[Scalp] Mes critiques en 2009

[Scalp]

du coup me suis pris les autres suites, pour du téléfim c'est mieux filmé que 90 % des polars actuels

[Scalp]

Jeux de Gangs



Oue bof ça se regarde, on a 2 ptites pouf qui se la joue racaillou avec leur pote pleins de thunes mais un soir leur ptit copain tombe sur des vrai homeboys qui font peur ( excellent Freddy Rodriguez ), mais les ptites pouf au lieu d'avoir peur ça les excite les bad boys du coup elles vont trainer avec eux et bien entendu ça finira mal.
Le debut est vraiment laborieux, les acteurs qui jouent les ptits blanc plein de frics qui se prennent pour des lascars sont assez mauvais mention à Joseph Gordon Levitt qui est bien meilleur d'habitude, coté cast féminin on retrouve Anne Hathaway que j'étais partis pour tailler avant de voir le film ( je la supporte pas ) et bein là elle assure vraiment ( et en plus elle nous devoile sa tres belle poitrine ) sa copine blonde Bijou Phillips est pas trop mal aussi ( et montre ces nibards elle aussi ), dans les seconds role on a le toujours sympa Michael Biehn et plein de tete de latino deja vu dans pleins de trucs.
Ca evite pas les clichés ( même si on essaye de nous montrer que les latinos sont cool et que c'est la jeunesse dorée ricaine qui est pas gentille ).
La realisation est pas terrible par contre, ça plombe pas le film mais rien d'exceptionnel.
La bande son a base de gros rap west coast est sympa. Un film qui fait penser à Alpha Dog.
La moyenne grace au points nichons.

5/10

[nicofromtheblock]

Anne Hathaway a un vrai talent et le prouve de film en film.
D'abord avec celui-ci et ensuite avec Brokeback mountain et dernièrement avec Rachel getting married : assurèment une actrice à suivre de près ...

[Riton]

Anne Hathaway
Bijou Philips

[Dunandan]

8/10

Jingi Naki Tatakai $de Kinji Fukasaku 1973

"On ne nait pas yakuza, on le devient"

Toujours mon film préféré de Fukasaku (avec Battle Royal évidemment), un film que j'ai bien entendu découvert lors de la vague d'Introuvable Wild Side et c'était largement le meilleur du lot. Encore à ce jour ça reste une référence du film de yakuza
Dès les 5 premières minutes on entre dans le bain avec un viol et un mec qui se fait couper un bras, et on va suivre Hirono (Sugawara Bunta encore une fois excellent, le charisme ça s'invente pas, on l'a ou on l'a pas et Bunta il l'a clairement et il crève l'écran a chaque apparition comme c'est le cas dans tous ses films) qui va se retrouver en prison avec un yakuza et devenir son frère de sang et on va suivre un homme qui va se rendre compte que le monde des yakuzas est tout sauf un monde d'honneur, c'est des manipulateurs, des opportunistes et des arrivistes, l'honneur du titre est bien absent ce qui ne va pas avec les valeurs de notre héros. Et Fukasaku s'interroge donc sur ce prétendu code d'honneur des hommes de l'ombre.
Le film était un peu vendu comme le coté asiatique du Parrain de Coppola alors évidemment on y trouve le coté (re)naissance de la pègre mais le film fait plus penser du Friedkin (pour le coté urbain) ou du Scorsese (pour le coté je m'intéresse aux hommes de mains et pas au caïd ) dans le traitement des persos.

Fukasaku dresse un portrait de la pègre (notamment le lien très étroit qu'elle entretient avec les politiques et les grandes entreprises) dans les années d'après guerre où c'est donc la loi du plus fort qui règne (la parole ne vaut plus rien, Hirono va vite s'en rendre compte). Alors au début c'est un peu chaud à suivre avec tout ces noms et ces truands mais petit à petit ça devient plus simple à grand coup de flingues (avec un décompte macabre qui n’est pas sans rappeler Battle Royale 35 ans avant), ou c'est généreux en hémoglobine, des scènes toujours très rapides et sèches (on est pas chez Woo pas de ralenti et pas 50 plans pour un meurtre), l'intrigue se resserre donc sur le perso de Hirono dont la réplique finale tue absolument avec le regard du mec qui faut pas faire chier "il me reste des balles" (dans le genre last lines elle se pose là). Par contre faut noter que c'est moins nihiliste que d'habitude avec lui (le héros meurt pas quoi). Et l'histoire au final c'est juste une bête guerre des gangs pour des prétextes à la con mais alors faut s'accrocher car les alliances sont vraiment mouvantes, c'est difficile à suivre et finalement Fukasaku rend tout ce chaos très cohérent.
Dans le reste du cast Matsukata Hiroki en impose bien avec ses lunettes de frimeur et balance une réplique qui tue : "Le patron est le patron. Dommage que j’en ai choisi un nul" et on a pleins de têtes plus ou moins connues de l'époque.
La réalisation de Fukasaku est comme d'hab, mention a la scène roman-photo narré par une voix-off, pour le reste on retrouve les gimmicks du maitre : caméra porté, super zoom, cadrage de travers, gros freeze, enfin quand on regarde un Fukasaku on le sait.
Super BO comme toujours dans les 70's.
Un film qui a révolutionné le genre et qui reste toujours une référence.


