[Alegas] Mes Critiques en 2025

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Alegas » Dim 21 Sep 2025, 17:04

Avec Madame on hésite entre Freddy et Chucky.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Art du mensonge (L') - 4/10

Messagepar Alegas » Lun 22 Sep 2025, 07:39

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The good liar (L'art du mensonge) de Bill Condon
(2019)


Un film pas terrible, qui doit beaucoup à ses deux têtes d’affiche qui sont en réalité la seule véritable qualité de l’ensemble. Concrètement, ça fait un peu penser au Mr. Holmes que Condon avait aussi tourné précédemment avec McKellen : concept sympa, acteurs de qualité en lead, mais rapidement ça tourne en rond et le résultat est plutôt chiant, genre thriller sponso troisième âge. Ici, on a un film qu’on annonce d’entrée sur la manipulation, avec un héros qui sait très bien mentir pour arriver à ses fins, et qui voit dans le personnage d’Helen Mirren une cible potentielle parfaite. Sauf que voilà : le récit prend le parti de continuer comme si le spectateur n’allait pas du tout se douter que le personnage de Mirren allait à un moment se révéler plus que ce qu’elle n’est, autant dire que si on a vu au moins trois films de manipulation/d’arnaque dans sa vie, on capte direct qu’il y a un truc qui cloche.

Du coup, on attends désespérément le point de bascule du récit, qui n’arrive que très tard, genre la dernière demi-heure, et à partir de là, c’est la foire aux twists que personne ne pouvait voir venir (pas parce qu’ils sont réussis, au contraire, c’est juste que le métrage ne donne pas un seul indice). Les flashbacks se déroulant dans la jeunesse des persos sont foireux, et il n’y a bien que le final, ambiguë à souhait, pour relever le niveau. Condon filme ça avec le même rythme que sa bobine : c’est d’une mollesse pas croyable, sans idée dès que ça bouge un peu, le genre de film dont la seule idée de mise en scène semble être le champ/contrechamp. Heureusement, comme dit plus haut, McKellen et Mirren sont à la hauteur, et tant mieux car le film repose en très grande partie sur leurs épaules, mais même leur talent ne peut pas sauver le côté tout mou et le script digne d’un téléfilm du dimanche après-midi. C’est chiant et donc rapidement oublié.


4/10
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Film: Art du mensonge (L')
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Mark Chopper » Lun 22 Sep 2025, 17:29

Alegas a écrit:Avec Madame on hésite entre Freddy et Chucky.


Je m'attendais à une autre réponse.

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar pabelbaba » Lun 22 Sep 2025, 18:17

Pour continuer dans l'horreur médiocre à tiroirs, il y a aussi cette vague saga dans les étoiles réalisée par un chef de ranch barbu et ventripotent.
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Queen (The) - 6,5/10

Messagepar Alegas » Mar 23 Sep 2025, 16:08

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The Queen de Stephen Frears
(2006)


Un film que je souhaitais voir depuis longtemps et qui arrive à me surprendre, car même si je savais que c’était un film qui se focaliser sur une période donnée du règne d’Elizabeth II, je ne pensais pas que ça allait traiter une période de seulement quelques jours, ce qui fait qu’on est pas tout face à un biopic comme le titre pourrait le laisser suggérer. On a ici un récit qui va donc se concentrer sur un moment très précis, à savoir les quelques jours suivant la mort de Lady Diana, et autant ce choix peut donner l’impression d’un côté un peu people, autant ça se révèle carrément pertinent car c’est finalement une période très tendue pour la famille royale, partagée entre un protocole vieillissant (qui les pousse à éviter de faire un communiqué et des apparitions en public) et une envie de s’accorder avec le peuple anglais, très ému par cette disparition.

