[jean-michel] Mes critiques en 2009

Modérateur: Dunandan

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar jean-michel » Dim 03 Mai 2009, 12:26

oui peut-être, mais cela ma laissé froid.... :mrgreen: j'ai pas adhéré au style, aux acteurs et pourtant j'aime bien ed harris... mais cela ne convient pas à ma sensibilité!! 8)
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Dim 03 Mai 2009, 12:27

Les notes sont moyennes sur ce film sauf pour toi Scalp
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar jean-michel » Dim 03 Mai 2009, 12:28

moi je vais me revoir open range, pour essayer de voir ce qui ma plu chez l'un et déplu chez l'autre... histoire d'être sûr des raisons donnés! :super:
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar Scalp » Dim 03 Mai 2009, 12:31

zack_ a écrit: Les notes sont moyennes sur ce film sauf pour toi Scalp


y a kiki qui a aimé aussi ( rho putain j'ai les mêmes gouts que lui ... :eheh: ), plus sérieusement je pense qu'il faut vraiment etre fan de western ( et de tout les styles ) pour apprecier Appaloosa a sa juste valeur.
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar Tyseah » Dim 03 Mai 2009, 15:55

J'ai surkiffé Appaloosa. 8)
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Bande à Baader (La) - 8,5/10

Messagepar jean-michel » Dim 24 Mai 2009, 10:44

BANDE A BAADER (la) (2008)

Réalisé par Uli Edel
Avec Martina Gedeck, Alexandra Maria Lara, Bruno Ganz
Film allemand.
Genre : Drame
Durée : 2h 25min.
Année de production : 2008
Titre original : Der Baader Meinhof Komplex

8,5/10


Un film que j'ai trouvé intéressant et qui ma poussé à faire des recherches sur cette période troublé.
La mise en scène est à la fois fluide et extrêmement tendue.

Mené par une bonne équipe d'acteurs cette histoire montre l'exaltation de la jeunesse qui poussé par l'injustice ce retrouve eux-même dans une voie sans issue.
Le film reconstitue le déroulé des années de plombs de belle manière.
Un drame riche en moments forts, même si la qualité générale de ces différentes parties est inégale.

8,5/10
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Été où j'ai grandi (L') - 9/10

Messagepar jean-michel » Ven 29 Mai 2009, 00:54

L'été où j'ai grandi (2003)

I'm Not Scared
Un film de Gabriele Salvatores
Avec Aitana Sanchez-Gijon, Dino Abbrescia, Giorgio Careccia
Compositeurs :Ezio Bosso
Ennio Morricone (chanson)
Pepo Scherman
Directeur de la photographie :
Italo Petriccione
Durée : 1h42
Thriller Drame[infos=]

9/10



L'été dans un paisible village. Michel a 10 ans et joue à avoir peur avec ses copains... Rien ne semble troubler ces moments d'innocence. Et pourtant, au fond d'un trou, il découvre un terrifiant secret. Michel ne se doute pas qu'il est devenu le témoin d'un abominable crime qui changera le regard qu'il porte sur ses proches.
Un film qui ma touché, une histoire magnifique et cruelle, à la fois pleine de vie et de noirceur et mise en scène par un réalisateur de talent. Un film qui est un portrait désabusé et cynique de la nature humaine, l'innocence de la jeunesse face à la noirceur des adultes. Une rencontre entre un enfant libre et un autre séquestré, un voyage initiatique qui le fera grandir. Un métrage à émotion d'une formidable puissance! j'adore!
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar Niko06 » Ven 29 Mai 2009, 08:02

Je connaissais pas du tout, en 4 lignes tu m'as vachement donné envie de le voir!!! Merci :super:
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar jean-michel » Ven 29 Mai 2009, 09:06

de rien, une très bonne surprise pour moi aussi! :love:
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Buongiorno, notte - 9/10

Messagepar jean-michel » Dim 31 Mai 2009, 12:17

BUONGIORNO NOTTE ( 2003)

Réalisé par Marco Bellocchio
avec Maya Sansa, Luigi Lo Cascio, Piergiorgio Bellocchio jr

9/10



A Rome, en 1978, Chiara, jeune terroriste engagée dans la lutte armée, est impliquée dans l'enlèvement et la séquestration d'Aldo Moro. A travers ses yeux, nous voyons se dessiner l'univers complexe des "années de plomb". Sa foi absolue dans la révolution l'emprisonne dans les rituels de la clandestinité.
En contrepoint, elle mène une vie au grand jour, un quotidien ordinaire : le boulot, le bureau, les collègues et un petit ami qui semble la connaître si bien, si pleinement, mieux qu'elle ne se connaît elle-même.
Elle s'accroche à des émotions infimes que l'idéologie et la lutte des classes battent continuellement en brèche. En conflit avec les autres membres du groupe, elle se sent de plus en plus mal à l'aise dans son rôle de combattante, tandis que le passé et le présent ébranlent ses certitudes.

