[Scalp] La Chute continue 2025

[Scalp]

Édit : j'ai oublié j'aime bien son film de pompier.

[osorojo]

Ue bah complètement d'accord, ça fait du bien de se déplacer en salle et de pas avoir l'impression de se faire voler. Pour le coup, on te vend un truc épique pas prise de tête qui sera un hommage non travesti à Brad "la classe" Pitt, et c'est exactement ce qu'on te file. Bonne séance de mon côté également, j'étais comme un gosse. J'aime bien la dernière scène qui confirme ce que tu dis du perso de Sonny Hayes.

Après moi j'avais déjà bien aimé son Maverick, donc je serai au rdv pour son prochain.

[Scalp]

Ah ben les courses ça fout la patate, t'es à fond dedans. Y a toujours une petite idée pour relancer l’intérêt, du vrai bon divertissement.

[Scalp]

6.5/10

Daidatsugoku de Teruo Ishii - 1975

J'ai trouvé plus sympa que le Violent Panic de Fukasaku alors que sur le papier y a pas photo entre Ishii (dont j'aime finalement pas grand chose, même si je suis clairement loin d'avoir tout vu mais un de ses films les plus réputés : Blind Woman's Curse j'ai trouvé ça nul) et Fukasaku. Alors on peut considérer ce film comme un spin of de la saga Abashiri Prison avec Ken Takakura qui compte 18 films (dont 10 de Ishii), c'est une saga quasi invisible en occident (me semble que quelques films sont dispo chez Arrow), ici ça reprend donc la prison (avec des condamnés à mort) mais très rapidement car au bout de 5 minutes tout le monde s'évade.
Et on va avoir un film qui se divise clairement en 3 parties, la première c'est l'évasion dans des conditions hivernales forcément difficiles avec nos prisonniers luttant contre le froid (avec des idées que j'avais encore jamais vu comme pisser dans un préservatif (surement usagé) pour en faire une bouillotte), alors cette partie je l'avais beaucoup fantasmé et je suis un peu déçu, alors c'est cool mais j'aurais aimé que cette partie survival soit plus intense (enfin moins courte plutôt car on ressent vraiment le froid) et on vire trop facilement des protagonistes du récit pour finalement se retrouver avec notre héros (Takakura forcément parfait, qui impose toujours dans ce genre de rôle de truand avec un code d'honneur) et son pote d'aventure le toujours cool Bunta Sugawara qu'on voit trop peu au final. Cette partie est donc cool mais bien trop rapide. La seconde partie voit notre héros prit d'empathie pour une femme malade et rester à son chevet dans ce petit bled bloqué par la neige, c'est une belle partie qui se termine avec un super plan (la femme nue dans la pénombre). Et puis on a la dernière partie où Takakura veut se venger car il a fini en prison par trahison de ses anciens complices et ça va donner un final dans un train sympa (où Bunta revient avec sa coolatitude, faut le voir braquer un mec)mais finalement sans grande idée de mise en scène car tout le monde se retrouve désarmé devant le shotgun de Takakura qui fera pas dans la dentelle et là Ishii peut se donner à ce qu'il sait très bien faire, les débordements gores : une tête qui explose après un coup de shotgun, un bras coupé, un oeil éclaté, des gerbes de sang bien classes dans la neige, non c'est bien graphique, c'est cool mais dommage que ça soit pas un peu plus énergique dans les idées.
Au final ça donne un bon petit film qui fait le taf (manque un truc pour que ce soit vraiment bon), on a ce qu'on est venu chercher et c'est porté par la classe de Takakura (pas pour rien que c'est lui qu'on retrouvera dans Yakuza et Black Rain).