Pour le coup, j’ignorais totalement le gros bordel que ça avait pu être à l’époque, avec la Reine qui fait les pires choix possibles en termes d’image publique (elle sous-estime grandement l’attachement de ses sujets vis à vis de l’ex-princesse), et Tony Blair qui essaye tant bien que mal de recoller les morceaux derrière, d’ailleurs le film tisse son fil rouge en grande partie sur cette relation de dirigeants et c’est un choix plutôt judicieux. L’autre force du métrage, c’est d’humaniser ses personnages sans trop en faire, ça reste fait avec beaucoup de pudeur et de subtilité, en témoigne la scène où la Reine montre enfin un peu d’émotion : c’est fait dans une scène silencieuse, solitaire, c’est simplement deux-trois larmes versées, et ça suffit. Du coup, c’est une bobine qui se repose en grande partie sur son casting, celui-ci étant au diapason. On retient évidemment Helen Mirren (j’irais pas jusqu’à dire que sa prestation valait un Oscar, mais c’est du bon boulot quand même), Michael Sheen, mais aussi James Cromwell qui arrive très bien à rendre son personnage particulièrement détestable.

Le point noit du film, en revanche, c’est tout ce qui touche à la mise en scène : je ne suis pas un amateur du cinéma de Stephen Frears et c’est quelque chose qui se confirme ici. C’est consensuel, sans idées, très plan-plan et illustratif, photographie très quelconque, il n’y a pas une seule scène qui sort réellement du lot grâce à son traitement formel. Surtout qu’à ça s’ajoute le fait que le film multiplie les images d’archive en vidéo de résolution moyenne, ce qui fait que le film vieillit assez mal de ce côté là. Bref, ça ne vient pas gâcher l'ensemble, mais c’est surtout à regarder pour le traitement de ces quelques jours décisifs (il est mentionné qu’une moitié du pays était prêt à se débarrasser de la monarchie à cause de cette affaire), ainsi que pour les prestations qui font qu’il y a une plus-value par rapport à un documentaire sur le même sujet.


6,5/10
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Pris au piège - Caught stealing - 7/10

Messagepar Alegas » Jeu 25 Sep 2025, 11:22

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Caught stealing (Pris au piège - Caught stealing) de Darren Aronofsky
(2025)


J’ai beau adorer The Whale, je peux tout à fait concevoir que c’est un film qui, de par son sujet et son ambiance, n’a pas forcément dû être la joie la plus totale à tourner. Du coup, un film comme Caught Stealing me donne clairement l’impression que Aronofsky s’est lancé dans ce projet en réponse à son précédent, avec l’idée de faire le plus le plus récréatif de sa carrière. C’est très étonnant de voir ce réal faire ce qui peut s’apparenter à une version plus punchy de After hours : même volonté de faire de New York (ici la version de la fin des années 90) un personnage à part entière, mise en scène qui se lâche, personnage principal bringuebalé à travers des situations où il en prend plein la tronche, personnages loufoques, tendance à traiter le drame et la comédie dans une seule et même situation, bref si on ajoute à ça la présence de Griffin Dunne dans un petit rôle, nul doute qu’Aronofsky a voulu rendre hommage à sa façon au film de Scorsese. Finalement, la plus grosse différence avec le film cité, c’est le fait que Caught Stealing, lui, se déroule sur plusieurs jours au lieu d’une seule nuit.

On a donc un récit avec un personnage qui n’a rien demandé à personne et qui se retrouve quand même dans les pires emmerdes possibles, ce qui va l’emmener dans un voyage new yorkais à la fois cocasse et violent, duquel il pourra régler un trauma qu’il n’a pas réglé depuis des années. Concrètement, c’est un film qui recherche surtout une certaine efficacité, que ce soit dans les personnages, leur écriture, les situations comiques, la violence soudaine (je ne m’attendais vraiment pas à un bodycount aussi élevé) au détriment d’une certaine profondeur (sauf chez le héros qui a un réel arc narratif à boucler). Là encore, c’est surprenant de la part d’Aronofsky, mais le fait est que ça marche : c’est fun, bien rythmé, il y a un réel plaisir à suivre ce mec paumé qui va devoir apprendre à ne plus se laisser faire et à enfin prendre le contrôle de sa vie. Si le casting est bon dans sa globalité, je retiens évidemment surtout Austin Butler qui délivre là, à mon sens, sa meilleure prestation jusqu’ici, mais ça ce n’est guère surprenant tant ce réal a l’habitude de sortir le meilleur de sa distribution.

