Modérateur: Dunandan


milk est cause perdue , mais toi , tu evolue et te nourri bien










Milkshake a écrit:ça y est le comité du bon gout a doré la pilule à l'un de leur fanatique![]()





3ème film explorant l'univers de Conan le Barbare, Red Sonja est une honte cinématographique absolue. Le réalisateur de Conan le destructeur fait encore pire et enfonce littéralement le mythe d'Howard dans les caves les plus profondes de la honte et de la bêtise. Aucune ambition, jamais épique, un Ennio Morricone qui fait pâle figure après un Poledouris "berserk", des scènes toutes plus ridicules les unes que les autres et des dialogues à mourir de rire. La dramaturgie doit être celle qu'on apprend en maternelle des écoles de cinéma avec des raccourcis et des facilités grosses comme la Lune (Conan qui sort toujours de nulle part, un monde soit disant vaste mais les personnages en 100m ils tombent toujours sur les bons endroits , et puis on voit que dalle de ce monde. Un des plans les plus marquants du film c'est quand même Red Sonja (toute propre, toute fraiche avec un background aussi remplit que mes bourses après avoir maté les Bricol's girls) qui regarde au loin, on voit un orage mais ya que dalle à part des montagne et là elle demande à Conan c'est quoi la cité au loin. 
Les combats sont d'une nullité affligeante avec un Conan qui sautille on sait pas trop pourquoi, des sauts périlleux bidons, des chorégraphies à chier, le réalsiateur aurait peut-être du découpé un pue plus et nourrir ses combats par plusieurs plans différent pour donner du punch parce que les carences des acteurs se font ressentir: ils sont lents, c'est trop calculé et c'est jamais crédible et même le gamin du film parait bien plus rapide et plus précis et technique que les pseudo grands guerriers du film. 4 personnages pourris et pas attachants tellement c'est con, 3 décors, une méchante qui sait pas trop ce qu'elle fout là et à aucune moment on comprend ses ambitions. Elle trouve l'objet de sa quête dès le début du film, les armures ont certainement été dessinées par un gamin de 3 mois, on se fait chier, l'aventure est torchée en 1h20 (et puis de toute façon ya pas d'aventure). Le film est involontairement drôle, c'est encore plus parodique que le second Conan et faut voir le niveau quoi :
Bon allez je vais être clément parce qu'un gamin se fait écarteler et que ce même môme se bat contre un adulte. Sinon la méchante possède une grosse araignée qui fait du sur place en bougeant ses pattes et elle est super naze , elle fait rien, on la voit une fois, et elle est plus là par la suite
) :| Film: Kalidor : La légende du talisman Note: 5/10 Auteur: Scalp |
Film: Kalidor : La légende du talisman Note: 6/10 Auteur: pabelbaba |
Film: Kalidor : La légende du talisman Note: 2,5/10 Auteur: Kareem Said |

Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.






En contre partie, comme je l'ai dit, le predator est présent dès le départ (pas de plans inutiles d'un vaisseau se crashant sur terre mais celui-ci aura sa place à la fin), sa présence n'est pas aussi bien exploitée que dans le Tiernan et forcément on sait très bien de quoi il va en retourner.
La soundtrack est quasiment la même que celle du 1er (Alan Silvestri) , le predator est légèrement différent (les ornements) mais on retrouve des scènes-clin d’œils au 1er (quand il se soigne par exemple) mais le traitement n'est plus aussi intense. Tro visible et le temps de présence inégal, le predator impressionne beaucoup moins et l'effet visuel de son invisibilité rend moins bien en ville que dans la jungle où le vert omniprésent des p plantes camouflait l'âge du sfx. Le cinéaste réussit bien moins que Tiernan a jouer avec son environnement et son "prédateur". Toutefois, quelques apparitions sont vraiment pas mal comme quand il saute du toit et atterrit dans une flaque d'eau près du chef du gang des Jamaïcains. Dommage d'ailleurs que ce ne fut pas là sa première "vraie" entrée en scène tant dans l’appartement pendant la cérémonie vaudou son aura est sous exploitée à cause de la rapidité de la scène. Pas de ralentis, pas de plans inventifs pour mettre en valeur le monstre. Reste une scène dans un métro assez intense.
Hormis 2-3 plans sur les toits style Batman Predator 2 utilise bien plus son acteur principal (un Danny Glover surexcité comme d'habitude mais ici très crédible et efficace) que le monstre de Stan Winston. Le reste du casting est à chier (on retrouve quand même Bill Paxton et Gary Busey mais dans deux rôles bidons) mais le film à le mérite d’envoyer quasiment tout le monde à la morgue. Les films d’actions net de sf avaient encore des burnes à cette époque. Predator 2 aura eu du mal à faire le poids face à une autre suit sortie 1 an après environ : Terminator 2 , dont la mise en scène, les sf, le scénario, le casting et l’interprétation renvoyait sous-terre le film de Stephen Hopkins, sympa dans l'ensemble et qui prend surtout son ampleur et son relief (ainsi que son cachet "culte") dans sa dernière demi-heure super rythmée avec un flic (Glover)aventurier qui lutte sans merci avec l'extraterrestre guerrier et la découverte du vaisseau, des trophées (dont un crâne d'alien 
| Film: Predator 2 Note: 4,5/10 Auteur: Alegas |
Film: Predator 2 Note: 7/10 Auteur: Scalp |
Film: Predator 2 Note: 6,75/10 Auteur: pabelbaba |
Film: Predator 2 Note: 8/10 Auteur: angel.heart |
Film: Predator 2 Note: 7/10 Auteur: Dunandan |




Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 3 invités