[Heatmann] Mes Critiques en 2011

[Kakemono]

'tai Heatmann tu le vend bien, ca me donnerait presque envie de le voir.

[Alegas]

Heatmann il est capable de tout te vendre, même Miami Vice.

[Pathfinder]

Quand je vois le boulot qu'il a fait sur sa critique d'Exit Wounds je me dis qu'il peut effectivement tout vendre!

[Heatmann]

'tai Heatmann tu le vend bien, ca me donnerait presque envie de le voir.

ben ouai mais ce thing 2011 a part la lourde aura de sont aines, ben il est bien fichut quoi

Heatmann il est capable de tout te vendre, même Miami Vice.

speed racer anyone ?

Quand je vois le boulot qu'il a fait sur sa critique d'Exit Wounds je me dis qu'il peut effectivement tout vendre!

les gouts les couleurs toussa ... exit wounds c'est pourtant un si ce n est LE dernier steven sympa , apres bon ca me defrise pas qu on trouve ca mauvais .. les amateur du genre sauront apprecier moderement

C'est que tu me filerais presque envie de le voir ce Thing 2011, meme si je considère toujours ça comme un sacrilège.

ca depend , justment le film 2011 en l etat comme jle repete bcp , c est vraiment un pti film d horreur biens sympa , une serie B qui est bien au dessus de tout les remake et production horrifique de studio ricain recent .......... par contre si tu sacralise trop le carpenter , tu risque de faire un bloquage et pas voir au dela du plagiat quoi ..

[Heatmann]

Margin call

7/10

Raaaaah bon bah j’ai adorer . alors oui c’est clairement un genre un sujet dont je rafole , un pti pecher mignon , et ce margin call epouse sont sujet a l’extreme puisqu’il ne se concentre que la dessus et ne cherche et presente pas une dramaturgie traditionel de ces perso , et pis en plus au dela de l’interet porter pour l’univers de wall street , ben le film est juste rudement bien ficeller .
Commen prevue le film raconte et se deroule sur 24hr , dans les bureau d’une firm d’investisement a wall street . le scenariste detail avec minutie et professionalisme les dynamique de travaille et trading de ces gourou monetaire . on a une poigner de personnage , a plusieur etage de la hierarchie et on ne sortira quasiement jamais de leur siege social . Le film ne s’embarrasse ici absolument pas de background dramatique ou personnel , on debarque au moment ou l’un des membre se fait virer avec plein d autre , et il était sur le point de boucler sa theory .. il laisse sont travaille inacheves a sont jeune poulain qui va resoudre les dernieres equation et decouvrir , en amont de tout autre personne sur la planete , ce qui deviendras la fameuse crise financiere, le crash qui nous a ammener a une recession .

On est donc la temoin de ces balbutiment , ca fait evidement penser au tres bon Company men , c’est pratiquement un prequelle , mais contrairement a ce dernier, ici on a pas tout l’aspect drame social , ici c’est technique et vraiment concentrer , limite en temp reel et sans taboo . bien que ca dure que 1h38 , on a le feeling de voir un film dossier bien dense et complet , c’est beaucoup moin romanesque que les wall street de stone et finalement margin call en est la vrai suite officieuse .
C’est tout bonnement passionant , apres bon faut dire que moi tout ce qui est stock broking , bourse ect.. j’adore , on peut qualifier le film se thriller financier , car le suspence est constament present , une tension du debut a la fin , et tout , tout , est porter et amener simplement avec des mots car en gros le film c’est 4/5 mec en costume qui parle de chiffre et leur manipulation de l’economie mondial , dans des bureau a manhattan … le casting deluxe offre des performance puissante et font vraiment vivre leur personnage .


