
Rancho Bravo de Andrew V. Mclaglen - 1966
C'est le début de la fin pour James Stewart. Il reprend une fois de plus son rôle de cowboy-aventurier-bougon-au-grand-cœur et ça ne lui pas trop mal. Il a toujours une classe dingue. Maureen O'Hara lui tient tête dans le rôle de l'aristocrate anglaise à poigne et ça fonctionne plutôt bien.
Dommage d'avoir un script si mal équilibré. On se paye 45 minutes d'aventures avec plusieurs péripéties, de la déconne et un début de romance. C'est pas extraordinaire mais on ne s'ennuie pas. En revanche, les 45 dernières minutes, ben ça s'étire, ça s'étire... Le vilain s'étant fait descendre il ne se passe plus rien, juste des gags désuets et des romances bateaux. Autant dire que c'est long. Même le perso du vieil écossais tyrannique est pas super bien exploité.
Niveau réalisation et montage il y a un truc assez intéressant : les inserts. En général ça pique les yeux, le grain des images juxtaposées ne sont pas les mêmes et la photo n'a rien à voir. Ca crée un décalage et forcément on n'y croit pas. Ici je pense que les images ont été tournées par la même équipe, du coup c'est presque crédible de voir James Stewart en gros plan poursuivi par une horde de taureaux en furie. Mais c'est bien le seul point positif du film techniquement.
5,5/10







 Mastroiani incarne un jeune et beau garçon qui revient dans sa Sicile natale après un long séjour à Rome. Toutes les filles lui courent après et son père veut le marier à une jeune fille de bonne famille (Claudia Cardinale). Ca tombe bien, elle est canon => mariage donc! Alors que Mastroiani est complètement amoureux, Claudia se fait la malle.
 Mastroiani incarne un jeune et beau garçon qui revient dans sa Sicile natale après un long séjour à Rome. Toutes les filles lui courent après et son père veut le marier à une jeune fille de bonne famille (Claudia Cardinale). Ca tombe bien, elle est canon => mariage donc! Alors que Mastroiani est complètement amoureux, Claudia se fait la malle.

 ) ou des commentaires décalés sur la guerre et ses conséquences ("
 ) ou des commentaires décalés sur la guerre et ses conséquences ("







 
  



 C'est du grand art. Visuellement ça pète et c'est parfaitement lisible. Les gunfights qui suivront ne seront malheureusement pas aussi ingénieux. Légèrement stylisés, plus longs, on leur a apporté le même soin, mais sans y ajouter des idées aussi poussées.
 C'est du grand art. Visuellement ça pète et c'est parfaitement lisible. Les gunfights qui suivront ne seront malheureusement pas aussi ingénieux. Légèrement stylisés, plus longs, on leur a apporté le même soin, mais sans y ajouter des idées aussi poussées. Toutes ses apparitions sont foirées. Elle joue comme une savate. Ses mimiques une fois qu'elle a balancé sa grenade, ben c'est celles du 70's Show... Ca ne colle pas trop avec son perso. Sa dégaine quand elle sort de la prison, c'est ridicule.
 Toutes ses apparitions sont foirées. Elle joue comme une savate. Ses mimiques une fois qu'elle a balancé sa grenade, ben c'est celles du 70's Show... Ca ne colle pas trop avec son perso. Sa dégaine quand elle sort de la prison, c'est ridicule.