Modérateur: Dunandan


Eikichi Onizuka a écrit: Qu'il en déplaise à certains, c'est certainement mon film préféré








| Film: Jour où la Terre s'arrêta (Le) (1951) Note: 9/10 Auteur: Jipi |
Film: Jour où la Terre s'arrêta (Le) (1951) Note: 8/10 Auteur: Hannibal |
Film: Jour où la Terre s'arrêta (Le) (1951) Note: 8/10 Auteur: Alegas |
Film: Jour où la Terre s'arrêta (Le) (1951) Note: 7/10 Auteur: jean-michel |


| Film: Ratatouille Note: 8,5/10 Auteur: Dunandan |
Film: Ratatouille Note: 7/10 Auteur: Godfather |
Film: Ratatouille Note: 8,5/10 Auteur: zirko |
Film: Ratatouille Note: 8/10 Auteur: Alegas |
Film: Ratatouille Note: 8,5/10 Auteur: Bik |


| Film: Cars : Quatre roues Note: 8/10 Auteur: Dunandan |
Film: Cars : Quatre roues Note: 6/10 Auteur: Alegas |
Film: Cars : Quatre roues Note: 9/10 Auteur: Heatmann |
Film: Cars : Quatre roues Note: 8/10 Auteur: Bik |
Film: Cars : Quatre roues Note: 6/10 Auteur: Scalp |

Scalp a écrit: Sauf qu'on peut pas comparer Evil Dead à Leon, Evil Dead ça été fait avec un micro budget et entre pote et ça reste un des plus grand film d'horreur de tout les temps, avec des idées de mise en scene toute plus folles les unes que les autres, le tout porté par le génial Bruce Campbell.



| Film: Conquête de l'Ouest (La) Note: 5,5/10 Auteur: Heatmann |
Film: Conquête de l'Ouest (La) Note: 8,5/10 Auteur: jean-michel |

dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs




L’introduction parle d'elle-même et c'est avec un intérêt grandissant que nous suivons ce chien fuyant un hélicoptère, tous deux perdus dans l’immensité immaculée du continent blanc le plus éloigné de toutes civilisations. premier bémol du film : le plan dans l'espace qui en dit trop et qui ne sert strictement à rien. Il casse finalement tout le suspens du film une fois qu'on y repense alors que celui-ci se situe au tout début. Son écho arrive bine plus tard avec la découverte du dit-vaisseau mais sans ce plan d'ouverture n’aurions-nous pas compris qu’il s'agissait d'un UFO débarqué d'outre-espace?
La suite est captivante : la main theme de Morricone ô combien efficace, lent, répétitif mais qui glace le sang et envoutant totalement. il nous happe et le film à déjà gagné son pari: on tiendra jusqu’au bout grâce à cet mise en place efficace et quasiment inégalée (sauf bien sûr son prédécesseur : Alien de Ridley Scott).
Inquiétant, scotchant, l'intro pose les bases subtilement, simplement et de façon limpide. un plan d'un hélico perdu pourchassant un chien infatigable, une station paumée, des hommes face à eux-mêmes dans ce no man's land pétrifiant dont la couleur rappelle la pureté : pureté que va violer John Carpenter en nous proposant l’inverse d'Alien justement : un décor très vaste, blanc et pur mais perdu, insondable, glaciale et invivable.
Le chien joue un vraiment curieux rôle: bien choisit, bien dressé apparemment car il dégage vraiment quelque chose de louche et l'aura qu'il dégage est hallucinante. En 10 minutes je crois même que c'est lui qui possède les mineures scènes. Carpenter a vraiment assuré pou poser son univers et son atmosphère. C'est lent comme il faut sans pour autant être ennuyant. Le spectateur est littéralement absorbé par le long métrage. on découvre petit à petit de nouveaux indices : la découverte du bac de glace, la station abandonnée, le suicidé, le corps abominable et laissé pour mort qu'ils repèrent à même le sol, le vaisseau pris dans la glace etc... Le chien est toujours tapis dans l'ombre. Carpenter ne délaisse pas ses personnages au détriment de sa "folie" car le coté horreur n'intervient finalement que rarement et quand il le fait c'est toujours succin.
La scène dans la cage avec les chiens et le monstre qui se dévoile ne partie c'est absolument terrifiant : on ne s'y attend pas. Le film part d'un plan spatial SF puis se dirige vers le fantastique puis arrive la partie gore et innommable de la première vision de cette entité venue d'ailleurs totalement affreuse, surpassant de loin n'importe quel monstre du cinéma. Ici, Carpenter choisit quelque chose de non-identifiable. C'est protéiforme, c'est horrible, ça sort des Enfers ou de je ne sais quel monde inconnu dont les Lois Naturelles rejettent la symétrie.
The thing est dans la lignée d'Alien (c'est évident: hommage du lance-flamme oblige
Pour le moment indémodables et jamais surpassés. Les 4 se basent sur des bases similaires et Alien en est le précurseur mais les autres ne plagient jamais et instaurant leurs propres univers, leurs propres personnages et leurs propres profondeurs.| Film: Thing (The) (1982) Note: 10/10 Auteur: Val |
Film: Thing (The) (1982) Note: 10/10 Auteur: Scalp |
Film: Thing (The) (1982) Note: 10/10 Auteur: Tarankita |
Film: Thing (The) (1982) Note: 8/10 Auteur: Alegas |
Film: Thing (The) (1982) Note: 8,5/10 Auteur: nicofromtheblock |


| Film: Trois enterrements Note: 7/10 Auteur: Bik |
Film: Trois enterrements Note: 6/10 Auteur: pabelbaba |
Film: Trois enterrements Note: 8/10 Auteur: Jack Spret |
Film: Trois enterrements Note: 7/10 Auteur: Scalp |
Film: Trois enterrements Note: 8/10 Auteur: Milkshake |


| Film: Planète des singes (La) (1968) Note: 7,5/10 Auteur: Dunandan |
Film: Planète des singes (La) (1968) Note: 8,5/10 Auteur: obu |
Film: Planète des singes (La) (1968) Note: 9,5/10 Auteur: aurélie |
Film: Planète des singes (La) (1968) Note: 7/10 Auteur: Alegas |
Film: Planète des singes (La) (1968) Note: 8,5/10 Auteur: Scalp |


| Film: Cloverfield Note: 6/10 Auteur: caducia |
Film: Cloverfield Note: 0/10 Auteur: Scalp |
Film: Cloverfield Note: 7/10 Auteur: angel.heart |
Film: Cloverfield Note: 7/10 Auteur: obu |
Film: Cloverfield Note: 6,5/10 Auteur: francesco34 |

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