Modérateur: Dunandan

Résumé : Trois sont déjà morts. Qui sera le quatrième ? Un adolescent extraordinaire, John Smith, fuit devant des ennemis prêts à tout pour le détruire. Changeant perpétuellement d’identité, ne restant jamais longtemps dans la même ville, il est accompagné par Henri, qui veille sur lui…
Et pourtant, le thème de la fuite perpétuelle face à des ennemis implacables, les Mogadorians, aurait du être intéressant. Malheureusement, l’aspect science-fiction est relégué au second plan, sauf dans le final et quelques trop rares scènes, pour s’orienter sur un teen-movie, dans lequel le héros découvre ses nouveaux pouvoirs et se fait des amis. Seulement, DJ Caruso n’est pas Sam Raimi et tout est mal amené. On ne nous épargne rien des poncifs éculés du film d’ados, notamment la fête foraine et cette ballade « romantique » à bord d’un train fantôme.



Waylander a écrit:Tiens là ça vous gêne pas un film sans scénar et purement visuel.







nicofromtheblock a écrit:Vu que je n'en ferai certainement pas la critique, j'en profite pour rebondir sur la tienne.
Ce Numéro Quatre m'a beaucoup fait penser à la série Smallville et ça n'est pas un hasard puisque c'est le duo Alfred Gough/Miles Millar (les créateurs de la série) qui est au scénario de ce film.





Kakemono a écrit:Ces critiques d'Argento me donnent envie de commencer un mini cycle : Les Frissons de l'Angoisse dés ce soir, puis a suivre Supiria, Inferno et Ténèbres que j'ai achetés il y'a peu de temps en Blu-Ray. Ca doit être superbe a revoir en Blu-Ray. Je dois avoir Le Sang des Innocents et Stendhal Syndrom qui trainent aussi sur mes étagères en DVD (quoique ce dernier est bien pourri si ma mémoire ne me joue pas de tour).


angel.heart a écrit:Stendhal c'est bien mieux que trauma!!!





| Dix petits indiens |
![]() Réalisé par René Clair |
| 8,5/10 |
Ma version cinématographique préférée du roman policier le plus sombre d’Agatha Christie, même s’il ne s’agit pas de l’adaptation la plus fidèle (la fin est conforme à la pièce de théâtre, mais pas au roman d’origine). René Clair propose une œuvre moins dramatique où domine cynisme et humour noir sur fond de « whodunit ».



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