[Scalp]

3.5/10

Per Pochi Dollari Ancora de Giorgio Ferroni - 1966

Les westerns spaghetti quand on s'aventure c'est vraiment pire que les polars, c'est pire car on peut vite avoir un coté cheap envahissant et bonne nouvelle, le film ne fait jamais cheap, alors on est pas non plus devant un truc qui a de la gueule mais au moins on a pas l'impression que ça a été tourné dans un champs. Alors on a la présence de Giuliano Gemma qui fait qu'on a au moins un acteur solide et un vrai lead avec de la présence (c'est pas un obscur acteur tombé ici par hasard) et on a la jolie Sophie Daumier, le reste du casting c'est des figurants qu'on a déjà vu.
Mais voilà c'est pas terrible, c'est con car l'idée de départ est pas mal avec un prisonnier sudiste qui doit guider des nordistes pour apporter un message qui sauverait la vie de rebelles sudistes. Malheureusement le film souffre d'un défaut majeur handicapant, le mec derrière la caméra fait n'importe quoi, on a un enchainement de péripéties qui pourrait être sympa (ça on peut pas dire qu'il se passe rien) mais tout est tellement filmé platement que c'est juste pénible à suivre, alors les bagarres de saloon je peux accepter c'était l'époque et ça a jamais été une réussite dans les westerns, mais les climax où ça se tire dessus aussi sommairement je dis non, le mec fait rien pour rendre ça sympa. C'est con car des fois y a des bonnes idées comme Gemma qui se retrouve attacher au sol avec les paupières maintenues pour que le soleil lui brûle les yeux, ça c'est de la bonne torture et la séquence est cool, et on a une bonne énergie de Gemma mais à cette mise en scène léthargique faut rajouter l'histoire quand même bien osef car terriblement mal racontée. Le côté un peu trop décontracté de l'ensemble fait qu'on en a rien à foutre des enjeux et qu'on suit ça vraiment sans grand intérêt.
Bref c'est vraiment pas terrible. (Dispo sur Arte).

[Scalp]

1/10

The Aviator de George Miller - 1985

Je me voyais déjà dire du mal de Miller et sa filmo pourrie mais voilà ici ils ont mit George Miller ( et même dans le générique du film) alors que le mec c'est George Trumbull Miller (j'ai check sa filmo y a que L'histoire sans fin 2 qui soit connu (et pourri, comme le 1 quoi)) donc je vais pas pouvoir dire du mal du visionnaire australien.
Donc ici c'est Christopher Reeves mauvais comme c'est pas permis en aviateur taciturne dans les 20's (bon y a une raison qui soit comme ça mais ça change pas la qualité du film ou de son jeu) et il va devoir convoyer la fille insupportable d'un riche homme d'affaire dans son petit avion. Alors que la meuf soit casse couille je veux bien comprendre c'est pour les besoins de l'histoire et que les 2 se détestent puis s'aiment mais elle est tellement relou (Rosanna Arquette nulle comme souvent et je me demande si la famille Arquette serait pas la plus nulle du cinéma, en compétition avec les Baldwin surement) que ça devient fatiguant. Relou ça suffisait, en plus ils l'ont fait teubé, on lui dit de pas fumer près du réservoir de l'avion, que c'est dangereux et elle fait quoi la gogol...
Bon sinon si j'ai regardé le film c'est parce que le pitch annonce des loups, nos 2 héros à la con vont avoir un crash d'avion et se retrouvent perdu en montagne et encerclé par les loups, alors faut le dire vite il y a 2 loups et on les voit 5 minutes dans le film, le reste du temps c'est le couple qui se prend la tête pour finir ensemble, c'est un peu une version pourrie de A la Poursuite du Diamant Vert (et j'aime pas ce film donc c'est dire). Je demandais pas un grand film d'aventure mais un minimum quoi, je pardonne le crash raté, je pardonne les plans de studios tricard quand ils sont dans l'avion, je pardonne même le jeu nul des acteurs, mais putain fous moi vraiment des loups, fous moi de la survie, fous moi des péripéties merde. Ici il y a rien, c'est juste les 2 qui vont se prendre la tête tout le film et on souffre. Alors George Trumbull Miller c'est pire que George Miller.

