[Alegas] Mes Critiques en 2025

Vos critiques de longs-métrages

Modérateurs: Dunandan, Alegas, Modérateurs du forum

Trou dans la tête (Un) - 3/10

Messagepar Alegas » Mer 19 Nov 2025, 20:29

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A hole in the head (Un trou dans la tête) de Frank Capra
(1959)


Première film de fin de carrière que je découvre chez Capra, et pour cause : il est communément admis que le bonhomme n’a jamais réussi à se remettre de la faillite de sa société de production (en grande partie à cause de l’échec de It’s a wonderful life, alors que c’est désormais son film le plus emblématique) et que son contrat avec Paramount n’a pas été source de réussites critiques. C’est donc quelque chose qui se vérifie pleinement avec ce film dont on peine à croire qu’il est réalisé par Capra, et concrètement j’ai plus l’impression de voir le réalisateur faire le yes-man pour une grosse machine qui repose avant tout sur sa star, à savoir Sinatra.

Le film n’a pas grand chose pour lui, entre une histoire vraiment pas passionnante et des relations entre personnages qui ne marchent pas (que ce soit la love story ou le lien fraternel entre Sinatra et Robinson, mais le must est évidemment la relation père/fils niaise comme pas permis). C’est long pour pas grand chose, et le film dévoile régulièrement son réel visage de star vehicle, en mettant systématiquement Sinatra au centre des attentions (ce qui fait que les personnages secondaires ont bien du mal à exister) ou en le faisant chanter dans des séquences qui donnent l’impression d’appartenir à une autre bobine. Au milieu de cette production probablement sur-budgetée, Capra semble s’effacer tristement, livrant une mise en scène d’un autre temps, on est souvent plus devant du théâtre filmé qu’autre chose. Ce n’est pas assez touchant pour être un bon drame, ce n’est pas assez drôle pour être une comédie réussie (le gag de Robinson et le fauteuil, répété au moins cinq fois d'affilée...), et c’est définitivement trop peu incarné et chiant pour représenter un réel intérêt, même pour les amateurs de Capra.


3/10
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Chemin des écoliers (Le) - 7/10

Messagepar Alegas » Ven 21 Nov 2025, 23:09

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Le chemin des écoliers de Michel Boisrond
(1959)


Un joli film que voilà, et c’était franchement pas gagné vu le réal à la barre. Tavernier disait de ce film que c’était le meilleur de Boisrond, et je suis bien enclin à le croire car c’est effectivement d’un autre niveau que ses comédies avec Bardot. Alors c’est pas un grand film non plus, mais je trouve que c’est une jolie bobine qui pourrait faire un bon double programme avec La traversée de Paris, car même si on est moins dans la comédie ici, j’y ai ressenti une vibe similaire au niveau de l’émotion, et surtout il y a le contexte qui quasi identique. Comme le film d’Autant Lara, on a un récit qui se déroule en plein Paris occupé, et il va être question de marché noir, mais ici ça se dinstingue clairement par une volonté de mettre la menace allemande de côté. C’est simple : on ne les voit quasiment jamais, idem pour les forces collaboratrices, et du coup toute l’histoire va se focaliser sur les petites gens durant l’Occupation avec d’un côté une famille qui tente de vivre le plus normalement possible, et de l’autre les personnes qui cherchent à tirer leur épingle du jeu.

Ça donne un film plus intimiste que je ne l’attendais, qui joue beaucoup sur les ambiances authentiques et les situations inattendues, et surtout qui se révèle assez tardivement, même si le jeu en vaut la chandelle. Ainsi, pendant une bonne grosse demi-heure, je me suis vraiment demandé ce que le film cherchait à raconter, puis une fois qu’il y a la course poursuite entre vélo et camion, on quitte en grande partie le personnage de Delon (qui est plus un point de départ qu’autre chose) pour se focaliser sur celui de Bourvil, et à partir de là j’avoue avoir été cueilli car je ne m’attendais vraiment pas à ce que le film soit aussi bon dans ses retournements de situations et l’évolution de ses personnages. Toute la scène avec Bourvil qui rencontre Ventura et se fait manipuler, j’ai trouvé ça excellent, et ça ne devient que meilleur ensuite, d’une part avec la séquence du bar plongé dans le noir, mais évidemment d’autre part avec la scène finale qui est touchante juste ce qu’il faut.

Encore une fois, ce n’est pas un film qui dispose d’une mise en scène particulièrement élaborée, mais ça ne manque pas d’idées pour autant, c’est drôle juste ce qu’il faut (Pierre Mondy déguisé en nazi pendant la majorité du récit :mrgreen: ) et surtout c’est un film qui se repose en grande partie sur son script et sa distribution, les deux étant assez robustes pour tenir le film jusqu’au bout. Il y a un gros casting qui rend le film sûrement plus attirant qu’il ne l’était à l’époque de sa sortie : il y avait certes Bourvil (excellent dans ce rôle dramatique), mais sinon Delon commençait sa carrière, et Ventura allait tout juste devenir un acteur de premier plan. Un défaut toutefois : les rôles féminins ne sont pas spécialement mis en valeur, ce sont surtout des personnages fonctionnels (même si ça ne manque pas de charme, genre la secrétaire qui veut absolument tenter le mineur qui bosse près d’elle :mrgreen: ) et du coup les actrices n’ont pas grand chose à défendre. Dommage que le film ne soit pas plus connu que ça, car ça le mériterait bien : c’est drôle, touchant, bien joué, et ça fait plaisir de voir des films sur cette période où il n’est pas forcément question de prendre les armes contre l’occupant.


