[Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Vos critiques de longs-métrages

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Théorème - 8/10

Messagepar Olrik » Mar 28 Oct 2025, 00:25

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Théorème
Pier Paolo Pasolini - 1968

Compte tenu de son aura de scandale, il peut sembler curieux que le film ait obtenu à sa sortie le grand prix de L’Office Catholique International du Cinéma. Plus attendue semble être la réaction de Rome qui a valu à Pasolini un procès pour obscénité. Mais après avoir plongé dans cette forêt de symboles (qui me convient davantage que celle de Tarkovski dans son Miroir), je perçois l’ambiguïté du film et la possibilité de la voir comme une parabole, avec la venue d’un Dieu, la sidération de ceux qui le côtoie – sidération que Pasolini a décidé de concrétiser charnellement : l’inconnu couche avec tout le monde, y compris avec la servante et le fils aîné –, puis la sensation d’immense vide quand ce Dieu reprend sa route, vide spirituel qui les amène à remettre en question le vide matériel de leur confort bourgeois et à se transformer, en se sondant, en cherchant ce qui peut fonder la nouvelle base de leur vie.
Le film est taiseux, laissant surtout parler les images ainsi que le Requiem de Mozart qui n’est pas sans donner au film une autre ambiguïté. Car si renouveau intérieur il y a chez les protagonistes, alors c’est un renouveau un rien sinistre. Une scène m’a frappé : le processus de création du fils aîné qui décide de créer des peintures abstraites plutôt que figuratives. Estimant probablement qu’il est présomptueux de « créer » après le créateur ultime, il se lance dans le processus artistique les yeux fermés, versant de la peinture bleue sur une toile posée à l’horizontale, avant de s’en saisir et de marcher à un clou sur un mur pour l’accrocher. Le résultat offre évidemment un contraste violent avec le Requiem qui est l’une des formes les plus achevées du génie humain pour exprimer le sentiment religieux. C’est une création qui utilise le hasard et, mise en parallèle avec la scène finale montrant le père marchant « au hasard » dans un endroit particulier que je ne révélerai pas, et associée aux larmes abondantes répandues par un autre personnage, oui, la Révélation, avec un grand –R, a peut-être à voir avec une forme de folie qui teinte la parabole de Pasolini d’un soupçon d’hérésie nihiliste.
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Auteur: nicofromtheblock

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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar pabelbaba » Mar 28 Oct 2025, 09:06

Son DVD était à moins d'un euro à la grande époque de Cdiscount. Maté entre un Jackie Chan Metropolitan et un Miki Sugimoto en import, je pense être passé à côté à l'époque. :eheh: La seule chose qui me soit resté en tête, c'est l'envol final, auquel je n'ai jamais réussi à caler de signification. Vais peut être me repencher dessus...
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Olrik » Mar 28 Oct 2025, 09:45

pabelbaba a écrit:Son DVD était à moins d'un euro à la grande époque de Cdiscount.

Exact, la collec' "Films sans frontières". C'était le bon plan pour voir des classiques à peu de frais (ils doivent encore traîner dans un coin). J'ai encore en mémoire la jaquette de Los Olvidados, de Bunuel.
Sinon, Christina Lindberg avait eu sa période pinky violence, dommage que Terence Stamp n'ait pas fait une incursion au Japon pour tourner avec Miki, histoire de redéfinir les bases esthétiques du pinku. Dieu qui rencontre une des déesses du cinéma de genre japonais, ça aurait envoyé...
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Persona - 9/10

Messagepar Olrik » Mar 28 Oct 2025, 09:47

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Persona
Ingmar Bergman - 1966

Film visionné à cause de ce titre, souvent associé à un chef-d’œuvre, si ce n’est « le » chef-d’œuvre de Bergman, mais sans rien savoir de l’histoire.

