[Scalp] La Chute continue 2025

[Scalp]

4/10

Fracture de Gregory Hoblit - 2007

"My dick... my private investigator. I call him Dick."

Hoblit un nom qui fleure bon les thriller judiciaire un peu pété des 90's (en général c'est des adaptations de Grisham), dans ses films y a toujours une idée ou un truc mais au final ça reste bof et ici c'est dans la même veine et le film ne tient que sur la performance de Hopkins qui joue pas dans le même film que les autres (et le problème du film c'est que son personnage est le plus attachant alors que c'est censé être un méchant tueur de sang froid), quand il dit que son détective s'appelle MyDick on peut dire qu'on entre dans une autre dimension. Malheureusement le film préfère se concentrer sur le personnage (pas très intéressant) de Ryan Gosling, alors son manque de charisme va avec le rôle ici.
On est donc devant un énième film avec un crime parfait avec une intrigue à tiroirs (enfin pas tant de tiroir que ça, tout est finalement très prévisible, on attend juste de savoir comment il va se faire avoir et évidemment ce sera comme un con car c'est le genre de perso qui aime trop parler) et son méchant plus malin que tout le monde, c'est un film pour Ashley Judd et Morgan Freeman en fait.
Le film est trop long pour son intrigue si bien qu'on a pas mal de remplissage avec le perso de Gosling (le diner de Thanksgiving en est le parfait exemple et c'est une scène bien relou comme finalement toutes les scènes avec Rosamund Pike qui est un personnage qui sert vraiment à rien). Heureusement la réalisation de Hoblit est sobre et ça essaye pas de transformer un dauphin en requin.
Un film finalement au niveau de la filmographie de Hoblit jouflu, c'est pas foufou mais c'est pas détestable car même si c'est pas bon c'est jamais complètement nul (sauf la fin qui est bien naze), bon pas de quoi valoir la moyenne non plus, on va pas abuser.

[Mark Chopper]

J'assume la moyenne pour Hopkins et "Mabite a les réponses".

Je l'ai vu en VF et j'ai éclaté de rire.

[Jed_Trigado]

J'ai envie de le voir.

[Mark Chopper]

Hopkins qui trolle Gosling non stop, ça n'a pas de prix.

[Scalp]

Gosling passe tellement pour un tocard, c'est magnifique.

[Scalp]

3/10

The Bikeriders de Jeff Nichols - 2023

J'aime réellement un seul film de Nichols, mais quel film putain, et le reste alterne entre ennui poli (Shotgun Storie) et grosse merde (Midnight bidule et Loving), donc ici j'en attendais pas grand chose et j'ai pas eu grand chose, enfin par rapport au sujet et au casting c'est quand même décevant.
J'ai jamais réussi à renter dans le film, le début avec le point de vue de Jodie Cormer aurait pu mais putain l'accent et la voix de l'actrice m'ont vraiment cassé les couilles, je voulais juste qu'elle ferme sa gueule. Et puis la voix off en artifice narratif j'ai de plus en plus de mal, et ici elle est pas vraiment super bien exploitée (si tu utilises une voix tu fais le film selon le point de vue unique du personnage, sinon je trouve ça complètement con et c'est donc complètement con), le tout a un coté très décousu et ça manque d'une vraie ligne directrice pour moi, ça donne au film un coté vignette qui nous empêche d'être dedans et puis surtout ça a un coté très anecdotique, ça manque d'enjeu, ça manque de vie, ça manque d'émotion, tout est très plat. En plus je trouve que tout fait fake, j'ai pas vu des bikers, j'ai vu des mecs avec des déguisements et des chicots pourri et puis pour un film qui s'appelle Bikeriders y a même pas une vraie bonne scène de moto.
Le film a aussi du mal à exister car les personnages n'existent pas, c'est juste des gravures de mode ou des gueules alors c'est cool le casting pète la classe (et y a vraiment pleins de têtes qu'on est content de voir) mais faudrait qu'il ait quelque chose à vraiment jouer (Hardy commence vraiment à se caricaturer et il ne joue plus qu'une seule chose : Tom Hardy, quant à Austin Butler je peux pas dire que jusqu'à présent il m'ait réellement marqué dans un film). Alors ok je vois ce qu'il veut raconter avec la fin du époque et toussa mais c'est pas captivant (et puis finalement bien déjà vu) car les personnages sont osef (c'est juste des silhouettes en fait) et quand t'arrives pas à avoir envie de suivre les persos ça devient vite long et pénible, alors on a heureusement quelques passages sympas parce que Nichols reste un mec qui sait réaliser et qu'on a un chouette casting, enfin ça reste des jolis plans ici ou là car quand il se passe un truc à l'écran comme la mort d'un perso il y a aucune tension dramatique et la séquence est juste nulle.
Mais tout ça est noyé au milieu d'un océan d'ennui, il y avait surement matière à faire un film sympa mais pas de cette manière, j'ai trouvé ça terriblement mal raconté (les ellipses sont tellement mal gérées) et si il voulait parler de la fin d'une époque c'est vraiment raté (la fin qui dit ce que chacun est devenu en est le parfait exemple car clairement on s'en branle), au final c'est pas meilleur qu'un épisode de SOA