Formellement, Aronofsky trouve un bel équilibre entre une mise en scène qui se lâche de façon parfois gratuite (plusieurs plans tape à l'œil genre la caméra qui passe à travers l’Unisphere en pleine course poursuite) et quelque chose de très carré qui correspond à l’efficacité recherchée dans le film. C’est très bien foutu mais globalement j’en ressors avec l’impression que c’est le film d’Aronofsky qui manque le plus de profondeur, ce qui peut donner l'impression d'un film mineur, et du coup j’ignore si ça supportera autant la revision que ses meilleures bobines. Reste qu’en l’état, la séance était très cool, et ça fait du bien de voir un réal pareil sortir de sa zone de confort sans pour autant se renier (on sent que ça lui fait du bien de traiter à nouveau l’environnement new yorkais dans lequel il a grandi) et en plus y’a un chat tout le long du film donc gros bonus.


7/10
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Alpha (2025) - 4/10

Messagepar Alegas » Jeu 25 Sep 2025, 17:48

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Alpha de Julia Ducournau
(2025)


Critique rapide pour celui-ci car que ce soit juste après la séance ou plusieurs jours après la vision, ça ne m’inspire pas grand chose. J’avais pas spécialement d’attentes sur celui-ci car j’ai l’impression que ce qui me plaisait chez Ducournau dans Grave s’efface de film en film, et c’est quelque chose qui se confirme avec celui-ci. Autant dans Titane j’y trouvais à peu près mon compte, autant là ça ne m’a jamais causé, rarement intéressé, et j’ai plus l’impression de voir la réal tenter de rebondir vainement après son succès cannois qu’autre chose. Alors bon, s’il y a bien un truc qu’on ne peut pas reprocher au film, c’est que ça n’essaye pas de faire un Titane bis comme on aurait pu le redouter. C’est même une bobine très différente des deux précédentes, et en ce sens j’ai l’impression que Ducournau essaye de trouver une autre direction pour son cinéma, consciente qu’elle ne peut pas exploiter indéfiniment le même créneau.

Est-ce pour autant convaincant ? Je ne trouve pas. Déjà j’ai bien du mal à voir l’intérêt de cette histoire sur la longueur (sérieux le twist à la fin ça fait tellement pièce rapportée à la dernière minute… :evil: ), et surtout, côté écriture, je trouve que Ducournau échoue complètement à créer du lien entre ses personnages, et que le casting essaie de rattraper l’affaire. Tout l’univers, à base de maladie qui se transmet par le sang ou la salive et qui plonge la société dans une paranoïa qui fait forcément penser au COVID, ne reste au final qu’un contexte pour donner un peu d'épaisseur à l’ensemble, mais en vrai ça ne sert pas à grand chose, et le coeur du film se trouve plutôt dans la relation entre le trio Tahar Rahim/la gamine/la mère, sauf qu’encore une fois l’écriture ne suit pas vraiment.

J’ai un peu subi le film et sa longueur (ça aurait réellement mérité de durer trente minutes en moins), c’est relativement plat tout le long alors qu’avec cette réal je m’attendais à être secoué, que ce soit positivement ou négativement, et à la fin je suis ressorti avec une grosse impression de tout ça pour ça. Le tout saupoudré d’un côté poseur qui m’a agacé, car autant ça avait une vraie fonction d’ambiance dans Grave et Titane, autant là ça supporte que dalle, et en plus je trouve qu’il y a un réel downgrade de qualité formelle entre celui-ci et les deux précédents, du coup une impression de pas en arrière pour la réalisatrice. Pas convaincu du tout donc, on est très loin de la réussite qu’était Grave.