Verdict : ça décoiffe et ça me rappelle que j’ai un peu trop laissé de côté Bergman et sa quarantaine de films. De mémoire, je crois que je n’avais vu que Cris et Chuchotements (rien de certain non plus).
Récemment, Le Miroir de Tarkovski m’avait laissé de marbre, m’incitant peu à un revisionnage ultérieur pour en déceler davantage de richesses. Je n’en dirai pas autant de Persona que j’ai trouvé autant fascinant que stimulant, notamment par ses similitudes avec des œuvres de David Lynch. J’imagine ce dernier absolument aux anges face à l’audacieux montage de l’ouverture arty et cryptique. Et quand il conçoit l’histoire de Mulholland Drive, n’a-t-il pas, dans un coin de son esprit, l’histoire de Persona ? Impossible en effet de ne pas penser à Rita et Betty à travers Alma / Elizabeth, la première veillant sur la santé de la deuxième. Dans Mulholland, Betty veille sur Rita qui a perdu la mémoire, ici, Elizabeth a perdu le langage. Les deux arborent de plus une troublante ressemblance physique (cf. la scène dans Mulholland où Betty affuble Rita d’une perruque blonde pour qu’elle lui ressemble) rendant poreuse leurs identités. Enfin le rapport au monde du spectacle dans lequel les individus s’avancent masqués (l’étymologie de persona renvoie au « masque » de la tragédie latine), la relation erotico-fantasmatique entre les deux femmes ou encore l’évolution de la personnalité d’Alma/Betty, faisant succéder la rancœur à la douceur. Ah ! Autre point commun qui me revient : le film s’achève sur un mot lourd de possibilités d’interprétation : dans Mulholland, c’est « silencio », dans Persona… allez, vous verrez bien.

Oui, par rapport aux univers de Lynch et à celui de Mulholland en particulier (faudrait que je revoie Inland Empire aussi mais là, j’avoue, le courage me manque), le visionnage de Persona est assez captivant.
Mais même sans eux, il possède bien entendu son propre intérêt, sa propre tension. Soutenu par une impressionnante photographie et à une mise en scène fiévreuse, le film est de l’étoffe de ces œuvres faites pour fasciner et inviter à des revisionnages interprétatifs. Apparemment, sa conception a été lié à une renaissance. Imaginé fiévreusement par un Bergman au bout du rouleau, dans un lit d’hôpital, atteint d’une double pneumonie, Persona a été réalisé par Bergman quasiment dès sa sortie de l’hôpital, comme frappé, à 46 ans, de cet élan créatif qui est souvent l’apanage des premières œuvres. Il en résulte une œuvre dense qui me fait regretter de manquer de connaissances pour avoir plus de recul, pour pleinement apprécier le choc qu’a dû constituer ce film charnière dans la filmographie de Bergman, mais une chose est sûre : je n’ai pas fini de me repaître des visages de Liv Ullmann et Bibi Andersson. Laissons mijoter doucement Persona, il sera bon d’y retourner plus tard.
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Mark Chopper » Mar 28 Oct 2025, 16:01

J'ai tellement souffert avec Le Septième sceau que j'ai lâché Bergman depuis 18 ans.
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Dunandan » Mar 28 Oct 2025, 16:19

Je ne sais plus lequel j'ai fait, mais pareil. :chut:
Bon, j'imagine qu'en 20 ans, un avis peut changer.
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Olrik » Mar 28 Oct 2025, 18:00

Vraiment, ce film est une claque. Tentez l'expérience, après pas mal d'années à façonner une cinéphilie, à voir des objets un peu insolites (Lynch, encore une fois), il y a de bonnes chances d'être rapidement embarqués dans l'aventure (pour moi, dix minutes ont suffi).
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Monika - 8/10

Messagepar Olrik » Mer 29 Oct 2025, 08:59

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Monika
Ingmar Bergman - 1953

Souvenir d’une scène des 400 Coups où l’on voit le jeune Doinel et son pote voler une photo d’exploitation dans le hall d'un cinéma, photo montrant une chouette pin-up en noir et blanc. Eh bien cette pin-up, c’était Harriet Andersson dans le rôle éponyme de Monika, de Bergman.