* je reprend les paroles de Tarantino en itw dans les bonus du film : «Le seul point négatif dans cette rétrospective est d'avoir retitré le film en anglais Combat sans honneur et humanité alors que le mot jingi n'a pas ce sens. Le jingi, c'est quelque chose entre l'honneur et la fidélité. Pour expliquer ça aux gens, je leur dis que quand dans Reservoir Dogs orange dit à white «c'est moi l'indic tue moi si tu en as envie avant l'arrivée des flics» c'est de cet ordre. Il passe entre eux quelque chose de plus que l'honneur et la fidélité, c'est le jingi.».

[Dunandan]

5/10

La banda J. & S. - Cronaca criminale del Far West de Sergio Corbucci (1971

Quand je l'avais découvert lors de sa sortie dvd (il y a plus de 15 ans maintenant), j'avais trouvé ça plutôt sympathique parce que Milian surtout mais la revision est compliquée à cause du ton du film qui m'a clairement cassé les couilles, l'humour et les westerns quoi.
On est donc devant un western atypique qu'on pourrait qualifier de relecture de Bonnie and Clyde, avec une fois de plus Tomas Milian est énorme (il en fait des caisses pour le meilleur et pour le pire) et son duo avec Susan George fonctionne a merveille (ça pour le coup c'est la qualité du film et ça doit beaucoup aussi à Susan George qui est une vraie bonne actrice et entre Chien de Paille et Mandingo elle a vraiment une belle petite filmographie). Et d'ailleurs il doit pas y avoir beaucoup de westerns italien où une femme a un rôle aussi important et loin des rôles de putes habituelles et le film est intéressant que grâce à ce personnage.
Ca commence comme un buddy movie avec Jed qui traine comme un boulet la jolie Sunny, les passages comiques sont pas loin d'être un calvaires (one man show total de Milian qui en fait des tonnes alors des fois c'est marrant ça va loin dans la misogynie mais alors quand il a le pis d'une vache dans la gueule on se dit qu'il va un peu trop loin ), les passages plus intimistes avec Sonny sont heureusement meilleurs. Et la fin avec la situation qui s'inverse est marrante.
Mais voilà avec Corbucci derrière la caméra c'est vraiment décevant, les scènes d'actions souffrent du budget du film mais d'habitude Corbucci compense par un vrai savoir faire, ici j'ai vraiment trouvé ça assez pauvre sur la forme (c'est con la scène dans le silos à grain avait un vrai potentiel), en plus on a même pas un petit duel a se foutre sous la dent. Et de manière générale malgré le scope j'ai pas trouvé le film très beau, bon c'est pas moche comme de nombreux spaghetti mais pour un film de Corbucci c'est vraiment très décevant.
Dans le rôle du shérif qui poursuit nos 2 héros on retrouve un puissant Telly Savalas qui en impose vraiment ( et même après son accident dans le film il reste toujours aussi dangereux bien que diminué physiquement ) mais pendant tout le film j'ai cru qu'il s'appelait Francis Kuntz.
Et très beau score de Morricone qui mélange le ton désenchanté de "Il était une fois la Révolution" (on retrouve le gimmick répétant le nom d'un personnage dans un thème, ici "Sonny) et le côté humoristique de "Mon Nom est Personne".
Mais voilà au final le script est assez maigre et tient entièrement sur le couple (et malheureusement l'humour) et on tourne pas mal en rond, ça manque d'un climax digne de ce nom et on se fait quand même un peu chier, pas loin de penser que c'est le moins Corbucci, derrière même un Navajo Joe.