Image

Un huit-clos étouffant psychique et émotionnel. Une réflexion passionnante sur l'engagement terroriste mis en scène d'une redoutable manière par un réalisateur doué. Les personnages et surtout le rôle féminin est d'une grande ambiguïté dans ces sentiments, bien mis à jour par le scénario et l'image. 55 jours de vie commune entre les bourreaux et la victime montrée d'une belle manière, fort émouvante grâce à des séquences en tout point parfaites. Pas de moments de basses intensités sur ce film, une force constante anime ces plans qui mit bout à bout forment un métrage qui bouleverse profondément ! C'est vraiment un film qui m'a touché, le conteste social et politique, l'histoire, les acteurs, l'ensemble forme un témoignage vrai d'une époque à feu et à sang.
La bande son est riche et soignée et la musique des Pink Floyd ( The Great Gip in the sky) est d'une musicalité convenant parfaitement à l'atmosphère spéciale de l'Italie de l'époque. 9/10





Anna Laura Braghetti, 46 ans. Ex-brigadiste geôlière d'Aldo Moro, elle vit en semi-liberté et rêve d'une petite maison dans la prairie. Rouge passé


Comment faire pour se reconnaître? Pas de problème, assure-t-elle, on y parviendra.» Quelques minutes avant l'heure fixée, Anna Laura Braghetti est postée à l'extrémité de la bouche du métro, face à l'imposant monument romain. Petite, un peu ronde, discrète dans une longue robe noire avec des petits motifs à fleurs, son sac à main fermement tenu sous le bras. Un léger sourire brise finalement l'attente et sa pose rigide. Celle qui fut autrefois la «Camilla» des Brigades rouges, geôlière du président de la Démocratie chrétienne Aldo Moro, propose étrangement que l'entretien se déroule dans un square de l'Esquilin, l'une des collines qui ouvre sur les vestiges du Forum romain. Réminiscence de son long passé de clandestine? «Mais non, s'amuse-t-elle, les habitudes de la clandestinité se perdent très rapidement. Depuis longtemps, je n'ai plus peur à tout instant d'être braquée par la police. Seulement, j'aime tellement contempler Rome"»

A 46 ans, Anna Laura Braghetti profite de chaque moment. Son passé de «brigadiste» et de meurtrière lui impose encore aujourd'hui de compter chaque heure. De rythmer ses journées avec une rigueur quasi militaire, au gré de l'administration pénitentiaire qui lui a accordé un régime de semi-liberté: «6 heures: réveil et petit déjeuner avec ma camarade de cellule Francesca Mambro», ancienne terroriste d'extrême droite, condamnée pour l'attentat à la gare de Bologne en 1980. Les deux femmes ont fini par s'apprécier. Cinq ans de vie commune en prison les ont aidées à surmonter la fracture létale entre jeunesses fasciste et communiste. «7 heures: je sors de Rebibbia», raconte Anna Laura Braghetti. La prison, à la périphérie de Rome, accueille encore une trentaine d'anciens militants des BR. Chaque matin, en attendant l'arrivée de ses collègues d'une petite association de réinsertion de détenus où elle travaille depuis cinq ans, elle s'amuse avec quelques jeux informatiques, jette un oeil sur les journaux. «Ne me parlez plus de politique. Ça a été la grande passion de ma jeunesse. J'ai cru la comprendre et me suis trompée. Alors, aujourd'hui, je préfère dire que je ne comprends rien.» Ses quelques heures de loisirs, Anna Laura Braghetti les passe sur les plages de la mer toute proche, à dévorer Daniel Pennac ou des auteurs américains. Ou bien en compagnie de son nouveau compagnon, qui ne la questionne pas sur son passé. Chaque soir, il faut rentrer précipitamment en prison. «Comme une nonne retrouverait son couvent», glisse-t-elle.

Condamnée à perpétuité en 1980, elle a fait onze ans et demi de prison spéciale. Isolement, censure du courrier, tout cela est derrière elle. Aujourd'hui, elle a rompu avec toute idée de lutte armée et renoncé au communisme. Elle a même lu Soljenitsyne qu'elle avait refusé d'ouvrir vingt ans plus tôt, lorsque les livres de l'écrivain russe traînaient sur la table de son père communiste. Puis repris des études de littérature et d'histoire. S'est mise à écrire le récit de l'enlèvement d'Aldo Moro, l'assassinat du professeur d'université Vittorio Bachelet (1) qu'elle a abattu de onze coups de revolver, un matin de février 1980. Elle théorise: «Il fallait raconter l'état d'esprit, le regard d'une personne sur le monde au moment où, pour poursuivre une utopie, elle emprunte une voie violente et révolutionnaire avec une extrême détermination.» Puis, soudain, confie: «Il fallait aussi que je puisse me raconter à moi-même ces événements si tragiques" Mon passé ne passe pas», admet-elle dans un souffle. Sa vie reste celle d'une prisonnière, elle qui fut, en avril 1978 et durant cinquante-cinq jours, la gardienne de «la prison du peuple». La seule femme d'un commando de quatre membres chargés de surveiller, d'interroger puis de tuer le responsable démocrate-chrétien, coupable, à leurs yeux, d'avoir été le partisan d'un compromis historique avec le PCI. «J'ai adhéré à un projet révolutionnaire qui prévoyait l'utilisation de la violence, ce n'était pas une compagnie de bons samaritains, commente-t-elle froidement. Mais, quand je pense à Aldo Moro et au professeur Bachelet, j'ai le sentiment d'une énorme injustice, d'avoir infligé une douleur inguérissable à leurs familles.»