7/10
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Mort aux trousses (La) - 8/10

Messagepar Alegas » Dim 23 Nov 2025, 19:00

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North by Northwest (La mort aux trousses) de Alfred Hitchcock
(1959)


Cela faisait une éternité que je n’avais pas revu ce Hitchcock, et pour cause : il a fait partie de la sélection des trois films à analyser pour le baccalauréat l’année où je l’ai passé en section cinéma, et du coup je l’ai vu au point de le connaître à l’époque par cœur. Ça ne m’en a pas forcément dégoûté, mais clairement il fallait que je le laisse de côté pendant plusieurs années, et c’était vraiment la bonne chose à faire car désormais, après plus de quinze ans, j’ai pu vraiment le redécouvrir en partie. On a ici un film que Hitchcock a fait à une époque où il était au sommet (faut voir les films qu’il a enchaîné), où il pouvait se permettre toutes les folies, et c’est quelque chose qui se ressent énormément dans celui là, puisqu’on a probablement l’un des films les plus rythmés de toute la décennie 50’s, et probablement de l’histoire du cinéma à l’époque.

Pas étonnant que la saga James Bond ait été construite ensuite avec ce film pour modèle, car c’est clairement une masterclass de péripéties qui s’enchaînent, ça commence en moins de cinq minutes, ça développe en partie les personnages dans l’action, et quand ça fait pause, c’est généralement pour repartir sur un gros climax ensuite. Des qualités qui font que la durée généreuse du film passe toute seule, et qui font de ce métrage un divertissement qui n’a que peu d’équivalents à l’époque de sa sortie. Même en le connaissant par cœur, impossible de se faire chier devant, d’autant que le film réussit à combiner plusieurs éléments qui font que l’œuvre est à la fois un film d’aventure, un film d’espionnage, un film d’action, et une comédie romantique (très coquine pour l’époque d’ailleurs, le gag du rasoir, le rentre dedans permanent du personnage féminin, ou le raccord final, on sent bien l’humour du gros Alfred :mrgreen: ).

C’est en plus un film où Hitchcock expérimente narrativement, avec un script qui non seulement va très vite dans le vif du sujet (la présentation du personnage principal, c’est seulement deux minutes de dialogues et tout est posé pour le reste du récit), mais qui en plus se permet d’être très light au niveau des enjeux et de tout le mystère qui entoure l’aspect espionnage : il y a évidemment le principe du macguffin avec cette statuette remplie de microfilms (mais là encore, on ne saura jamais ce qu’ils contiennent), le fait d’avoir le héros qui agit toujours pour des raisons personnelles (d’abord pour s’innocenter, ensuite pour sauver la femme dont il est épris) et qui se fout complètement de l’aspect géopolitique qui l’entoure, et du coup le fait d’avoir aussi des bad guys purement fonctionnels, sans que ça ne gêne vraiment l’ensemble.

Et puis c’est une bobine où Hitchcock se fait sacrément plaisir, on sent qu’il a un gros budget derrière lui et qu’il l’utilise bien, et quand bien même le film a vieillit sur certaines projections ou incrustations, ça vieillit particulièrement bien, notamment quand le réalisateur va à fond dans la narration visuelle : pas étonnant que la scène de l’avion soit devenue celle qui représente généralement le film, tant elle est celle qui marque le plus les esprits (faut voir le découpage absolument nickel). Dans les défauts, je pourrais citer le fait que, du coup, le climax final sur le mont Rushmore a du mal à atteindre le niveau précédemment atteint, mais ce n’est pas particulièrement gênant vu qu’à ce stade c’est plus une cerise sur un gâteau déjà bien fourni. Hitchcock oblige, on a Hermann qui rempile au score avec un thème marquant, et on a un générique plutôt stylé de Saul Bass même s’il ne fait pas forcément partie de mes préférés du bonhomme.

Enfin, côté casting, Cary Grant est vraiment le choix parfait pour incarner Thornhill, avec d’un côté la carrure pour jouer un héros d’action crédible, et ce second degré permanent qui le rend immédiatement attachant. Eva Marie Saint trouve probablement son meilleur rôle avec ce film, et je la trouve très bien ici alors que d’habitude c’est une actrice que je trouve assez transparente. Et puis il y a le duo James Mason/Martin Landau en antagonistes, qui n’ont pas forcément des personnages très denses à défendre, mais qui font très bien le job, mais je regrette qu’il n’y ait pas eu d’autre collaboration entre Mason et Hitchcock, ça aurait pu être excellent de les revoir travailler ensemble. Un film que je revois donc légèrement à la hausse, et qui mérite amplement sa réputation élogieuse, quand bien même je trouve que Hitchcock a fait encore mieux, que ce soit avant ou après.