[Scalp]

De la Part des Copains de Terence Young 1970



Installé sur la Côte d'Azur, où il a une entreprise de bateaux de plaisance, Joe, un Américain au passé militaire chargé, se trouve brutalement confronté avec d'ex-complices qui lui reprochent de les avoir abandonnés au beau milieu d'un coup. Ils ont fait plusieurs années de prison, alors que lui restait en liberté. Ce que veulent ces copains, c'est que Joe vende son entreprise et partage avec eux tous ses biens. Pour le persuader, ils prennent comme otages sa femme et sa fille.

Co production Franco-italienne tourné sur la cote d'azur par Terence Young dont c'est clairement pas le meilleur film.
Mouais c'est pas exceptionnel, y a des gros trous dans le script qui accumule les raccourcis et certains scenes sont rallongés inutilement, ça brode pas mal notamment le coup du doc pour avoir une scene spectaculaire dans le film ( et c'est vrai la scene est réussi ), enfin Bronson est toujours excellent en tough guy et le reste du cast est sympa : Liv Ullmann est pas trop mal, Jill Ireland ne sert pas a grand chose mais elle reste agreable a regarder, Michel Constantin a une ptite scene ( j'ai vu le film en anglais et c'est même pas lui qui se double ), Mason est pas trop mal ( la scene ou il se vide de son sang et change de couleur toute les 5 minutes est marrante ), sinon y aussi un gars tres méchant : Katanga joué par je sais pas qui bein il est tres bien cet acteur.
Dans l'ensemble ça se regarde parce que c'est pas trop long ( on s'ennuie pas ou presque ) et bien réalisé : la scene avec Katanga et Ross dans la cabane est particulierement tendu et réussi, et bien entendu la scene de poursuite en voiture sur les routes sinueuses est vraiment réussi, on ressent vraiment la vitesse lors de cette scene et le montage est particulierement réussi ( bon faut oublier les plans sur les pieds de bronson par contre ).
Me reste Cosa Nostra a voir, j'espere quand même que c'est meilleur.
A voir pour les fan de Bronson ( des personnes de gouts quoi ).

5.5/10

[Niko06]

le problème c'est que Terence Young il a pas une filmo terrible terrible il me semble
A part Soleil rouge et les premiers Bond, bof

[Scalp]

oue a part les premiers Bond ( et encore faut que je les revois, pas certains que ce soit genial niveau mise en scene ), par contre Soleil Rouge c'est la classe ultime et rien que pour ça Terence Young merite le respect.

[zack_]

Vu le nombre de film chez Scalp tu peux juste me mettre en rouge les films sortis au cinéma en 2009 en page 1
Merci c'est pour le classement 2009

[Scalp]

bein si ça peut aider je note bien a chaque fois les films dans le topic cinéma ( mais bon des films de 2009 j'ai du en voir 6/7 a tout casser )

[zack_]

Alors c'est bon j'ai tout pris car oui ca m'aide si tu poste là bas

[Dunandan]