[Scalp]

6.5/10

11 no Zokugun de Kazuya Shiraishi - 2024

Un film qui tient bien la comparaison avec le 13 Assassins de Miike que je viens juste de revoir et forcément c'est vraiment comparable, le film d'ailleurs les mêmes défauts, j'y reviens plus tard.
11 Rebels c'est donc le nouveau film de Kazuya Shiraishi, un cinéaste pas vraiment connu chez nous mais à qui ont doit The Blood of Wolves (adaptation d'un excellent roman, et il a aussi réalisé la suite mais toujours pas eu l'occasion de la voir), je vais pas faire le spécialiste du réalisateur vu que c'est juste le second film que je vois mais il clairement une filmographie qui m'intéresse et j'aimerais bien voir son Bushido aussi.
Bon revenons à 11 Rebels, alors c'est une variation de 13 assassins, sauf qu'ils sont 11 quoi, bon ici les 11 c'est des criminels à qui on a promis la grâce si ils se battent pour défendre une forteresse (enfin ça ressemble grandement à une mission suicide) et clairement la partie action il y a rien à redire. Je me rends compte que ce genre de films de samouraï souffre souvent du même défaut, dès qu'on a plus de 5 ou 6 personnages les films ont du mal car je trouve que la diversité de personnages est pas vraiment riche dans les chambaras, c'est pas pour rien que les meilleurs chambaras sont Goyokin, Sword of Doom, Baby Cart... que des films avec un seul héros, et je trouve que quand on doit caractériser plusieurs samouraïs ça devient compliqué car finalement être un samouraï est une caractérisation en soi et comme dirait feu Thierry Roland, y a rien qui ressemble plus à un footballeur coréen qu'un autre footballeur coréen. Donc ici, comme pour 13 Assassins, on va avoir du mal à différencier les personnages (ou du moins en avoir qui sortent du lot), alors on en a forcément qui sont plus marquants (heureusement) : le vieux (le meilleur perso du film avec la meilleure scène), l'idiot du village (y en a toujours un), le gros bourrin (alors lui à un moment il m'a régalé en se servant d'un de ses alliés comme bouclier) et le leader qui aura lui aussi sa belle scène (la fin est vraiment bien d'ailleurs pour le coup)... Enfin voilà au niveau des personnages c'est compliqué car ils ont du mal à exister au delà de leur statut et du coup ça donne un épilogue sans aucune force amha (et puis c'est trop long aussi, 2h30, y a clairement au moins 25 minutes de trop), ça vient aussi du fait que le casting est pas forcément facilement identifiable (pour moi) ça manque notamment d'un antagoniste vraiment identifiable, alors je reconnais quelques têtes vite fait mais clairement je connais aucun blaze.
Enfin le film est sympa dès qu'il s'agit de livrer la marchandise et là on a vraiment des supers séquences, le film est classe visuellement, ça fait jamais cheap, il y a des idées, il a des coups qui font mal, il y a des plans iconiques (le vieux se tailler la part belle ici), il y a des plans séquences, il y a du sang, il y a même du gore (explosions de gore et membres tranchés) et puis la topographie des lieux est super bien exploitée avec ce pont suspendu qui sépare les 2 camps. Clairement le mec derrière la caméra sait ce qu'il fait et ne fait pas n'importe quoi en se prenant pour un génie, c'est carré.
Si on a aimé le Miike je recommande chaudement, en tout cas Shiraishi commence vraiment à être un nom à suivre.

[Mark Chopper]

j'aimerais bien voir son Bushido aussi.

Vu au printemps en salle (sorti en France sous le titre Le Joueur de Go). J'ai enchaîné avec son pinku, L'Aube des félines (dispo en DVD / blu-ray) et le mec est vraiment le dernier de son espèce au Japon, un artisan qui œuvre dans tous les genres en les respectant et en apportant une touche de modernité.

Un bon gars. Le Joueur de Go te plaira.

[Scalp]

J'oubliais 11 Rebels est dispo sur Netflix via l'interface anglaise (le film est donc qu''en VOSTA).

