Modérateur: Dunandan


Heatmann a écrit:celui de bruckheimer avec cage de l annee derniere il est plutot mignon , moi ca me divertie![]()











| Rubber |
![]() Réalisé par Quentin Dupieux |
| 1/10 |
| Film: Rubber Note: 7,5/10 Auteur: nicofromtheblock |
Film: Rubber Note: 6/10 Auteur: Velvet |
Film: Rubber Note: 10/10 Auteur: moricenlive |
Film: Rubber Note: 6/10 Auteur: Alex |
Film: Rubber Note: 5/10 Auteur: puta madre |







| Insidious |
![]() Réalisé par James Wan |
| 6/10 |

Si, pour moi, l’effet de surprise et l‘angoisse ne sont pas au rendez-vous, James Wan parvient néanmoins à distiller une atmosphère étrange et à nous proposer un univers parallèle peuplé de créatures inquiétantes. Il joue astucieusement sur les clairs-obscurs pour dissimuler ses esprits qui envahissent les lieux, sur les éclairages pour rendre « suspect » des objets du quotidien, au point d’égarer le spectateur qui se demande quel est l’importance de cette horloge ou de cette commode, il joue aussi sur les angles de prises de vue, multipliant les enfilades de portes, de fenêtres et de recoins d’où surgissent fantômes du passé et démons avides de vie. Sa séance de spiritisme inspirée de celle de Poltergeist, nous entraîne dans l’autre monde. Pour moi, il s’agit de la scène la plus réussie du film, car pour la première fois, nous passons de l’autre côté du miroir. Les couloirs s’effacent, l’obscurité gagne, seule une petite lueur éclaire un passage incertain au milieu de la brume vers l’antre du démon rouge. Esthétiquement tout ce passage dans le monde surnaturel fonctionne à merveille. Seul bémol, le démon rouge dans son antre baroque, bien trop granguignolesque pour être terrifiant.
Avec toutes ces poupées et ces automates qui l’entourent, je lui ai trouvé un air de parenté avec l’Autre Mère démoniaque de Coraline qui était pour ma part beaucoup plus menaçante.

| X-Men Le commencement |
![]() Réalisé par Matthew Vaughn |
| 9/10 |
James McAvoy est parfait, il est l’incarnation même de l’humanisme, de la naïveté et de l’empathie de Xavier, de sa volonté de protéger l’humanité des mauvais mutants et d’éduquer les jeunes mutants pour les protéger des autres et d’eux-mêmes. Michael Fassbender apporte tout son charisme au personnage du futur Magneto qui n’a jamais été aussi bien interprété. Il est l’un des personnages les plus ambigus de la saga. Une ambivalence que l’on ressent parfaitement, dans la tragédie de son passé, dans sa fureur, dans sa quête de vengeance, dans la volonté que les siens, les mutants ne soient plus jamais victimes et du coup dans son choix d’asservir l’homo sapiens à l’homo superior reproduisant finalement les mêmes horreurs que celles qu’il subit. De la théorie de l’évolution de l’espèce de Xavier, il ne retient que ce qui l’intéresse. Fassbender parvient à nous faire ressentir la dualité du personnage et le spectateur oscille entre sympathie et rejet. Ian McKellen campait un Magnéto trop manichéen, ne s’appuyant pour son jeu que sur l’aspect mégalomaniaque du personnage. J’ai adoré cette idée de reprendre la scène des origines de Magnéto tournée par Brian Singer (l’un des meilleurs passages de X-Men) et de la prolonger. Kevin Bacon
est génial dans le rôle du milliardaire Sébastian Shaw, qui veut provoquer un hiver nucléaire d’où naîtra une nouvelle civilisation mutante. Shaw/Magnéto, le tortionnaire et la victime dont les objectifs convergent, séparés simplement par l’aveuglement de la vengeance. Autre brillante idée, avoir créé un passé commun à Charles et Raven. Il apporte une nouvelle dimension et une réelle profondeur au personnage de Mystique, superbement interprété par Jennifer Lawrence. Son pouvoir de métamorphe, ses doutes et son instabilité tant physique que morale, sont presque une allégorie des affres et des sautes d’humeur de l’adolescence. Rose Byrne interprète une Moira Mac Taggert bien plus espiègle que son double littéraire, mais tout aussi dévouée au rêve de Xavier. Tous les acteurs qui interprètent les jeunes mutants sont très bien. La constitution du groupe, l’apprentissage de la maîtrise des pouvoirs, la dynamique de groupe, l’interaction lors du premier combat, le côté « teen movie », les vannes entre les étudiants et l’humour omniprésent pendant toute cette partie du film reflètent fidèlement les premières aventures des X-Men où l’aspect groupe d’adolescents parfois insouciant était très présent. Les facéties d’Iceberg, sont simplement remplacées par celle du Hurleur et de Havok. Azazel n’est pas un personnage très emblématique de l’univers des X-Men. J’ai cependant trouvé très intéressant le choix de ce personnage, double machiavélique de Diablo. Il montre à quel point porté par de mauvaises intentions, le pouvoir de téléportation peut être terrifiant. Quelques volutes de fumée et deux sons suffisent à susciter l’horreur de corps qui s’écrasent au sol.| Film: X-Men : Le commencement Note: 7,5/10 Auteur: Mark Chopper |
Film: X-Men : Le commencement Note: 5/10 Auteur: ARAGORN elessar |
Film: X-Men : Le commencement Note: 6,5/10 Auteur: Scalp |
Film: X-Men : Le commencement Note: 5,5/10 Auteur: Waylander |
Film: X-Men : Le commencement Note: 7,5/10 Auteur: Jimmy Two Times |


Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 4 invités