Modérateur: Dunandan




Ya des "fils de pute" tout les quart d'heure.
Hâte de rire devant cette comédie 

).
) et c'est pas trop l'ambiance à la "Rohan" du Seigneur des Anneaux qui le fait (le Hall est coipé-collé et ya même un mec qui s'appelle Boromir....).
Le scénar de ouf. Je veux bien m'ouvrir à des films de ce genre mais bon ça va quoi. J'en ai vu 50 et c'était 50 fois la même chose. The thing, Alien etc...ça c'est des vrais trucs. Qui en plus d'avoir LA forme , ont aussi le fond et l'ambiance avec de vrais acteurs. Et c'est pas qu'une hsitoire de budget. | Film: Outlander : Le dernier viking Note: 4,5/10 Auteur: Heatmann |
Film: Outlander : Le dernier viking Note: 5,75/10 Auteur: Pathfinder |
Film: Outlander : Le dernier viking Note: 2/10 Auteur: lordpolo |
Film: Outlander : Le dernier viking Note: 4/10 Auteur: nicofromtheblock |
Film: Outlander : Le dernier viking Note: 7/10 Auteur: Scalp |

waylander a écrit: le requin monté à bord d'un batau apr des hommes et qui le rejettent une fois les nageoires et l'aileron coupé..Jusque là rien de nouveau sauf que la caméra suit ce requin par la suite sous l'eau et c'est atroce de le voir se moivoir sans pouvoir se diriger, ouvrant la bouche , comme suffoquant et du sang s'échappant de ses branchies et coulant inévitablement jusqu'au fond où, sans possibilité de remonter, le voilà continuant à souffrir...Pffff. J'avais la gorge serrée, le poing fermé prêt à défoncer la gueule d'un mec.
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale


Après le remake très réussit de King Kong par Peter Jackson, c'est un autre classique du fantastique/horrifique qui se voit rajeunit et mis à jour par Joe Johnston, Yes man attitré de divertissement familiaux parfois cultes (Chérie, j'ai rétréci les gosses ou encore Rocketeer) mais loin d'être mémorables. Ses fils souvent balisés et commerciaux n'empêchent pas de passer un bon moment et d'apprécier un minimum de savoir-faire. D'ailleurs, ses œuvres brisent parfois certains codes pourtant inévitables pour une grande majorité de blockbuster (notamment les histoires d'amour auxquelles ils ne tissent que rarement d'espoir et de suite: Wolfman n’y échappe pas : l'attirance entre deux êtres est bien présente mais pas un seul baiser et la toute fin bous montre bel et bien la Belle tuant la Bête).
Le cinéaste se permet donc e revisiter le mythe du loup-garou en s'appuyant largement sur le film de George Waggner tout en lui offrant bien évidemment une immersion totalement absente en 1941: le format 1:33 n'aidait pas à s'offrir une belle image, des plans larges, des décors impressionnants etc..sauf bien sûr lorsque l'artiste était un génie. En 1:85, le nouveau Wofman bénéficie d'une photographie très léchée, vraiment belle à tomber avec des éclairages lunaires oniriques et envoutants laissant place dès l'intro à une ambiance fantastique et digne des films de la Hammer : la brume n'est plus juste l'épais tapis qui recouvre le sous -bois mais bel et bien comme un voile camouflant la forêt , les esprits qui l’habitent dit-on dans les villages et et les légendes oubliées des civilisés, des citadins mais toujours présentes dans les cœurs superstitieux de la campagne grisonnante et reculée d'Angleterre.
Johnston se permet des mouvements de caméras limpides , parfois recherchés et atypiques : tout ce qui touche à la première partie du film rend véritablement justice aux décors (les plongées et les plans d'ensemble font plaisir aux yeux et permettent de saisir l'immensité du manoir et de la nature environnante. Les bois en imposent, le ciel est recouvert d'une épaisse couche de nuage gris, la caméra n'est plus aussi fixe que dans les 40'S et le réalisateur peut faire ce qu’il veut. C'est bel et bien le gros avantage de ce remake techniquement irréprochable même si très académique dans l'ensemble. Pour accompagner un tel visuel qui de mieux que Danny Elfman pouvait composer la musique du film ? Sans être mémorable ou référentielle, la soundtrack correspond tout à fait au genre et à l’ambition du film.
La Lune joue vraiment bien son rôle avec des plans récurrents de son hypnotique lumière cendrée.
Plus qu'un divertissement, The Wolfman est une œuvre bien plus tortueuse et profonde que son ainé. Le scénario prend des libertés mais ne viole pas du tout l'original : l'ambition est clairement de singer un hommage non pas qu'à l'unique film de 1941 mais aussi de déclarer sa flamme à un genre et une ambiance particulière du Cinéma fantastique d'époque. Le passage en asile à Londres et les références à Scotland yard et à Jack l’Éventreur se sont pas anodines. Les clins d’œils au Loup Garou de Londres sont nombreux (notamment la course poursuite de la Bête dans les rues pavés de la ville mais aussi la scène dans la taverne où Talbot écoute les racontars des villageois (il y a d'ailleurs le même acteur -de la même scène- dans le film de John Landis qui fait une apparition). Johnston n'oublie pas de placer quelques éléments de l’original comme le poème (qu'il a réécrit) , le symbole sur au creux de la main lorsque Del Toro se transforme pour la première fois, le symbole de la canne en argent, le passage "lecture" sur la lycanthropie lorsque Blunt cherche des infos pour aider le frère de son défunt mari etc...toujours placées avec efficacité et discrétion, ces marques de respect démontrent que le matériau de base est très respecté.
Concernant le casting c'est franchement excellent : Hopkins , Del Toro et Weaving 
Mature et soucieux de se démarquer des facilités de l'époque, Johston reprend chaque élément pour le rendre crédible au possible. Le film de 41 était déjà assez dark mais le nouveau scénario va encore plus loin en développant derechef un drame familial liant un fils et son père avec pour trauma la mort d'une femme et d'un frère/fils. toute la première partie du film est centrée dessus et c'est dommage que la seconde lorgne plus sur l'action. Même le mystère et la discrétion des apparitions du loup-garou prennent une nouvelle dimension sur la seconde moitié du coup le ton est quasiment brisé. L’ellipse qui nous transporte à Londres n'était pas si tuile même si le coté psychédélique de la séquence et de la lycanthropie grandissante chez Talbot renvoi directement à une scène du 1er film (fondus enchainés) le rythme de cette petit chapitre du film n'a été mise en scène que pour la transformation en loup-garou.
Celle-ci (au total 2 sublimes et une finale à chier) est un savant usage d'SFX et de morphing et encore une fois on pense un peu au loup-garou de Londres ne serait-ce que pour la main qui grandit et se tord, jusqu'à se briser. La souffrance de Talbot, les craquements d'os et la mutation du corps permet au film de gagner haut la main la palme du "best werewolf movie". Rick Baker a accomplit un putain de travail et le design du loup-garou peut décevoir sur le coup mais le fait est que la révision du design de 1941 prend une jeunesse incroyable : les choix sont faits : la bête ressemble plus à un homme qu'à un loup et les postures debout et à 4 pattes sont désormais possibles. Le faciès est effrayant et pour un tel budget, le film est violent (enfin juste en bluray unrated parce qu'au cinéma ce n'était pas si extrême) : décapitations, boyaux arrachés etc...Le côté horreur gagne en relief et tout devient plus crédible.
Une plastique gothique impeccable et soignée, une intrigue didactique sur le 1er acte et plus divertissante sur le second, un cast assez investit mais inégal et un final malheureusement pitoyable où le cinéaste ose filmer deux boules de poils s’affronter au cœur même de la demeure familiale en flamme. Le remake va "trop" loin et veut trop en faire sur ultimes minutes et passe la limite Ne pas trop se plaindre vu les derniers plans pessimistes du film où l'amour était à deux doigts de sauver Talbot lors que les chiens aboient et raniment l'instinct bestial du monstre qui est finalement tué par le Belle. par rapport à l'original, Wolfman développe un peu plus l’icône féminine en lorgnant du côté du King Kong de Peter Jackson et son poème " Et voici que la bête regarda la belle et la belle arrêta son geste... Dès lors, la bête fut comme morte." Jolie métaphore du pouvoir qu'on les femmes sur les hommes et de l'amour sur la haine. Mais les choses ne terminent jamais comme des les contes de fées et heureusement, Johnston a pu garder une fin similaire et ans le ton du 1er film ainsi que de son propre film qu'il ne peut s'empêcher de faire basculer sur une petite partie (et j'oublie quelques détails: 2 plans CGI qui piquent les yeux malgré le budget élevés et les deux animaux en CGI du film façon I am legend : l'ours et le cerf. Honteux).








)| Film: Sherlock Holmes Note: 7/10 Auteur: Max59 |
Film: Sherlock Holmes Note: 6,5/10 Auteur: nicofromtheblock |
Film: Sherlock Holmes Note: 7/10 Auteur: Scelus |
Film: Sherlock Holmes Note: 7/10 Auteur: Niko06 |
Film: Sherlock Holmes Note: 4,5/10 Auteur: Heatmann |


) innove dans son genre et montre qu'on peut faire du dessin animé commercial type 3D sans pour autant sombrer dans un rythme supr excessif d'actions, de personnages clichés etc... Ici Numéro 9 c'est clairement de sa faute tout ce qui se passe (dont la mort du numéro 2) et ya des morts. Comme le soulignait Scalp je crois. (bon à la fin les morts sont heureux,on voit leurs esprits qui montent au ciel et tout mais dans les combats ça tue et ya pas un héros qui sauve tout le monde au dernier moment). Bon petit film qui aurait mérité plus de temps et plus d'implications, d'enjeux etc.. Au fina lla finest pas si happy-end que ça.
vous écrivez de mieux en mieux mes salauds!! 









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