Comme un symbole, le jeune protagoniste du film, Harry, doit au début de l’histoire s’y reprendre à trois fois avec ses allumettes pour allumer la cigarette de cette Monika, comme si un bon génie tentait désespérément d’éteindre la flamme naissante. Malheureusement, elle se fera, Harry et Monika tomberont amoureux et, tous deux échaudés par le morne quotidien à Stockholm (lui, modeste livreur, en a marre de se faire traiter comme un moins que rien par ses patrons tandis qu’elle est de son côté exaspérée par la violence de son père alcoolique), ils s’en iront naviguer sur le petit bateau à moteur du père de Harry, loin de la mesquinerie, loin de la laideur, dans le décor idyllique d’une île. Là, ce sera la découverte des corps. Surtout celui de Monika, valant au film une étiquette de film érotique alors que la nudité n’a lieu que le temps d’une scène et ne montre finalement que peu de choses. Mais le peu est parfois beaucoup quand la photographie sait parfaitement exalter la révélation de quelques courbes (et puis, il faut bien le dire, Harriet Andersson dans la gloire de ses 25 ans, c’était quelque chose). Découverte des corps, donc, et découverte des hormones. Dans la première partie du film, Harry se fait boxer le nez par un des anciens amants de Monika (elle a la réputation d’être une « petite traînée »). Là, sur l’île, face à un type qui vandalise leur bateau, face à cette femme qu’il aime, qu’il a prise et mise enceinte, Harry s’essaye au rôle du mâle viril.

Le court séjour sur l’île a du coup tout d’un retour aux origines. Retour primitif mais parfaitement idyllique. Cela se gâtera quand, faute de vivres, il faudra se la jouer Bonnie and Clyde d’opérette, en essayant de chaparder dans la dépendance d’une maison bourgeoise. Ça se passera mal, Monika, prise la main dans le sac et à deux doigts d’être livrée à la police, parviendra à s’enfuir. Face à la réalité, le couple n’aura plus qu’à retourner à Stockholm, avec une décision importante : le mariage, puisque Monika sera enceinte. Et, on le devine, une chute est à venir. Ennui du quotidien, désintérêt de la mère vis-à-vis de son bébé, nécessité de rogner sur les dépenses, le couple va se déliter peu à peu. Si Harry incarne la voie de l’honnêteté qui va prendre son temps pour réussir, Monika est celle du « tout, tout de suite ». Effrayée par un début de transformation en mégère aigrie, elle sabordera elle-même le navire conjugal.

En une heure et demie, Bergman condense parfaitement les différentes étapes d’une vie amoureuse. Rencontre, exaltation, plénitude et affadissement, déception. Si Harriet Andersson est surtout mise en avant quand on évoque le film, de par son rôle sensuel et provoquant, Lars Ekborg est aussi magnifique de justesse dans la composition de ce jeune homme attachant, à la fois fragile et révolté, courageux et digne. Et tous deux auront droit à un instant de mise en scène simple mais magique, celui qui les fera regarder directement droit à la caméra, comme pour interpeller, prendre à témoin le spectateur. Pour Monika, ce sera le regard de la femme adultère qui sous-entendra : « Ce que je fais est terrible, mais ai-je le choix ? ». Pour Harry, ce sera plus poignant, car ce sera pour accompagner le souvenir de belles visions lors d’un séjour sur une certaine île. « Les vrais paradis sont les paradis que l’on a perdus. », pour reprendre Proust. Là aussi, il faut peu de moyens à Bergman pour laisser percevoir beaucoup, avec même à la toute fin, le luxe de s’offrir un effet à la Citizen Kane.

Splendide de bout en bout.
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Mark Chopper » Mer 29 Oct 2025, 09:09

La capture est plus vendeuse que mes souvenirs du Septième sceau.
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Olrik » Mer 29 Oct 2025, 09:20

Mark Chopper a écrit:La capture est plus vendeuse que mes souvenirs du Septième sceau.

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Ne résiste pas au pouvoir de Monika !
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Wakamusha - 7/10

Messagepar Olrik » Mer 29 Oct 2025, 17:28

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Wakamusha
Ryûtarô Nanomiya

Bonne surprise que ce Wakamusha, de Ryûtarô Ninomiya dont le Minori, on the Brink ne m’avait pourtant pas laissé un grand souvenir.

D’abord à cause de sa forme, constituée d’une succession de vignettes fixes au format 4:3. Très soignées dans leur composition, de longueurs inégales (comptez au moins dix secondes pour un plan), elles donnent au film un rythme particulier, à la fois contemplatif et nerveux, surtout quand Eiji le moulin à paroles entre en scène.