8/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar lvri » Lun 24 Nov 2025, 08:54

Prévu de le revoir. J'avais été plutôt déçu de mon côté, mais je pense que ça vaut le coup de s'y replonger.
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Bonjour - 6/10

Messagepar Alegas » Mar 25 Nov 2025, 23:53

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Ohayō (Bonjour) de Yasujirō Ozu
(1959)


Seconde incursion dans le cinéma de Ozu, et c’est déjà bien plus convaincant que le soporifique Voyage à Tokyo. C’est toujours pas un film où j’ai une soudaine révélation sur ce cinéaste, mais pour le coup je suis bien plus charmé par ce petit film à la légèreté étonnante, et qui m’a permis de voir une autre facette du bonhomme. C’est un film surprenant de par son pitch qui n’a finalement que très peu d’enjeux : pendant une bonne demi-heure on suit seulement le quotidien d’un petit lotissement et de l’interaction des différents voisins entre eux, puis vient l’élément déclencheur, avec deux gamins qui veulent absolument un poste de télévision chez eux, et qui font la grève de la parole tant qu’ils ne l’ont pas. Voilà, concrètement c’est à peu près tout :mrgreen: .

On pourrait ajouter qu’il y a une petite histoire d’amour très pudique, mais en vrai c’est loin d’être une storyline essentielle au récit, et globalement c’est tout le film qui donne l’impression de ne pas avoir grand chose à raconter. Mais pour le coup, c’est loin d’être un défaut ici, et j’ai vraiment eu la sensation de voir un film à la forme, que ce soit dans la mise en scène, le sound design ou le rythme (le tout m’ayant beaucoup fait penser à du Tati transposé au Japon, le burlesque en moins), qui épouse complètement l’intention narrative. Du coup, oui, l’histoire n’a rien de particulièrement exceptionnelle, mais ça se suit néanmoins avec plaisir, comme une petite tranche de vie légère, avec parfois des minutes entières sur des banalités totales (mention spéciale aux concours de pets que se lancent les enfants, ainsi qu’au running gag du gamin qui a la chiasse :mrgreen: ) et un regard tendre sur les relations entre enfants et adultes (la façon dont la voisine réagit face au silence des gosses, le père qui utilise la télévision pour faire du chantage à ses enfants), bref on est loin, très loin, de la gravité qu’avait Voyage à Tokyo.

Le métrage a tout de même des défauts à mes yeux : ce n’est pas ennuyeux, mais ce n’est pas non plus ce qu’il y a de plus captivant (en fait, dès que les deux frères ne sont plus à l’écran, je trouve que le film perd vraiment en intérêt) et j’ai toujours du mal avec le jeu d’acteurs de certains adultes qui me donnent trop l’impression de réciter le texte face caméra sans grande conviction (impossible pour moi de dire si ça vient du style d’Ozu, ou peut-être du jeu d’époque). En bref : une jolie surprise qui n’efface pas pour autant la méfiance que je peux avoir vis à vis de ce réalisateur, mais qui pourrait me donner le courage d’en tenter au moins un autre.


6/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Mark Chopper » Mer 26 Nov 2025, 07:37

(impossible pour moi de dire si ça vient du style d’Ozu, ou peut-être du jeu d’époque


Non, c'est son style.

Tu n'as jamais tenté un film de Naruse ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Alegas » Mer 26 Nov 2025, 08:08

Pas encore eu l'occasion.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar osorojo » Mer 26 Nov 2025, 10:27

Bizarre, moi je ressens pas ça perso, je trouve que tout le monde est plutôt naturel.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Mark Chopper » Mer 26 Nov 2025, 10:50

Le jeu face caméra en champs/contrechamps rapides donne une impression d'artificialité je trouve. J'ai le même problème avec Wes Anderson.

Par contre, ce n'était pas le cas dans Herbes flottantes. C'est pour ça que je compte tenter Les Sœurs Munataka - autre film tourné hors de son studio d'adoption avec des acteurs "nouveaux" pour lui.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Alegas » Mer 26 Nov 2025, 10:53

Mark Chopper a écrit:Le jeu face caméra en champs/contrechamps rapides donne une impression d'artificialité je trouve.


Le fait que les plans coupent systématiquement au moment au un autre personnage se met à parler renforcent cette impression, chez Ozu j'ai l'impression qu'il n'y a quasiment jamais quelqu'un qu'on entend hors du cadre.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Mark Chopper » Mer 26 Nov 2025, 10:54

Mais on les entend péter.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar pabelbaba » Mer 26 Nov 2025, 10:56

C'est lui La Soupe au Chou? :chut:
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Alegas » Mer 26 Nov 2025, 11:09

Mark Chopper a écrit:Mais on les entend péter.


:eheh:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar Mark Chopper » Mer 26 Nov 2025, 11:23

pabelbaba a écrit:C'est lui La Soupe au Chou? :chut:


Tu ne savais pas que c''était pompé sur Ozu ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2025

Messagepar pabelbaba » Mer 26 Nov 2025, 11:26

J'avais un doute. Je suis content que tu le lèves. :chinese:
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