7/10

Tokyo Nagaremono de Seijun Suzuki 1966

Suzuki fait vraiment des polars à part, et on trouve pas plus classe et cool que ses films, et quand on voit son oeuvre on se rend vraiment compte de l'influence qu'il a eu sur Tarantino ou Jaarmush (ou même John Woo), d'ailleurs la première scène du film fait directement penser à Reservoir Dogs avec les 5 yakusas qui marche tous aligné et tous très classe.
Chez Suzuki le script est préteste et simple ( enfin presque ) avec notre héros solitaire qui pousse la chansonnette même quand il est pourchassé, la belle chanteuse mélancolique qui l'attend sagement (et qui fait que chanter pendant tout le film ), des méchants de parttout ( dont un terrible Tatsuo ), que du classique quoi mais chez Suzuki avec du classique il te pond un truc compliqué. Ainsi au début on a un peu de mal avec tout ces persos et Suzuki nous aide pas en balançant des ellipses assez brutes, c'est vraiment anticonformiste : genre une en pleine scène de kidnapping, on se retrouve dans une voiture qui fait du rodéo et hop plan suivi on se retrouve en pleine fête foraine, y en a une autre en plein duel : les 2 yakusas sont face à face et hop plan suivant on en retrouve un tranquille chez lui. Sinon les persos débarquent souvent de n'importe où : la scène ou Testuo se retrouve pourchassé dans la neige par 2 fois il est sauvé par des gars qui tombent du ciel.
Le film est surtout un prétexte pour Suzuki pour s'amuser avec l'image, et ici tout est surtout question de style, et ça il le fait vraiment bien, c'est super esthétique et vraiment beau a voir. Le style du héros déjà : lunettes noires, costume classe, chaussures rutilantes le tout dans une ambiance swinging Tokyo 60's. Et bien qu'on puisse y voir un coté très minimaliste, il joue a fond avec le contraste des couleurs, les sont décors surréalistes, pastels, parfois surexposés, notre héros dans son beau costume bleu dans la neige, les costumes flashy, l'iconisation de certains objets (ça m'a fait penser Ipcress File), entre chaque plans le décor peut même changer de couleurs et quand en plus l'esthétisme très Pop Art est allié a une mise en scène très soignée : du gros zoom, des travellings toujours classe, du plan séquence, ça donne un magnifique film qui regorge de scènes géniales : une grosse baston dans un bar, un duel sur fond blanc avec un décor très épuré ( on a juste un piano ), du gunfight 2D qu'on dirait tout droit sorti d'un manga avec un coté très case de manga (ou comics vu que c'est en couleur). C'est typiquement le genre de film où on peut dire, un plan une idée. Alors oui ce coté très léché a aussi un coté très kitsch mais c'est ce qui fait le charme du film et de Suzuki.
Après le film a quand même des défauts, on est clairement dans l'abstrait au niveau de l'histoire, y a pas vraiment de tension et c'est vraiment foutraque, alors la courte durée aide à rendre tout ça pas pénible à suivre mais on est juste dans un exercice de style, les personnages n'existent pas vraiment 'et je suis pas vraiment convaincu par l'acteur principal, y avait beaucoup mieux au Japon ç cette époque), et c'est la forme pour la forme ici.
La chanson thème est magnifique, mais vraiment.
Un pur film d'esthète.

[Scalp]

Manhunt de Patrik Syversen 2008



Oue bof bof, alors oui y a un esthétisme année 70 sympa, une belle foret, et des meurtres violent et sans chichi mais pour le reste c'est nase.
C'est le survival qu'on a deja vu 50 fois ( et là ça bouffe vraiment a tout les rateliers ), avec ces jeunes pas attachant du tout ( t'en a juste rien a foutre de ce qu'il leur arrive ) dans leur van pourri qui s'arrete dans une station service toute moche ( passage obligatoire du genre ) et prenne avec eux une femme perturbé ( allez hop un ptit coup de Texas Chainsaw ), apres une intro un peu chiante arrive enfin le premier meurtre bien violent ( le coup dans la cheville fait mal ) pas de bol, la moitié du cast vient de disparaitre et la suite va etre longue, tres longue, tres tres longue.
Bon les redneck tueurs dans les survival c'est jamais réputé pour leur intelligence mais alors ceux là y battent des records tellement ils sont con et leur action illogique : et va y que jte laisse trainé des armes n'importe ou, les pauvres victimes se sauvent à chaque fois bein oue nos amis tueurs preferent allez se promener que de les surveiller ou les buter ( la palme a la scene ou le gars voit leur jambe mais fait rien ), on connait pas le but des tueurs ( là aussi c'est pas un probleme mais quand c'est juste des psychopathe y bute et pis c'est tout, eux on sait pas trop ce qu'ils kiffent, y violent pas, y chassent pas ( malgré le titre trompeur ), c'est pas des fans de tortures, en fait c'est juste des gogols ) , arrive la fin sans surprise.
Bon que ce soit pas original c'est pas un probleme ( un survival ça l'ai jamais ) mais là c'est chiant, les scenes dans la foret sont vite redondante et le montage est fait à la truelle, en gros on a toujours l'impression de voir la même chose pendant 30 minutes. Heureusement ça dure que 1h15.
La bande son est pourri.
Reste une photo correcte, une blondinette qui court et qui bute tout les neuneus.
Les films norvegiens ça fait beaucoup de bruit pour rien.

3/10


la scene la plus debile du film, au dessus se trouve le tueur qui entrain de dépecer sa victime ( ça on sait pas pourquoi vu qu'ensuite il se barre ) et qui voit les jambes dépassé, là tu te dis y va les surprendre, bein y se barre ce con.


une des nombreuses scenes qui dure 3 plombes et qui sert a rien

[Scalp]