Mais il y a aussi le fond. De mémoire, Minori, on the Brink mettait en scène une jeune femme désabusée, réagissant parfois impulsivement devant certains fâcheux croisés dans son quotidien. Il y a cet aspect chez les trois gars de Wakamusha. L’un (Hekichi) vit chez sa mère et bosse dans une maison de retraite. L’autre (Wataru) est serveur dans un modeste resto et prend un malin plaisir à saouler les autres de paroles et à y aller de provocations avec des quidams rencontrés dans la rue. Enfin le dernier, Wataru, sombre dans un mélange de rage et de dépression, en voulant particulièrement à son père d’exister. Autant le dire, les trois ne sont pas spécialement sympathiques, mais évoluant dans cette forme particulière, dans une ville qui semble quasiment déserte et silencieuse (aucune musique n’accompagne leur quotidien), il est difficile de ne pas s’intéresser à leurs personnalités, surtout à celle de Wataru, la plus mystérieuse et qui m’a rappelé… le serial killer dans Cure, de Kurosawa. Ce n’est pas non plus qu’il dispose d’un pouvoir surnaturel, mais quand même, il y a chez lui comme une force tragique qui influence son entourage en révélant une facette pas toujours heureuse, presque incontrôlable.

Du coup on se demande comment va se terminer cette histoire. Les bouffonneries d’Eiji font sourire, mais quand la situation s’envenime entre lui et Wataru, et que ce dernier se met à dos pas mal de monde, on sent poindre le drame. Habilement, Ninomiya laissera le spectateur se débrouiller avec une fin pour laquelle il devra terminer si elle est explicite ou purement symbolique.

Une ballade d’1H43 très particulière dans sa manière d’illustrer différents types de crises existentielles. De quoi me donner envie de tenter prochainement Dreaming In Between, du même Nanomiya et réalisé l’année précédente.

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Heure du loup (L') - 8/10

Messagepar Olrik » Mer 29 Oct 2025, 22:54

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L'Heure du Loup
Ingmar Bergman - 1958

Film à se mater après avoir lu quelques pages de Lovecraft (marrant d’ailleurs comme Max Von Sidow m’a semblé sur certains plans avoir une ressemblance avec l’écrivain) et juste avant d’écouter la Musique pour Cordes, Percussions et Célesta de Bartok, histoire de faire de beaux rêves.

L’Heure du loup, c’est une heure dans la nuit, heure où des enfants naissent et des gens meurent, heure surtout où se produisent les cauchemars les plus sombres. Dans cette histoire, c’est tout le calvaire d’un artiste peintre qui, sans doute terrorisé à l’idée de plonger dans cette heure du loup, souffre d’insomnie. Une nuit, il se confie à sa femme, Alma, en lui racontant que durant son enfance, ses parents l’avaient enfermé dans un placard où vivait un homme minuscule. Il raconte aussi que, plus tard, alors qu’il peignait un tableau sur une falaise, il avait fait la rencontre avec un jeune garçon. Rencontre qui s’est mal terminée puisqu’une dispute a éclaté entre les deux, avec à la clé le meurtre du garçon. Seulement voilà : réalité où visions funestes produites une nuit par l’heure du loup ? Dans tous les cas, un émissaire d’un riche habitant de l’île sur laquelle ils vivent vient le lendemain pour les inviter à une petite sauterie au château du baron von Merkens. Inutile de dire que ça ne va pas très bien se passer…

Sorti après Persona (Stimulantia étant à part puisque films à sketchs tournés par différents réalisateurs), L’Heure du loup a aussi de quoi intimider par sa portée psychanalytique et puissamment symbolique. La petite sauterie dans le château, c’est un peu quinze minutes de Black Lodge avant la lettre, avec un soupçon de vampirisme et une bonne rasade de surréalisme. Mais c’est justement ce qui fait aussi que l’on peut simplement se laisser porter par ce voyage dans les ténèbres qui a pu amener certains critiques à cataloguer L’Heure du loup comme appartenant au genre du film d’horreur. Sans doute réducteur mais pas incohérent non plus. En tout cas, dans cette perspective, L’Heure du loup apparait bien plus marquant que la plupart des films d’horreur contemporains.

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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar Mark Chopper » Jeu 30 Oct 2025, 09:31

Bordel, Bergman est NSFW en fait.
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Re: [Olrik] (`0´)ノ  映画 2025 !

Messagepar osorojo » Jeu 30 Oct 2025, 10:40

Sans doute le seul passage, une demi frame du film, c'est un petit coquin Olrik, tout ça pour nous mettre l'eau à a bouche.
Et ça marche.

Mais ça me donne envie de retenter du Bergman, parce que j'ai aimé autant que lui tout ce que j'ai vu du bonhomme.
Y compris Le septième Sceau :love:
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