[Scalp]

2/10

Les Tourmentés de Lucas Belvaux - 2025

J'ai lu le pitch, un ex légionnaire devenu sdf et donc en conflit avec son ex femme est contacté par son ancien sergent pour servir de gibier à une femme qui s'emmerde contre une bonne grosse somme d'argent. Donc on est sur un vrai postulat de série B et devant le genre de film qu'on a déjà vu depuis toujours (mais qu'on est toujours content de voir), on pense forcément au Comte Zaroff mais aussi pleins de séries B cool comme Que la Chasse Commence (bon je me doutais bien qu'on allait pas avoir Ice T qui balance des punchlines dans le film mais un peu de badassitude merde).
Donc j'y allais en me disant ça peut être cool, en plus j'aime bien Ramzy et il peut être bon dans des rôles sérieux (pas trop ici), Niels Schneider est pas un mauvais acteur. Et donc après l'intro de rigueur qu'on peut qualifier de presque efficace voilà que la série B devient un film français dans toute sa splendeur, c'est à dire un drame avec le mec qui va se servir de l'argent (car en plus le mec a une avance) pour reconquérir sa famille (car oui la chasse ne sera que dans 6 mois, pourquoi ? ben parce que ça arrange bien le scénario) et c'est là que le film va devenir magique car ce postulat qui ouvre des possibilités est anéanti par des choix narratifs complètement con, concrètement on pourrait avoir le même film si le mec avait gagné au loto. Car on aura pas la chasse à l'homme promit pour la simple et bonne raison que la meuf (qu'on appelle Madame pendant tout le film) va annuler le chasse (oups spoiler), ben oui bichette il a une famille avec des enfants, le pouvoir de l'amour. En plus ça dure presque 2h donc autant dire que le film est un sacré calvaire, ça m'appendra à lancer des films sur la simple base d'un pitch.

[Scalp]