[Scalp]

2/10

Brick de Philip Koch - 2025

Je sais pas pourquoi je tente encore les films Netflix des pays à la con, ici c'est donc l'Allemagne (ouais c'est un pays à la con). Alors c'est typiquement le genre de film qui fait illusion dans sa première partie grâce à son mystère mais une fois de plus on dirait un court métrage rallongé. Alors de par son principe on pense à Cube (film de merde) et Plateforme (film espagnol, synonyme de merde) et j'ai vraiment du mal avec ces films à concept. Alors le film a un bon point, on nous sort pas un twist à la con, alors le pourquoi du comment est forcément con : ben ouais on a un mystérieux mur de briques qi vient entourer tout les sorties d'un immeuble (de base c'est con ça) mais ça part pas dans un nawak et ça essaye pas de se croire plus malin que le spectateur.
Avant de lancer le film je me demandais comment le mec allait pouvoir rendre son film intéressant de par ce pitch est casse gueule, ben il le rend pas intéressant. On se tape un énième couple sur le point de se séparer, ça apporte tellement rien au film (je comprends l'idée pour caractériser mais ça fonctionne pas une seconde avec moi), dès les 10 premières minutes j'ai su que ça allait être compliqué car Adolf et Eva (je sais pas comment ils s'appellent et je m'en fous) j'en avais rien à foutre et j'ai immédiatement compris qu'il y aurait rien pour m'accrocher à ces personnages. On va donc suivre ce couple qui va péter des murs pour passer dans les appartements voisins puis péter des sols pour descendre et arriver à la sortie, donc à chaque nouveau mur péter on a des nouveaux personnages (et une nouvelle problématique) et là c'est le drame car il y aura aucun personnage pour relever le niveau et nous captiver un peu, je demandais pas grand chose mais putain la galerie de personnages est vraiment toute naze. Et ça me fait même regretter que la fin soit pas WTF, au moins ça m'aurait fait marrer là quand on a l'explication du mur, on se dit ah ok c'est tout, ben c'est logique quoi, les allemands y s'y connaissent en mur.
C'était à chier.

[Scalp]

5/10

The Unholy Trinity de Richard Gray - 2025

Les sorties westerns ont peu les compter sur les doigts d'une seule main chaque année, et les bons westerns c'est encore pire, c'est même plus devenu un genre avec des trucs tout cheap sur les plateformes (coucou Nic Cage), alors ici clairement c'est pas un grand film mais au moins ça fait pas cheap (les décors du Montana et le ranch Yellowstone aidant bien pour ça), y a un chef op, une BO de Beltrami mais surtout un duo d'acteurs qu'on est content de voir : Pierce Brosnan et Sam Jackson.
Dommage que le héros soit un acteur de seconde zone, clairement on a du mal à le suivre avec intérêt (une vengeance qui commence mal et il va se retrouver traquer par une bande car il a tué un de leur membre) et l'histoire peine à vraiment se lancer, l'acteur est vraiment pas terrible et le personnage est un archétype peu incarné, heureusement quand il se retrouve avec Sam Jackson ou Brosnan c'est tout de suite plus sympa. Par contre le personnage de Jackson est très très mal exploité et on le suit juste parce que c'est Sam et qu'il le fait bien mais ses interactions avec les autres personnages (notamment Brosnan) sont vraiment pas terrible. Du coup il reste Brosnan une nouvelle fois parfait, alors il a toujours été classe mais je trouve qu'il l'est encore plus en vieillissant, il volait le show dans la série de Ritchie et là il est super charismatique en vieux shérif et il assure bien dans l'action. Car heureusement on a un peu d'action, alors au début c'est un peu lambda et on peut pas dire qu'on soit subjugué par des idées de mise en scène et puis arrive le climax final avec l'assaut d'une maison et nos héros qui défendent la maison, c'est un classique du western et c'est plutôt efficace et puis moi tu me mets des winchesters et je suis tout de suite content et là y a pleins de morts à la winchester, on a même des enchainements sympas et clairement la fin relève vraiment le niveau et fait qu'on termine le film sur une bonne note.
Alors dans l'ensemble c'est jamais passionnant, mais c'est court, c'est un western et la fin est cool du coup ça vaut la moyenne.

