui utilise un mec pour péter une vitre, ou une mort inattendue à la toute fin qui est involontairement drôle. Autant de passages qui viennent rattraper les moments nuls et/ou chiants cités plus haut, ça ne transforme pas le film en quelque chose de complètement appréciable, mais au moins on rigole.

Renny Harlin filme le tout sans grand talent, en abusant toujours des mêmes effets (bonjour les ralentis inutiles dans ce film), alors qu’il y avait moyen d’avoir un truc sympa avec cette base sous-marine. Visuellement, ce qu’on retient surtout du film, c’est vraiment ces effets visuels ni fait ni à faire : on commence le film avec des requins en animatronique, puis dès que ça part en couille ça devient des assets de cinématique PS2, là encore il faut vraiment le voir pour le croire, et du coup je m’étonne moins de la présence du film dans plusieurs listes internet des pires effets visuels de l’histoire. Côté casting, tout le monde est soit trop impliqué au point de surjouer, soit à la ramasse, mais ça participe un peu au charme nawak de l’ensemble. Probablement un film que je ne reverrais jamais, mais étrangement je peux comprendre qu’on puisse y trouver son compte, si on est aidé par quelques bières et accompagné de potes évidemment.


4/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Mer 03 Jan 2024, 15:28

Top 10 des pires FX all time.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Scalp » Mer 03 Jan 2024, 15:34

Oh y a de la compétition pour ça.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar pabelbaba » Mer 03 Jan 2024, 16:10

Pas top, mais pas si honteux.
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Dame du vendredi (La) - 6,5/10

Messagepar Alegas » Jeu 04 Jan 2024, 16:58

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His girl friday (La dame du vendredi) de Howard Hawks
(1940)


Un poil déçu vu la réputation du métrage, souvent vanté comme l’une des meilleures comédies américaines de l’époque. Alors clairement, c’est un bon film, pas de soucis là-dessus, mais non seulement je trouve qu’il y a mieux à la même époque (exemples parmi tant d’autres : Ninotchka et The shop around the corner de Lubitsch) mais en plus je pense que même Hawks a fait mieux en termes de comédies auparavant (Bringing up Baby). Ce qui pose problème au film à mon sens, c’est que c’est typiquement une comédie dont 90% de son efficacité se résume dans le flot quasi-ininterrompu de dialogues, le piège habituel de l’adaptation filmique d’une pièce de théâtre. C’est un aspect du métrage qui est à double tranchant, d’un côté, on ne peut pas reprocher au film d’être chiant : ça dure 1H30 et les péripéties et dialogues fusent à une vitesse dingue (intention avouée de Hawks, qui estimait que le passage au parlant avait ralenti le rythme des films en général), et il se passe toujours quelque chose à l’écran). De l’autre, on est face à un film qui ne prend jamais le temps de se poser, même pour quelques secondes. Cela donne un film qui essouffle son spectateur, et quand bien même je peux comprendre l’intention, je n’aurais pas craché sur un film peut-être un poil plus long, mais qui soit moins effréné dans son rythme.

Ça restera le reproche majeur que je peux faire au film, car pour le reste, il faut avouer que c’est vraiment bien foutu, en particulier du côté de l’écriture où on arrive à faire tenir debout une comédie qui tape sur toutes les institutions : journalistes, éditeurs, policiers, politiques, tout le monde en prend pour son grade dans cette histoire où chacun d’eux essayent de tirer leur épingle du jeu sur une condamnation à mort. La réussite du film doit aussi beaucoup à l’alchimie du duo Cary Grant/Rosalind Russell, mais c’est globalement tout le casting qui est à saluer, tant le moindre second rôle est bien servi. Formellement, Hawks choisit de s’effacer derrière son sujet, comprenant certainement que le rythme du métrage suffit, et qu’il n’a pas besoin d’être soutenu par une caméra qui bouge sans cesse, donc globalement la mise en scène se limite à des plans fixes ou des panoramiques, sans que ça ne soit gênant, d’autant que le film se déroule dans un nombre limité de décors. Pas une grande comédie à mes yeux donc, mais tout de même un divertissement efficace, que ce soit par son sujet ou traitement. Du coup, très curieux de découvrir le remake (ou plutôt la nouvelle adaptation) qu’en a fait Billy Wilder un quart de siècle plus tard.


6,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Jeu 04 Jan 2024, 20:26

Tu reproches au film sa note d'intention : être une screwball comedy. Le comparer à du Lubitsch n'a pas beaucoup de sens selon moi.

On est plus dans le style d'Arsenic et Vieilles Dentelles. Je peux comprendre qu'on n'accroche pas à ce rythme...

Mais ce serait un peu comme reprocher à un film d'action de proposer trop d'action.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Alegas » Jeu 04 Jan 2024, 20:33

Bah à partir du moment où il y a des screwball comedies où il n'y a pas ce rythme épuisant, je pense que je peux quand même critiquer ce point. :mrgreen:
Bringing up Baby avait bien mieux géré cet aspect, avec des respirations régulières.