Anna Laura Braghetti n'en finit pas d'interroger Camilla. De disséquer l'engrenage qui fait passer une jeune femme armée d'une «foi dogmatique pour la révolution» et d'un amour pour Bruno Seghetti, déjà membre des BR, aux manifestations où tout dégénère. «Cela s'est produit dans un contexte social plein de contradictions, avec une lecture idéologique de la révolution, en fréquentant des amis qui avaient déjà fait le saut dans les BR», égrène-t-elle fébrilement. Puis elle conclut: «Au-dessus, il y a la responsabilité individuelle, celle qui pèse plus que tout.» Sans chercher à se dédouaner, elle insiste toutefois: «En louant l'appartement via Montalcini, jamais je n'aurais pu penser que j'allais marquer pendant plus de vingt-cinq ans la vie de ce pays.» Depuis son arrestation, elle mène un combat quotidien pour rentrer dans une norme qu'elle fuyait jadis.. «Nous voulions une société sans classes, l'hégémonie du prolétariat"» Elle rit: «A quoi ça rime maintenant?» Celle qui voulait fuir la monotonie de la vie quotidienne, s'enivrer au souffle de l'aventure révolutionnaire, aspire désormais à payer un loyer, des factures, cuisiner, se retrouver au chaud dans sa famille d'origine modeste. «C'est un travail de tous les jours. Après l'affaire Moro, nous avions une sensation de défaite, beaucoup de personnes étaient arrêtées. L'issue, c'était l'exil, la prison ou la mort.» Le doute s'est alors insinué et ne l'a plus quittée. Pas de regrets: «Je critique mon passé, mais j'en accepte les conséquences. L'enlèvement d'Aldo Moro était une histoire plus grande que moi.» Pas juridiquement «repentie» non plus: «Pour obtenir une réduction de peine? Cela s'apparente à de la délation.» Posée, sa voix se durcit quand il s'agit de juger le récent assassinat, à Rome, d'un collaborateur du ministre du Travail, revendiqué par les BR: «C'est une blessure qui se rouvre en moi. Comme s'il ne pouvait jamais y avoir de mot fin.» Elle ne veut pas du repentir, mais ne craint pas de se renier: «Comment peut-on encore utiliser la violence politique? On ne peut pas changer le cours de l'histoire en tuant un homme. De cela, nous sommes responsables pour l'avoir fait avant eux.» Ce dernier assassinat risque de repousser une nouvelle fois un projet d'amnistie. Anna Laura Braghetti en prend acte. Du fond de sa cellule, elle ne rêve plus que de «vivre dans une petite maison de campagne, d'aller à l'étranger, d'être un peu hors du monde». Pour éviter aussi de devoir repasser à proximité de la via Caetani, rue où fut retrouvé le cadavre de Moro dans le coffre d'une 4L rouge.

22 h 30: une bière rousse et un plat de raviolis surgelés rapidement avalés dans un pub sans âme, et l'appel de la prison la bouscule. Commence le rite du retour précipité des ex-Brigades rouges vers Rebibbia. A l'entrée du pénitencier, elle adressera un salut fugitif et anodin aux anciens camarades. Elle trouve qu'ils ont vieilli.

photo TOMASO BONAVENTURA (1) Le Prisonnier, 55 jours avec Aldo Moro, Denoël.

Anna Laura Braghetti en 11 dates 1953 Naissance à Rome.

1974 Abandonne le Parti communiste italien après deux ans de militantisme.

1977 Entre dans les Brigades rouges.

16 mars 1978 Enlèvement d'Aldo Moro. Geôlière de la «prison du peuple».

9 mai 1978 Au bout de 55 jours d'emprisonnement, Aldo Moro est exécuté.

Mai 1979 Participe à un échange de coups de feu devant le siège provincial de la Démocratie chrétienne. Deux policiers sont tués.

12 février 1980 Assassine le professeur Bachelet.

Mai 1980 Appréhendée lors de la préparation d'un assassinat. Condamnée à perpétuité.