3/10

Go Fast de Olivier Van Hoofstadt - 2008

Spoiler

Ah les prod Europa de la belle époque, celui il avait été vendu comme un Fast and Furious réaliste, lol. Quand on voit le nom du scénariste on sait déjà que ça va être génial puisqu'on retrouve Bibi Nacery (il a tout apprit avec Besson "t'oublies pas faut une bonne meuf avec des gros seins et une Audi" ) auteur des fameux la Mentale et B13, là il a oublié que ça devait être réaliste et écrit son truc comme un épisode du transporteur. Alors ça accumule les raccourcis et les incohérences a une vitesse impressionnante.
Ca commencait pas trop mal pourtant, arrive le coup de la planque là on te dit que c'est super chaud de rentrer dans la cité et tu vois les 3 gars avec leur tête de flics dans l'appart pour surveiller ( bon on apprend après comment y sont rentré, Bibi s'est rappelé qu'il avait oublié un truc dans son histoire ) après on te dit qu'ils ont été grillé (alors faut le croire hein ) et là paf seul truc du film que j'ai pas vu venir, enfin c'est bien aidé d'une feinte vicelarde la mort du perso de Gourmet ( pas grave vu comme il était mauvais) pourquoi on la voit pas venir, bein parce que le film a commencé depuis 15 minutes et que Gourmet il a son nom en gros sur l'affiche. Du coup après t'as Roschdy Zem qui est tout vénère et fait une descente dans la cité, il arrête les coupables mais bon ils ont pas de preuves ( mince alors c'est balot ça) et a partir de là le film part en freestyle totale où on devine TOUT à l'avance, exemple type de scène : le gars est en prison, tu vois Zem avec sa cagoule, y rentre dans une pièce et l'enlève, plans suivant le prisonnier et là tu commence a cogiter hum, Zem va se faire griller (à la base c'est un undercover ) mais comment, bein grâce a un truc tout con t'as une porte avec un gros sens interdit écrit "interdit au gardé a vue" bein non t'as le fonctionnaire qui décide de passer par cette porte ( alors qu'on passe par la salle de repos des gars du raid censé rester anonyme ) avec le prisonnier parce que c'est plus rapide ( bravo bibi ) et bien entendu il tombe nez à nez avec Zem, bon bein voila là tu comprends direct que le truands va s'en rappeler au moment où il faut pas ( mais le plus fort c'est comment y va s'en rappeler, ça je vous le dit pas c'est énorme c'est a découvrir pas soit même ).

Apres t'as Zem y choppe les nerfs parce qu'il peut rien faire et qui faut se la jouer borderline du pauvre, du coup on l'envoi en entrainement chez le raid, y fait des pompes, remonte plein de fois son flingue et apprend a conduire sur un circuit qui fait 10 mètres de long ( vachement utile pour faire des Go fast sur autoroute à 200 km ), a ce moment là t'apprend que les ricains y sont un flic infiltré ( donc en gros Zem y sert a rien, mais bon faut bien l'infiltrer sinon y a plus de film ) et l'infiltration c'est un grand moment : t'as le patron ( enfin le sous chef c'est pareil ) qui appelle en personne Zem pour l'engager ( comment ? pourquoi ?? va savoir ) et après on a toute la patrie infiltration ou même un aveugle aurait tricard que Zem il esf flic ( la scène où il doit buter un gars c'est juste énorme ), l'agent ricain on sait qui c'est des qu'on le voit.
Bon apres on a des petites péripéties sans interêt et arrive enfin le truand qui va reconnaître notre flic, bon y va mettre le temps, une fois qu'il le reconnaît c'est la fin du film, y a une cascade, 3 coups de feu ( et là ça fait vraiment pitié, tu vois les flics qui disent qu'ils ont placé des snipers partout et t'as le gars il arrive a faire 10 mètres en tirant dans le tas ), et paf c'est la fin le gentil gagne, sort avec la bonnasse et les méchants sont en prison.
Y a aucune empathie pour le perso de Zem (alors qu'à la base c'est un acteur que j'aime bien), le rythme est trop pépère, on s'ennuie pas spécialement, ça se suit quand même (parce que ça dure 1h20 aussi) mais c'est très mal écrit.
Bravo Bibi ça c'est du script en béton.
La réalisation est pas spécialement mauvaise, elle est juste neutre ( pourtant ça partait bien, le premier mouvement de camera du film est vraiment classe ), les 2 pauvres scènes d'action du films sont nases et les scènes de voitures c'est pas la joie.
Le casting est pas trop mal, Zem est presque crédible et les truands ont des bonne tronches (y a le vénère de Validé, je l'aime bien luià mais voila c'est un film raté.
La bande son a base de techno de merde est particulièrement pourri.
c'est ni un polar réaliste, ni un film avec des voitures qui font vroum vroum, ni un film d'action, ni un bon film....