par Waylander » Jeu 08 Oct 2009, 19:17
Bah Jesse james par exemple : il brise tous les codes du western (ya peut-être trois coups de feux dans le film et un braquage sans gros effets et pétarades). C'est contemplatif av"ec une photographie carrément sublime (effet flouté sur quelques scènes) , c'est vraiment introspectif, et philosophique dans un sens. Avec une fin où le personnage principal ne meurt pas à cause d'une vengeance mais par jalousie d'un admirateur.
On tient là un film vraiment novateur concernant le genre. Et puis des films chiants yen a toujours mais le traitement diffère et moi des films comme Malick et Jesse Jame bah j'en ai jamais vu avant : autant de poèsie , de virtuosité etc...
Ensuite There will be blood : une ambiance très lente, très pesante, avec une interprétation MAGISTRALE, une descente aux enfers de façon vraiment psychologique et le titre renvoie directement à toute une ruée vers l'or noir qui aura conduit (et conduit encore de nos jours) à des guerres, des milliers de morts pour cette ressource. L'ambiance rend hommage à certaisn films d'ambiance de Kubrick (2001 par exemple pour l'ambiance musicale, les plans assez longs)
Et les deux films cités il a fallut avoir une sacré paire de couilles pour les produirent parce que ça s'éloigne à fond d'un destin commercial. Longueur et lenteur.
Pour Inarritu et Wright : j'en sais rien si des films datant d'avant 90's ressemblaient à ça mais pour notre époque c'est vraiment atypique et pas commun et ça montre bien qu'on peut faire quelque chose de bien différent que la mode qui consiste à mettre : de l'action, des sfx, un scénario banal et bidon, etc...
Et puis Casino : les plan séquences , le montage, l'utilisation des musiques, les acteurs, le scénario et les perosnnages : ça reprend que des trucs déjà exitant et Scorsese e nfait un film ULTIME que personne n'est près d'égaler : pas même Tarantino ou PTA même si Boogie Nights est juste derrière.
Tout ce que je dis ça ne révolutionne rien mais ça offre des pistes différentes, ça innove, ça "tente" donc quelque part ya révolution