ils sont peut etre pas ecrit avec la profondeur d’une histoire classique , mais c est carrement pas le sujet ni l’approche ici , on a pas besoin de savoir ce qu ils font avant et apres , on plonge avec eux dans les arcanes du marches et leur role . ceci dit les personalites sont bien distincte et suffissante , ajouter a de l’acting de haute voles , et on obtient un portrait choral qui nous ferait presque sympatiser pour ces golden boy mais surtout au final qui nous explique de facon plutôt simplifier et comprehensible ce qui c’est reel passer et pourquoi c est ce genre de mec et de firm qui on detruit le marchers pour les annes qui on suivit et qui dure toujour . par de nombreux aspect margin call ressemble a un glen garry glen ross dans les haute sphere de l’economie moderne . porter par des dialogues fort , ciselles , des acteur qui arrete de cachetoner comme lors de la derniere decenie , comme si lumet avec realiser wall street 2 .
La mise en scene n’as pas lieu de faire de l’esbrouffe , le film est tres propre , sobre et elegent , ont est pas la pour se branler sur des plan sequence , ou des jeu de montage de kakou . la HD sublime NY by night , les tour de verre , les lumiers de la ville la nuit , pis ces bureau et ces ecran avec des colones de chiffres qui defilent servent a decores le cadre , un film adulte dans sont concept et mature dans sa concretisation .
La gallerie de perso couvre toute les couche et les rouage de la mise en marche de la crise , les compromis , les dileme , les corruption , etat d’ames , rien n’est oublier et meme si la plupart de perso pourrai etre calalogue de « bad guy » , il n’y a pas vraiment d’antagoniste, l’humanisation est bien gerer .


Spacey est superbe , sont meilleur role et performance depuis tres longtemp , ca fait plaisir tent on avait presque oublier a quelle point il peut bouffer l’ecran . paul bettany trouve un role qui lui vas comme un gant , enfin c’est surtou sont interpretation qui fait qu on n’y voit que du feu , un peu comme affleck dans boiler room . Irons on big boss c’est aussi bien la classe , et jamais on voit ces acteur faire un numero , non , on voit bien les persos . Quinto a toujour des sourcil si troublant , un pti role un peu classic pour l’univers decris . stanley tucci , demi moore et simon baker complete un panel d’acteur tres bien diriger qui on pris avec serieux et gravites leur implication .
Quelle dommage que le film soit passer si inapercue au states ( par contre ca m etone pas du tout pour la France , il n’y verrai que du nombrilisme ricain ) , meme si les critiques sont tres enthousiate unaniment , il a fait flop et rester dans l’anonymat , car c’est aussi explosif qu’important . intelligent , je met pas plus car je pourrait surnoter tellement je kiff ce genre de film , et pis il faut avouer que ca fait limite exercice de style , pas forcement abordable ou du moin le film demande un minimum de sont spectateur , pas juste se coller devant l’ecran … et je reconnait que l’ajout de toute la dimension social et dramatique dans un truc come the company men fait que c’est plus identifiable .
Un film pour ceux qui squate la nuit sur bloomberg et trouvais le film de stone trop gentil

[Heatmann]

COLOMBIANA

3.5/10

Oh my God ! pfff j’y croyait pourtant , la faute a une promo plutôt bien subtil qui assume pas du tout sont produit final et en camoufle sont origine . ben ouai moi en matant les trailer et voyant le buzz , je pensais pas trop a europacorp, alors que une fois avaler la purge , ben on se rend compte que colombiana c’est du pur besson a sont paroxysme quoi !! la tout est dit ! pas de surprise donc a l’horizon , le genre de film qui donne pas du tout envie d’etre indulgent . Besson c’est un gros complexer enfait , il essaye de faire des film qui font ricain , il veut etre comme eux , sauf qu’il y arrive pas et meme la , le film transpire les merde genre taxi , from paris with love ect …. Le gros inciste en plus a filer les gros film de sa companie a ce boulet de megaton , faudras pas qu il vienne se pleindre apres si ces actionaire mettent en doutes ces choix apres les resultat de ces production .
Le mec a quand meme reussit l’exploit de rendre austere et chiant le transporteur quoi avec un 3em episode d’une nullites affligente . En gros colombiana c’est a peine mieux , ca boxe en tout cas dans la meme categorie , tout comme la daube avec travolta de l’anne derniere . en tout cas voir des dessilusion comme ca de temp en temp ca fait relativiser , et du coup reevaluer a la hausse des truc comme Salt ( que pourtant je trouve nul , mais c est carrement mieux ! ) ou meme hitman qui meme si ca reste un besson , c’est quand meme bien plus potable en film de tueur concon .
Donc comme ca été dit c’est un film soit disant d’action mais qui est bien avare , les sequence de poursuite et de meurtre sont court-circuiter et precipiter et entre ces rare moment , ben ca pleurniche , ca blablatte .