4/10
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Dragons (2025) - 4/10

Messagepar Alegas » Sam 27 Sep 2025, 23:18

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How to train your dragon (Dragons) de Dean DeBlois
(2025)


Le projet ne m’intéressait pas à la base, mais vu les nombreux bons retours sur le net ça m’a quand même rendu un peu curieux et je regrette clairement d’avoir cédé. Concrètement, le film est un peu tout ce que je redoutais à la vue des différents trailers : c’est exactement la même chose que le film original, mais tourné en live action. On a littéralement le même script, avec les mêmes péripéties, les mêmes dialogues, les mêmes designs de dragons, les mêmes thèmes musicaux, et parfois les mêmes acteurs, Gérard Butler reprenant ici en chair et en os le rôle de paternel auquel il prêtait sa voix quinze ans plus tôt.

Du coup, à partir de là, je m’interroge : ceux qui portent ce film aux nues ont-ils seulement vus le film d’animation de base ? Très franchement, il y a de quoi se le demander, car je vois mal ce qu’on peut trouver à un bête copier/coller, qui se contente de répéter la formule déjà appliquée précédemment, et sans faire le moindre changement. Je sais que je suis généralement le premier à râler sur les remakes live-action de Disney, mais ces derniers ont parfois le bon ton de partir dans des directions différentes, même si c’est pour aboutir sur des résultats nullissimes, alors qu’ici j’ai rarement vu une copie aussi conforme et sans prise de risques. Le film d’animation n’existerait pas, je mettrais sans doute plus de la moyenne et trouverais ça très correct, malgré les quelques défauts ajoutés à l’original (pas fan de certains choix de casting genre Astrid qui perd clairement en charme, le design cartoon des dragons passent mal en live-action, et les effets visuels sont moins époustouflants que le film d’origine qui prend pourtant de l’âge), mais là clairement je ne peux que mettre un gros malus à cette bobine finalement peu inspirée.

Bref, je ne pige pas ce que Dean DeBlois peut trouver comme intérêt à refaire exactement la même chose (on est pas loin, dans l’esprit, d’un remake shot par shot). J’ose espérer que les deux suites (déjà programmées j’imagine) seront différentes, les films d’animation ayant eu des éléments coupés par manque de moyens et de temps, peut-être que le réal saura rétablir alors, sous une forme différente, sa vision d’origine. Dans le cas contraire, pas certain que je perde mon temps à regarder ça, ou alors il me faudrait Cate Blanchett qui revienne jouer la mère, mais ça j’y crois très moyennement.


4/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar pabelbaba » Lun 29 Sep 2025, 07:31

C'est marrant, je n'ai lu ou entendu aucun bon retour à son propos. Partout lu le terme copier/coller en un peu moins bien.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Alegas » Lun 29 Sep 2025, 07:55

Les retours spectateurs sont globalement très positifs. 4,2 de moyenne sur Allociné, 3,9 sur Letterboxd, 7,8 sur IMDB, le film est très loin d'être conspué.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar pabelbaba » Lun 29 Sep 2025, 08:03

En effet, mais j'évite ce genre d'agrégats de notes qui ne correspondent à rien. Je lis ou écoute plutôt des avis de personnes qui ont un peu de goût.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Mark Chopper » Lun 29 Sep 2025, 08:37

Alegas a écrit:Les retours spectateurs sont globalement très positifs. 4,2 de moyenne sur Allociné, 3,9 sur Letterboxd, 7,8 sur IMDB, le film est très loin d'être conspué.


Ce n'est pas le cas pour Le Roi Lion de Favreau également ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Alegas » Lun 29 Sep 2025, 10:20

Il y a un peu eu le même effet, mais j'ai l'impression que les moyennes du Favreau ont nettement baissés, en particulier outre-Atlantique, probablement parce qu'il y a un tel niveau d'adoration du DA d'origine que ça a joué en la défaveur du remake.
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