1987 Rompt avec les Brigades rouges.

1994 Obtient un régime de semi-liberté.

1999. Publication française du «Prisonnier».
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Donnie Darko 2 : L'héritage du sang - 4/10

Messagepar jean-michel » Ven 05 Juin 2009, 21:56

S. Darko
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* Genre : Thriller fantastique
* Année de production : 2009
* Scénariste : Nathan Atkins
* Casting : Daveigh Chase, Briana Evigan, James Lafferty, Ed Westwick, Walter Platz, Matthew Davis, Elizabeth Berkley
* Réalisateur : Chris Fisher
* Pays d'origine : USA
* Durée : 1h43
* Budget : 10 millions de dollars
* Musique : Ed Harcourt
Image

Un film qui essai de surfé sur la vague du succès du tome original. Malheureusement c'est un pétard mouillé! le scénario est brouillon, l'histoire na ni queue ni tête, l'émotion n'est pas présente et les acteurs peu charismatique. Chris Fisher copie les effets et le style de Richard Kelly mais sans un synopsis qui tienne la route et le talent de la mise en scène qui devrais l'accompagner cela ne sert à rien!! Une suite de donnie Darko dispensable et qui se verra une fois par curiosité! 4/10
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Ven 05 Juin 2009, 23:08

J'attendais un avis sur le film - un direct-to-vidéo apparemment que je verrai peut être un jour mais a priori ca presse pas du tout... (ben oui j'aime bien les séries B en suite comme En territoire ennemi 2, Hollow Man 2, l'effet papillon 2 ou La colline a des yeux 2: y en a des réussi au vu du budget :super: )
zack_
 

Stop Loss - 6/10

Messagepar jean-michel » Dim 07 Juin 2009, 00:15

STOP-LOSS

Avec Ryan Phillippe, Channing Tatum, Timothy Olyphant
Film américain.
Genre : Drame, Guerre
Durée : 1h 52min.
Année de production : 2007
Image
Brandon King, un héros de la guerre en Irak, fête son retour dans sa petite ville natale du Texas. Il essaye de renouer avec sa vie d'avant, de ressérrer les liens avec sa famille et son meilleur ami, Steve Shriver, qui était avec lui en Irak. Mais l'armée lui ordonne de repartir là-bas. Il refuse.

Les débuts de ce film sont très violents, la réalité du soldat américain en Irak est cruellement montré et en cela déjà ce film est honnête. Le patriotisme exacerbé est à bout de course et ce métrage montre maladroitement les injustices du Bushisme avec sa loi Stop-Loss qui oblige certains de ces soldats à retourner au combat de manière obligatoire. Quel va être la réaction de Brandon ( Ryan Phillippe) face à cette injustice? Les scènes intimes explicative du cheminement intérieur de ce soldats s'enchainent suivie de séquences plus violentes montrant la dangerosité du personnage plein de réactions contradictoires. C'est une oeuvre transgressive qui dynamite les idéaux américains, même si la réalisation et l'histoire (le gars est en fuite et il se balade tranquille dans tout le pays!)sont un peu légères ...
C'est quand même une bonne peinture ou instantané sur la psyché américaine et ce film est parvenu à m'intéresser malgré la construction narrative qui a quelques défaillance . 6/10
Image
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Été Meurtrier (L') - 9/10

Messagepar jean-michel » Ven 12 Juin 2009, 08:47

L'ETE MEURTRIER

Réalisé par Jean Becker
Avec Isabelle Adjani, Alain Souchon, Michel Galabru
Film français.
Genre : Drame
Durée : 2h 10min.
Année de production : 1983

9/10



Une jeune femme nouvellement installée dans un petit village provençal aguiche un peu trop les garçons du coin.

J'ai revu ce classique hier soir et ce personnage "elle" est toujours aussi fascinant ! Isabelle Adjani prête sa claire nudité au film et irradie en femme enfant, à la moue boudeuse et qui colle parfaitement à son rôle et irradie la sexualité primaire, le désir et qui trouble les sens masculin ! Un film superbement mis en scène et la séquence finale dramatique des plombs qui sortent du fusil de Souchon au ralenti pour tuer un homme coupe le souffle. Un film qui dispose d'une force, d'une esthétique, d'une histoire pertinente. Les seconds rôles sont magnifiquement choisis. La BO et la chanson de Yves Montand est très émotionnelle et convient parfaitement à l'atmosphère du métrage. Un top intemporel pour moi !! 9/10
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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Ven 12 Juin 2009, 14:12

Avant ta capture dans le jeu des captures je ne savais pas que Souchon faisait du cinéma!
Sinon je verrai plus le film de fifou de Niko et Johell qu'ils ont critiqué avec Adjani (Possession)

Ps: tu te fais vieux jean-mimi que tu écrit si gros? :shock:
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