L’intro de l’enfance de cataleya c’est du lourd ! une gamine autiste , des yamakazy qui font du parkour dans les favelas car c est a la mode donc le besson il copie quoi . en plus la gamine c’est trop une pros déjà .
Toute la photo est jaune , et le nombre de plan aerien qui donne le tournie ce compte plus . bref une mise en scene de blaireaux , megaton il a une science de montage qui laisse perplexe, tu voit 2 fois le meme mec fermer la meme portiere de voiture , et en accelerer avec effet sonore a la clef !
Le script c’est la fete du slip , je bouffe plein de dtv pas trop exigent , mais alors la , c’est le pompom quoi !
TOUT est fait pour faciliter la tache aux personnages , des coincidence de ouf ! le flic ( un lennie james extrement mauvais ) arrive dans la cellule du 1er meurtre et decode tout en 2 seconde !
Quand l’enquete pietine , pouf un mec qui passe la serpillere apparait de nulle part et donne le nom de la fleur qui ne pousse que dans une region du monde !! c’est genial !
On se tape aussi une love story indigeste , et pis a un moment le mec prend un photo de zoe au lit , et hop ca enclanche une conspiration !!! le delire ! il montre la photo a sont pote , et tout mec normal quesqu’il fait ? il envoie la photo a sa copine flic pour faire une recherche d’identiter biensure !!!

Sinon ben les flic ont une liste de + de 50 personne suspect , mais on sait pas pourquoi , ils bloque sur zoe et sans raison evoquer, une fois qu’ils on reperer sont identiter ( mais sans faire le lien avec les meurtre ) pouf ils envoit 2 uniter de swat et font evacuer le building ou elle habite !!
Evidement on evite pas la scene ou zoe se retrouve face au gentil flic et en 2 min il comprend la complexiter psychologique du perso et oublier ces 23 meurtre et lui vient en aide , magique !
La connerie des perso et l’univers de colombiana et a la hauteur de ce qu’on peut imaginer sortir de l’esprit de besson . ca emplie sans vergogne tout les cliches les plus ecules et lourdingue du hitman ( elle danse dans sont salon toute seule , mange avec les doigt car c est une rebelle , elle vit dans un garage avec 2 gros chien et leur donne des steak ca fait plus badass ) , du truand latino ( jodie molla soulant qui bosse pour un mec qui boit du cognac au bord de sa piscine ) , du flic qui a 2 wagon de retard ( il bloque sur sont ecran de pc en froncant les sourcil en attendant que le scenario lui lance un os ) et du gangster ( aaah le gros lard avec ces pute et ces requins , on croirait une parodie ) .

Quand le climax commence, oh miracle , c est bien , mais ca dure 5 minute , entre la roquette, les grenade , explosion et mitrailleuse lourde , on entre apercoit le potentiel gacher du film , pis alors sa culmine a une baston a main nue dans une salle de bain qui pique les yeux tent le decoupage et montage est immonde .
Zoe je l’aime bcp , elle est bien , en action girl c est un des plus credible , elle a le potentiel pour la releve, et sur le papier je suis sur qu elle c’est dit que ca ferait un bon projet, c est pas trop de sa faute, et donne d elle-même et fait un bon boulot ( sauf les ligne en espagnole qui sonne pas naturel ) et pis ont peut l’admirer comme il faut la !! elle ramasse des point du cœur j’avoue , j’espere la revoir dans plein de lead role, elle le merite . cliff curtis est bien mauvais , du cliches ambulant , il fallait un mentor , voila . michael vartan c est le type meme qui a pas fait carriere , on sait pourquoi .
C’est con y a 2 bonne tronche de mec que j aime bien , graham mctavish et max martini , mais 2 role sous develloper , ils aurait meriter plus de temp car ils eclipse les autre mauvais .
Le pire c est que je m’achargne meme pas hein , c’est vraiment mauvais et jamais on sent que ca essaye de faire un truc un minimum ecrit et et pas opportuniste .