6,5/10

Bad Moon de Eric Red - 1996

Alors avoir une surprise sur un films des 80,90,00's que j'ai pas vu c'est très compliqué mais en plus quand c'est un film de Loup Garou c'est presque mission impossible tant le genre regorge de merdes (et dans les 90's y en a eu, entre Wolf et le Loup Garou de Paris le genre était vraiment tombé bien bas). Alors ici c'est un film signé Eric Red et c'est bon gars, déjà il a un prénom respectable mais en plus il a écrit Hitcher et réalisé le trop sous coté Cohen & Tate, il adapte ici un roman qui à ce que j'ai compris était selon le point de vue du chien (why not) et ça allait être compliqué à retranscrire mais le chien ici est vraiment important et c'est un personnage à part entière.
Ce que j'ai bien aimé c'est que le film commence immédiatement, première scène ça mélange de la baise et un bon gros massacre avec le garou en plein cadre et dès cette scène on nous cache pas l'identité du garou (chose que la plupart des films font), du coup l'intérêt sera ailleurs avec cet homme maudit qui revient dans sa famille et qui va devoir faire face au berger allemand de la famille qui a de suite senti la douille. Du coup on pourrait presque dire que c'est une relecture intelligente du mythe (le film s'amuse des clichés inhérents au film de garou, d'ailleurs la première scène on est dans une jungle en Amérique du Sud, pas un endroit où on est habitué à voir des loups) dont le seul vrai défaut est clairement son casting, alors Michael Paré pourquoi pas il s'en sort pas si mal (il arrive à donner un peu d'ambiguïté au personnage) mais alors Mariel Hemingway c'est vraiment compliqué bon pour elle je fais un délit de sale gueule, j'aime pas sa tête mais elle est nulle même sans mon inimité.
Le film est donc une espèce de petit drame familiale où le chien de la famille va vouloir protéger sa maitresse, et on va avoir un vrai duel psychologique puis physique entre un chien et un garou et dit comme ça, ça peut sonner ridicule mais ça fonctionne à l'écran et le chien joue bien, c'est le meilleur acteur du film (et un des meilleurs chiens que j'ai vu au cinéma, vraiment).
Red ne fait pas d'étincelle derrière la caméra mais il filme tout ça sobrement, il se prend pas pour un autre, quand il doit filmer la violence il fait pas de chichi et ce qui aurait peu être ridicule à savoir un fight entre un chien et un garou marche carrément et donne un vrai bon petit climax.
Qui dit loup garou dit forcément effets spéciaux et un mec dans un costume ça sera toujours plus cool qu'un CGI et même si on voit que c'est un mec dans un costume, il y a un coté viscéral que le CGI ne peut pas retranscrire, et on a aussi des animatronics et une scène de transformation (séquence obligatoire et pas la plus réussie du film) et puis quand ça doit saigner, ça saigne, c'est bien cash avec des effets à l'ancienne qui fonctionne tellement bien
Alors vu la concurrence c'est clairement top 3 du genre et un bon petit film qui mérite d'être découvert et puis cerise sur le gâteau, ça dure 1h15.

[Scalp]

3/10

South of St Louis de Ray Enright - 1949

Pas grand chose à retenir de ce petit western de studio comme ils en produisaient à la pelle dans les 40's. Bon déjà c'est pas un génie derrière la caméra et puis c'est pas folichon niveau casting, d'ailleurs c'est typiquement le genre de film qui aurait été bien plus sympa avec un vrai bon casting mais bon là on a Joel McCrea en lead, alors autant vieillissant (chez Peckinpah quoi) j'aime bien mais ses autres rôles je suis clairement pas fan et je le trouve assez fade (le coté force tranquille ne marche que sur sa fin de carrière), et ici on a personne en second rôle pour relever le niveau (j'aime bien Dorothy Malone mais là elle a un perso en bois, par contre dommage que Alexis Smith ait pas plus de scènes elle est pas mal) et c'est con car on doit suivre 3 amis au tempérament opposés qui vont prendre des chemins différents pendant la guerre civile et forcément ils vont être en conflit (y a donc un vrai potentiel dramatique mais pour ça il faut des bons acteurs).
Le contexte est d'ailleurs l'intérêt du film avec notamment un personnage inspiré de ce bon vieux Quantrill (le profiteur sanguinaire numéro 1 de ce conflit), et on va faire du trafic d'armes pour aider les confédérés, on a des gunfights contre des nordistes, des voyages au Mexique, de la bagarre de saloon mais aussi de l'humour relou, des chansons à la con et une histoire qui ne va jamais décoller (McCrea qui devient alcoolique on touche vraiment le fond), même le technicolor est fatigué.
Plus que dispensable donc.