[Scalp]

4/10

Shatter de Michael Carreras & Monte Hellman - 1974

Encore un film dont on peut dire que c'est une curiosité car c'est une association entre la Hammer et la Shaw Brothers, sur le papier ça fait forcément saliver mais à l'écran on a clairement pas pris le meilleur des 2 firmes.
C'est con car il manque finalement pas grand chose pour que ce soit un peu sympa, car on a Ti Lung qui vient des coups de lattes (bon c'est pas là où il est le meilleur), on a Peter Cushing en bad guy (et aussi Anton Diffring, un mec dont on retient jamais le nom mais dont on n'oublie jamais la tête), Lily Li en atout charme, mais voilà le lead c'est Stuart Whitman et une nouvelle fois c'est vraiment compliqué avec lui, il est encore bien mauvais et il y a même des passages très gênant, et je parle même pas de l'action où il a clairement du mal à bouger. Et c'est clairement handicapant car c'est le perso qu'on suit tout le film, un tueur à gage impitoyable sur le papier, à l'écran c'est autre chose.
L'histoire à base de complot et de tueur qui se retrouve traqué on a déjà vu des dizaines de fois, là dessus on peut presque dire que ça fait le taf en plus ça se déroule à Hong Kong donc c'est tout de suite plus sympa (on a un donc un gros casting local) mais voilà entre un lead à la rue et une réalisation sans aucune idée. Monte Hellman s'est fait virer et c'est Carreras qui a finit le film et bon Carreras c'est vraiment pas un génie. Dans ce genre de film quand c'est un peu concon ce qu'on veut c'est du bis qui tâche, de la violence bien graphique et pas une scène de kung fu pour singer les Bruce Lee à la mode et donc niveau action c'est vraiment foireux, on se dit qu'il aurait du fait appel à des réalisateurs de la Shaw pour mettre un peu de peps là dedans.
C'est donc juste une curiosité de plus qui ne livre pas la marchandise.

[pabelbaba]

Les collabs entre des studios et la SB ça donne toujours des films au mieux moyen malheureusement.

[Scalp]

2/10

The Seed de Sam Walker - 2021

Bizarre que ce film reste méconnu alors que le body horror tout claqué est devenu hype car là on est en plein dedans, encore un film d'un mec qui a vu Society et des films de Cronenberg.
Alors la première partie comme souvent est intrigante (mais relou) avec 3 meufs dans une baraque perdue au milieu de nulle part, sur les 3 on en a 2 absolument insupportables, les personnages 2.0 avec l'instragrameuse qui pète les couilles à tout le monde, bon nos 3 meufs sont venues pour assister à une pluie d'étoiles. Et le lendemain matin y a un truc qui tombe dans la piscine, alors on a déjà plus de 20 minutes pour savoir ce que c'est (une merde, une taupe, un tapir...) bon au bout d'un moment on nous le montre et c'est une sorte de monstre qui ressemble à ET (enfin c'est un croisement entre ET et une taupe). Donc là vu qu'on sait qu'on regarde un truc d'horreur on attend que ça parte en couille, et bien on va attendre longtemps puisque notre petit ET va rester allongé pendant tout le film (oui oui) alors il arrive à prendre possession des corps à distance et même se reproduire à distance (ça donne des scènes un peu psyché bien dégueu avec de l'huile moteur, ou pas, bon on est malheureusement pas dans du hentai) du coup on a 2 poufs qui vont tomber enceinte de l'alien (merde je raconte le film) et la 3ème (la gentille car elle va pas sur les réseau, grosse écriture) va devoir tuer ses copines et le mélange de ET et Baby Yoda (ce sera fait à coup d'arme aztèque qui trainait par là), bon y aura pas de vraiment de résistance donc autant dire que c'est chiant.
C'est chiant car quand t'as que 3 persos dans une maison faut avoir des idées quand même et là tout est étiré à l'extrême et quand il y a une idée c'est une meuf qui bouffe oeufs avec des coquilles ou des scènes à base de liquide visqueux noir, le reste c'est une meuf qui se plaint qu'il y a pas de réseau et qu'elle peut pas poster son cul en photo.
Un film pour les fans de Ducournau ou The Substance. Enfin c'est quand même le film avec l'Alien le moins énergique de l'histoire.