[Dunandan]

Et là la question que tout le monde se pose : est-ce qu'on voit Zoé à poil ?

[pabelbaba]

Vu la note, la réponse risque fort d'être non...

[elpingos]

Non mais quelle idée aussi de se mater ce genre de films... Franchement?

[Dunandan]

Pub mensongère alors : Action, sexe, violence ?

[Heatmann]

Non mais quelle idée aussi de se mater ce genre de films... Franchement?

ben aimer les film "presumer" d'action , c est quand meme pas si rare et etonant que ca non ? ...... tient :

Et là la question que tout le monde se pose : est-ce qu'on voit Zoé à poil ?

non , mais on l admire bien en ptite tenue transpirante tout le long

[elpingos]

Ouais mais megaton et europacorp quoi... Enfin, je retire ce que j'ai dit, les critiques sont pourtant pas si pourries... (et puis oui aimer les films d'action est un droit.. Moi je crache pas dessus de temps en temps non plus)

[Heatmann]

ben pourtant je l explique dans ma critique , jsais que vous lisez pas et focaliser sur la note et le titre
le trailer etait sympa , le concept et le cast , pis ca donnait pas l impression d etre justment un pur produit de l ecurie ( enfin la c est plus une etable ) besson .... et ben enfaite si !

[elpingos]

Non non j'ai lu ta critique, je suis même allé voir celle de Scalp... Et c'est vrai que ça a l'air nul...

[Heatmann]

9/10

Rien de moin que Enorme , 1h36 de bonheur dont la puissance ne fait que aller crescendo , a la fin , on est completement envouter et epater par un film comme on en voit plus depuis tres longtemp. De la meme manière qu’un appaloosa il y a quelque annees , a savoir un film low profile mais qui combla toute mes facette d’amateur de western , de cinema , de reconnaissance et respect d’un classissisme traditionel , mais ici revisiter de main de maitre , c est ca beaute du film . des personnage classic , respectueux des vielle legende de l’ouest , crepusculaire et desanchanter aux eclat de violence abrupte qu’un peckinpah n’aurait pas renier dans sont ensemble , mais aussi un dynamitage des code trop recurrent ou l’atypisme assumer cotoie la beaute artistique a sont apoges, un peu comme si terrence malick aurait produit un film d’antonia bird ! blackthorn c’est concretement rien de moin qu’une ptite claque , un putain de film multi facette , brassant tellement d’influence , de genre , de theme, de vague cinematographique , qu’au final il est presque le portrait global de tout ce qui a fait le canvas westernien par tranche de sous genre des 50 derniere annees . un pur plaisir de cinephile comme on dit , un film qui ne cesse de surprendre tent il est paradoxale et fait de plusieur couche et de niveau de lecture riche qui permet au plus avide des amateur d’y trouver un presque chef d’œuvre ou a l’inverse au spectateur moin impliquer de s’exstasier sur la forme parfaite du film mais laisser la reel valeur et traitement des personnage et leur theme fort un peu de coter .

D’un coter on a un film tres epurer , fait d’une petite poigner de personnage , de decors souvent desertique , immobile ( mais majestueux , au panorama et profondeur de champ vertigineux ) , une intrigue finalement tres limpide , simpliste , et des dialogues plus vrais que nature , mais qui recele un discours extremement evocateur pour tout amateur de western .
Avec sur le papier peut d’element narratif complexe , le realisateur livre un film qui fait autant hommage au neo western post modern facon the proposition dont il est le demi-frere venue d’amerique du sud ( meme secheresse visuel, une histoire qui prend sont temp , un decor et lieu atypique pour le genre ) que du film d’epoque , car ici on est en bolivie en 1920 , donc toute cette singulariter et personalites estetique due a la reconstitution et tout le tournage dans des vrai decors et paysage en fond aussi un film unique .