[Alegas]

5/10

Sting de Kiah Roache-Turner - 2024

C'est un film avec lequel j'ai pas envie d'être méchant car on ressent une vraie envie de bien faire et que tout est pas à jeter mais quand on voit l'idée de départ et le résultat final on ne peut être que déçu. Alors ok c'est un film à petit budget, d'ailleurs pas trop compris c'est un film australien aka le pays des araignées et ça se passe à New York et on nous sort une araignée qui vient de l'espace (why not). Alors évidemment quand on voit le pitch on pense immédiatement à Vermines et le métrage est clairement pas du niveau du film français (qui est une des plus belles surprises film de genre FR de ces 25 dernières années), on a donc une araignée (oui une seul) dans un immeuble et le film ne sortira pas de cet immeuble, c'est à la fois la force et la faiblesse du film. La force car je trouve que le mec se débrouille bien avec sa caméra pour nous faire comprendre la topographie des lieux et on est jamais perdu, et il arrive vraiment à faire des chouettes plans et par moment y a une idée (c'est rare) par contre clairement le film n'a aucune tension (on est loin de Vermines qui avait des vrais grands moments). Et donc la faiblesse car c'est huis clos avec une galerie de personnages clairement pas intéressant, alors la gamine (Alyla Browne vu dans Furiosa) casse pas les couilles (même si c'est la typique ado trop intelligente pour son âge) et ça c'est déjà beaucoup mais sa relation avec l'araignée repose sur rien (elle lui donne à manger et lui fait écouter des bruits), la vieille qui a Alzheimer ça donne une intro sympa mais c'est bien tout, les autres perso c'est au secours, mention au dératiseur qui joue pas dans le même film que les autres et dont l'humour plombe le truc, le film est premier degré et ça va très bien comme ça mais lui il veut faire des punchlines (au rabais). Et le film s'attarde trop sur sa galerie de personnages qui ne mérite clairement pas autant d'intérêt, la petite famille est vraiment relou.
Et puis on a l'araignée et là c'est pas une énorme réussite, déjà au final elle va tuer grand monde (le chien ne meurt pas, les parents non plus, c'est beaucoup trop gentil et finalement ça ressemble plus à un film Amblin qu'un vrai film d'horreur), le film ressemble d'ailleurs plus à un slasher qu'un film de monstres, et les CGI sont pas toujours ouf (par moment ça marche et y a presque un coté Aliens lors du climax de fin avec notamment une photo que j'ai trouvé plutôt jolie) mais heureusement on a aussi des animatronics.
Alors comme dit c'est donc moins bon que Vermines, Mimic et même Ticks mais c'est meilleur que Arachnophobie, la moyenne car c'est court et que je me suis pas fait chier mais en l'état ça reste quand même pas foufou.

[angel.heart]

Très surpris par ta note à Pleine lune.

Je devais être dans un mauvais jour quand je l'ai découvert.
Ou alors t'as craqué...

[Scalp]