Et pour rebondir sur ta comparaison, je pense que je pourrais critiquer un film s'il propose de l'action non-stop sans arrêt au point que ça en devient épuisant, quand bien même il est conçu comme un film d'action. L'important n'est pas la quantité à mon sens, mais plutôt l'équilibre au sein de tous les éléments au sein d'un film.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Jeu 04 Jan 2024, 20:34

Même s'il y a un tank ? :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar pabelbaba » Jeu 04 Jan 2024, 20:36

S'il vole, ça ne se discute pas. 8)
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Manderlay - 7/10

Messagepar Alegas » Ven 05 Jan 2024, 14:07

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Manderlay de Lars von Trier
(2005)


Bon bah j’ai bien fait de continuer sur ma lancée après le visionnage de Dogville, j’ai encore plus apprécié ce Manderlay, ce qui me surprend d’autant plus que c’est un film nettement moins cité et apprécié dans la carrière de Lars von Trier. Ce dernier décide donc de continuer l’histoire de Grace, avec l’idée de former une trilogie pour analyser les mœurs américaines (le troisième film Washington ne verra malheureusement jamais le jour, la faute aux résultats catastrophiques de Manderlay : moins d’un million de recettes pour quatorze millions de budget). Dans le premier film, il était question de pardon, de moralité, de contourner les lois pour en instaurer des nouvelles, de chercher la liberté dans ce qui se révèle être une prison, dans Manderlay, on vient titiller un sujet plus touchy, puisqu’il va être question d’esclavage.

On suit toujours Grace, qui arrive cette fois dans une plantation de cotons où l’esclavage est toujours de rigueur. Après avoir forcé la libération des esclaves, elle décide de reprendre en main l’organisation de la propriété, afin que les anciens esclaves puissent peu à peu être autonomes. De ce pitch, Lars von Trier développe des questionnements passionnants : le white savior complex évidemment, qui est au centre du récit, mais aussi des choses nettement moins politiquement correctes, notamment le fait que les esclaves, malgré leur liberté retrouvée, se complaisent à revenir à une forme de servilité, dans laquelle il retrouve un ordre et une organisation dont ils ne peuvent se passer. A la vue de ces questionnements, pas étonnant que Manderlay n’a pas retrouvé le succès de Dogville : c’est un film qui pose des questions qui fâchent, qui donnent des réponses difficiles à entendre (le film se termine en disant que, concrètement, il y aura toujours des esclaves et des maîtres pour les contrôler, quoi que l’on fasse), et plus encore que dans Dogville, le moindre choix, positif à première vue, se révèle être un désastre quelques minutes plus tard (super scène de l’arrivée de la tempête de poussière).

Et puis, contrairement à Dogville qui suivait un schéma où on devinait assez vite vers quelle finalité ça se dirigeait, ici il y a pas mal de surprises, notamment tout ce qui est lié à la loi écrite dans le bouquin de la propriétaire de la plantation, ou la storyline du love interest, autant d’éléments qui rendent le film encore plus dark qu’il ne l’était jusqu’ici, et qui permettent d’achever l’ensemble dans un pessimisme assez incroyable (les esclaves qui avouent vouloir rester tels quels + le père de Grace qui pense que sa fille suit ses traces et qui se barre, ça va loin dans la noirceur). Comme Dogville, on retrouve le concept du zéro décors, et comme Dogville ça marche très bien, ici c’est plus pour créer une continuité j’ai l’impression, le fait de ne pas avoir de murs sert moins pour la mise en scène ou le propos, mais ça reste édifiant dans la façon où, en tant que spectateur, on arrive à complètement occulter ce manque.

Par contre, très étrange de constater ce qui a pu se passer du côté du casting : autant je peux comprendre les changements d’acteurs, qui ne sont pas si dérangeants que ça (je trouve même que Bryce Dallas Howard colle mieux au rôle que Nicole Kidman), autant je trouve ça étrange de retrouver certains des acteurs du premier films dans des rôles complètement différents (Jean-Marc Barr, Chloë Sevigny, Lauren Bacall et Udo Kier) sans qu’il n’y ait de véritables justifications derrière. Enfin, côté mise en scène, c’est identique à Dogville avec une caméra hésitante, qui semble prendre sur le vif les événements. Il y a quelques passages qui font exceptions et c’est là où le métrage, formellement, s’élève à mon sens, j’aurais pas craché sur un film entier aussi inspiré visuellement, quand bien même le résultat actuel se regarde très bien. Encore un film qui me fait revoir un peu à la hausse mes considérations sur ce réalisateur, et dommage que cette trilogie n’ait jamais été conclue, il y avait moyen d’avoir quelque chose de fort.


7/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar Mark Chopper » Ven 05 Jan 2024, 14:32

Barr et Kier ils jouent dans la plupart des Trier, non ? Surtout Kier je crois.

Du coup, ça ne me surprend de les revoir dans des rôles différents.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2024

Messagepar osorojo » Ven 05 Jan 2024, 18:35

Toujours pas vu celui là qui me botte moyen sur le papier, tu m'intrigues du coup.
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