Blackthorn ca me fait penser a une version « motorcyle diaries » ( carnet de voyage ) du tres sympathique seraphim falls , mais en bien meilleur , aboutie et totalement crepusculaire . l’amerique du sud dans ces haute altitude comtemplative et la profonde amitier viril entre le duo d’ame perdue a la recherche d’un lieu d’atterissage fait forcement echo au tres beau film de walter salles . Et puis l’utilisation de paysage naturel rarement vue dans un genre presenter par le biais d’une mise en scene extrement symetrique , estetique , visuellement splendide, rappelle la traque entre neeson et brosnan dans seraphim ( de meme que ce long voyage mortuaire , desenchanter est aussi un des theme central des 2 film ) .

Les dialogues sont hyper sincere et authentique , de veritable lecon de vie qui decrive un code d’honneur et d’amitier auquelle on ne peut qu’aquiesser . l’idee de faire une « suite » ou prolongement de la vie de butch cassidy , c est audacieux et genial , surtout que la les flashback avec sundance sont magistralement fluide et rien qu’a eu ils encule le film original de george roy hill . la continuiter entre la dernier cavalcade de butch et sundance en arrivant en bolivier , et le vieux blackthorn est emprunt d’une melancolie touchant et humaine , la derniere scene entre le jeune butch et sundance, sous la neige , pffff elle est mortelle … ainsi toute cette amitier , confiance et respect mutuel est retrouver avec blackthorn et le perso de noriega . on s’entre sauve la vie, on se comprend , des mec qui veulent rentrer chez eux , un steak de cheval au coin du feu , des partie de carte autour de la liqueur local , le tout sous des chansons improviser au banjo par shephard himself , on se croirait chez costner . les lettre de butch a sont fils qu’ils ne connait pas font office de profession de foie et recherche de redemption , mais les legende ne peuvent se cacher trop longtemp et le nom de butch refait surface .

la viellesse a ici un traitement lui aussi important et bien mis en avant , sans caricature . le personnage de stephen rea reservera de belle surprise , sont evolution est elle aussi touchante et sont face a face avec cassidy sur le lit du medecin offre une scene magnifiquement ecrite et qui represente tout le sujet du film . la noirceur du recit et de personnage ne se devoile pas des le debut , on s’en rend compte et prend la mesure de la chose plus ont arrive vers la fin , et la , on ne peut que sentir l’ombre de peckinpah dans le propos car sur la forme ca fait plutôt penser a du hillcoat ou le tommy lee jones de 3 burials auquelle il est proche aussi .
Jsuis pas du genre a me branler sur la photo , mais ici le taf est dementiel , la luminosites des etendue rocailleuse est sensationel , le lac de sel offre un lieu de fusillade a la carabine totalement hallucinant de beaute . chaque plan , mais CHAQUE plan quoi , sont a tomber , la vertiginositer des haut plateau proche de la cordiliere des andes clash avec la jungle verdoiyante et moite ou la brume camoufles les chemin alentours .

Shephard et un rock , monumental , une voix, un visage , une vrai legende qui incarne un personnage qui bouffe l’ecran et qu’on suivrait n’importe ou . impossible de mater blackthorn sans penser fortement au will munny d’unforgiven , voila pour en finir avec mes citation/hommage qui devrait convaincre les dernier reticent , serieux ce film est une tuerie . pis noriega est lui aussi superbe de meme que Rea qui est tres loin de ces interpretation fadasse habituel , la il est epatant .
Y a fort moyen que le film prennent encore plus de valeur et coefficient d amour pour moi car j arrete pas d’y repenser et je le trouve imperial , trop rare les western ( meme si j aime pas trop ne le resumer Qu’a cela ) de cette trempe de nos jour , et j’ai l’impression qu’il va tomber dans l’oublie , surtout l’anne ou est sortie true grit , potentielment culte donc