3/10

The Big Fix de Jeremy Paul Kagan - 1978

J'ai vraiment du mal avec les films noirs des 70's et ici ça fait penser au Privé de Altman dans la ton et l'ambiance. Pour moi ce genre de film à l'intrigue nébuleuse à la Chandler (j'aime pas Chandler) c'est toujours casse gueule car il faut réussir à capter l'attention du spectateur rapidement sinon il va subir le film et j'ai donc bien subit le film, alors si j'ai subit c'est surtout parce que je fais un délit de sale gueule et que j'aime pas Dreyfuss, alors je le tolère dans Jaws mais le reste de sa carrière j'en ai strictement rien à foutre et c'est jamais un plus pour moi dans un film (en plus ici la coupe de cheveux c'est vraiment pas possible). Le reste du casting on les a déjà vu bien meilleur : Lightow et Fred Murray machin.
Donc ici on suit Richard Dreyfuss (qui venait de gagner un Oscar, on donne vraiment cette récompense à n'importe qui) en détective privée à la cool qui préfère fumer de la weed en jouant au cluedo tout seul chez lui que bosser et s'occuper de ses gosses, c'est le cliché du mec qui veut pas grandir, c'est un ex gauchiste qui va devoir enquêter sur ses anciens collègues avec un gros complot autour d'une élection local et c'est là que le film me perd complètement, j'en ai strictement rien à foutre de l'enquête et vu que le perso me gonfle j'ai souffert pendant 1h45, et l'intérêt est même pas relancé à mi film quand on tue un des perso principaux. Sur le papier on avait de quoi faire un pur thriller parano comme Blow Out, mais au final on est au niveau de la merde Pakula.
Alors tout n'est pas à jeter c'est toujours plaisant de voir ce LA des 70's, de voir les anciens soixante huitard rentrés dans le rang pour faire du fric c'est pas mal mais tout ça est noyé au milieu d'un intrigue vraiment chiante (trop touffu, trop de fausse piste, alors on capte ce qu'on veut nous raconter mais c'est mal raconté), de passage de vie de famille relou (tous les passages avec les gosses de Dreyfuss c'est un vrai calvaire) et puis quand ça s'énerve le mec derrière la caméra est pas la mec le plus doué et puis le score hors propos de Bill Conti aide vraiment pas.
Bref c'est nul.

[Scalp]

6.5/10

Violent Ends de John-Michael Powell - 2025

Toujours sympa d'avoir une surprise sur un film récent surtout quand on les lance au hasard comme moi, dans 90% des cas le résultat est une merde, ici c'est un petit polar redneck sans prétention qui fait le taf. Alors on est devant un film qui va pas révolutionner le genre mais j'y ai trouvé mon compte et le film a réussi à me prendre direct (truc de plus en plus dur) du coup la petite intro de rigueur m'a pas saoulé et quand tout se lance vraiment j'y ai cru.
Ce que j'ai bien aimé c'est qu'on est sur un truc qui nous prend pas par la main, on va suivre Billy Magnussen (acteur que j'aime bien) très bon qui veut vivre sa petite vie tranquille mais qui fait partie d'une famille de truands locaux, bon alors sur la famille autant le dire c'est le bordel et on sait finalement pas qui est qui par rapport aux autres, alors on en restera à ils sont tous de la famille (ou consanguins si on veut). Après un évènement que je vais pas spoiler tout va partir en couille et ça finira dans un bain de sang, faut pas s'attendre à un gros thriller survitaminé et remplit d'action mais c'est film qui prend son temps avec Magnussen qui va remonter la piste pour pouvoir se venger (et ici y a pas de dissertation sur le bien, le mal ou la violence, non tu m'as fait du mal alors je vais te niquer ta mère et basta), avec l'aide de son frère (Nick Stahl qu'on avait complètement oublié et qui est lui aussi très bon), bon la piste est pas trop dur à remonter vu que ça reste dans la famille et le bad guy c'est l'excellent James Badge Dale (c'est loin 24h) qui en impose encore une fois (il a même pas assez de scènes car putain quand il est là il vole vraiment les scènes) et on va croiser Rat McKinnon (un super second rôle qu'on aimerait voir plus souvent) dans une scène vraiment marquante où le mec impose tout son charisme (une bonne petite scène de 10 minutes qui fait le zizi tout dur pour ceux qui aime le ciné badass).
C'est vraiment un film sans surprise mais on a envie de suivre les personnages (c'est bien le plus important), y a une bonne ambiance automnale, visuellement ça a clairement de la gueule, quand la violence arrive elle est bien frontale et on a climax final intéressant sur la forme (on voit que le mec s'est un peu fait chier à essayer de faire du cinéma).
Le genre de polar redneck que j'aimerais toujours car le mec se prend pas pour un autre à faire du cinéma d'autiste à la Animal Kingdom même si le rythme est pépère, il y a un truc qui se dégage et la fin est réussie.

[osorojo]

En tipiak ou c'est dispo quelque part ? Sur prime j'ai "non disponible dans votre zone géographique" : je hais désormais profondément toutes ces plateformes de salauds.

[Scalp]

Tipiak.