
Réalisation: Florian Henckel von Donnersmarck
Distribution: Thomas Thieme, Martina Gedeck, Ulrich Mühe
Genre: Drame
Origine: Allemagne
Sortie: 31 janvier 2007
Synopsis: Au début des années 1980, en Allemagne de l'Est, l'auteur à succès Georges Dreyman et sa compagne, l'actrice Christa-Maria Sieland, sont considérés comme faisant partie de l'élite des intellectuels de l'Etat communiste, même si, secrètement, ils n'adhèrent aux idées du parti.
Le Ministère de la Culture commence à s'intéresser à Christa et dépêche un agent secret, nommé Wiesler, ayant pour mission de l'observer. Tandis qu'il progresse dans l'enquête, le couple d'intellectuels le fascine de plus en plus...
Je vais intervenir en spoiler car j'ai besoin de vos lumieres afin de m'eclairer sur certains passages du film.
Le metrage est tout bonnement remarquable, la trame est parfaitement (ou presque) maitrisée, les dialogues sont ciselés, les acteurs epoustouflants de justesse et de profondeur : rassurant de voir que le film a obtenu l'Oscar et le Cesar du Meilleur Film Etranger alors que les primés de ce genre de cérémonies sont souvent décriés.
J'ai donc visionné ce film à quelques jours des 20 ans de la chute du Mur (moment crucial du film : le basculment ultime) et mes connaissances sur la Stasi et ses methodes demeuraient tres partielles. Elles en sortent renforcées voire transformées.
Je sais que la plupart d'entre vous l'ont vu il y a 2 ans lors de sa sortie et que vos souvenirs sont donc lointains. Mais si certains sont dotés d'une mémoire hors norme, ils sauront peut-etre m'aider.
J'ai eu droit de connaitre hier soir, un moment clé dans mon parcours de cinephile, genre d'experience qui arrive disons maxi 500 fois au cours d'une vie toute absorbée par le CINEMA.
C'est un film qu'on peut qualifier d'intelligent. On percoit bien que l'auteur realisateur nous respecte et cherche à nous tirer vers le haut, en osant affronter tous les themes meme les plus complexes et les plus sombres. Cette remarque confine à placer le film dans la lignée des grands films politiques de Gavras tels que Z, L'Aveu (La Vie des Autres demeure plus accessible et grand public) ou encore Amen. Un film coup de poing un peu long au demarrage mais qui deroule ses tentacules peu à peu jusqu'à happer notre esprit et notre coeur. On en sort definitivement bouleversé, grandi dans notre quete de la Connaissance de l’Ame humaine.
Si je maintenais totalement ce point de vue, je placerais ce metrage dans le panthéon du Cinéma mais malheureusement certains passages me laissent clairement sur ma faim à tel point que j'ai ressenti le besoin de communiquer avec vous pour comprendre comment vous les avez appréhendés. Moments du film qui decoivent d'autant plus qu'ils contrastent et tranchent forcement avec le reste de l’histoire, toujours au firmament du genre exploité.
J'ai donc recensé un certain nombre de pirouettes scénaristiques qui entachent la diegese. Elles malmenent la crédibilité general du propos alors meme qu'on est placé devant un film basé sur des faits reels ou tout du moins qui se veulent ultrarealistes, d’où l’exigence du spectateur qui en resulte naturellement.
Je ne me souviens plus du prenom exact des perso, dsl.
Le metrage est tout bonnement remarquable, la trame est parfaitement (ou presque) maitrisée, les dialogues sont ciselés, les acteurs epoustouflants de justesse et de profondeur : rassurant de voir que le film a obtenu l'Oscar et le Cesar du Meilleur Film Etranger alors que les primés de ce genre de cérémonies sont souvent décriés.
J'ai donc visionné ce film à quelques jours des 20 ans de la chute du Mur (moment crucial du film : le basculment ultime) et mes connaissances sur la Stasi et ses methodes demeuraient tres partielles. Elles en sortent renforcées voire transformées.
Je sais que la plupart d'entre vous l'ont vu il y a 2 ans lors de sa sortie et que vos souvenirs sont donc lointains. Mais si certains sont dotés d'une mémoire hors norme, ils sauront peut-etre m'aider.
J'ai eu droit de connaitre hier soir, un moment clé dans mon parcours de cinephile, genre d'experience qui arrive disons maxi 500 fois au cours d'une vie toute absorbée par le CINEMA.
C'est un film qu'on peut qualifier d'intelligent. On percoit bien que l'auteur realisateur nous respecte et cherche à nous tirer vers le haut, en osant affronter tous les themes meme les plus complexes et les plus sombres. Cette remarque confine à placer le film dans la lignée des grands films politiques de Gavras tels que Z, L'Aveu (La Vie des Autres demeure plus accessible et grand public) ou encore Amen. Un film coup de poing un peu long au demarrage mais qui deroule ses tentacules peu à peu jusqu'à happer notre esprit et notre coeur. On en sort definitivement bouleversé, grandi dans notre quete de la Connaissance de l’Ame humaine.
Si je maintenais totalement ce point de vue, je placerais ce metrage dans le panthéon du Cinéma mais malheureusement certains passages me laissent clairement sur ma faim à tel point que j'ai ressenti le besoin de communiquer avec vous pour comprendre comment vous les avez appréhendés. Moments du film qui decoivent d'autant plus qu'ils contrastent et tranchent forcement avec le reste de l’histoire, toujours au firmament du genre exploité.
J'ai donc recensé un certain nombre de pirouettes scénaristiques qui entachent la diegese. Elles malmenent la crédibilité general du propos alors meme qu'on est placé devant un film basé sur des faits reels ou tout du moins qui se veulent ultrarealistes, d’où l’exigence du spectateur qui en resulte naturellement.
Je ne me souviens plus du prenom exact des perso, dsl.