[Milkshake] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Sam 11 Fév 2012, 15:32

eh ben , c est pas mal pour commencer comme note , j en attendais pas autant :wink: enfait tu pourras meme apprecier encore plus les prochain ... j attend de voir la vision que tu a des prochain stewart ...
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Milkshake » Sam 11 Fév 2012, 19:48

Scalp a écrit:Tu trouves vraiment le final en dessous du reste ? le duel dans les rochers pour moi c'est la meilleure scène du film, sinon super classe le plan de la winchester, m'en souvenait plus.


Oui, le climax final est assez décevant, déjà on pas droit au braquage pour finir sur un pauvre duel sur un rocher ... et la révélation sur leur lien franchement ça arrive un peu de nulle part ça fait révélation pour faire une révélation.

On a pas le temps de s'ennuyer mais pour le coup le film va vraiment trop vite pour en faire un très bon film en l'état c'est juste bien sympa.

A la place de Mann j'aurais fait un film uniquement sur Dan Duryan, le seul perso hors norme du film.
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J.Edgar - 4/10

Messagepar Milkshake » Mar 14 Fév 2012, 23:35

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J. Edgar de Clint Eastwood

On y croit durant la première heure après une introduction brouillonne, Eastwood nous narre l’ascension de Hoover comment il est partir de rien pour créer, formater et diriger le FBI. On apprend même quelques détails sur l’affaire Lindbergh qui l’a permis de se propulser détournant les lois sous la menace protectionniste afin d’acquérir plus de pouvoir, créer son propre fichier pour tracer tous les personnes sur le sol américain. DiCaprio est une fois de plus impeccable en meneur aux méthodes si proche des communistes qu’il traque et voit partout, la scène de couloir ou Hoover rappelle à l’ordre ses hommes est certainement la meilleur du film. Même sous trois tonnes de maquillage, Dicaprio arrive étonnamment à être crédible dans son personnage, les premiers flashfoward jonglant des 70’s aux années 20/30 s’intègrent plutôt bien au récit mais deviennent envahissant dans sa seconde partie allant jusqu’à ridiculiser l’ensemble du métrage.

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Durant une heure on y croit ....

La faute à l’exemple parfait du scénario complètement raté, merci Dustin Lance Black à qui l’on devait déjà le traitement académique d’Harvey Milk, ici il met le paquet dans le bon sentiment pleurnichard hollywoodien avec mère castratrice et dégout pour les femmes surligné au stabylo. Eastwood se retrouve rapidement dépassé par une histoire qui à la mauvaise idée de vouloir narrer toute la vie d’Hoover quitte à balayer d’une main tous les passages les plus cruciaux de sa carrière de la chasse aux communiste puis aux gangsters jusqu’à ses écoutes. Toute la partie obsessionnelle du personnage est raté dans ces grandes largeurs en démontre la scène affligeante ou Hoover apprend la mort de Kennedy tout en écoutant sa mise sur écoute.

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... puis arrive l'actor studio grabataire nappé de maquillage dégoulinant.

Le tout pour se focaliser intégralement sur sa supposé histoire d’amour avec son bras droit, Armie Hammer en playboy est mauvais comme un cochon sa scène de dispute avec Hoover digne d’une parodie d’actor studio ouvre le bal à une métamorphose tétraplégique hallucinante. Eastwood délivre une deuxième heure grabataire ou la lumière est inexistante avec filtrage photo plongeant dans la pénombre un métrage qui tente de cacher l’absence de mise en scène. De plus en plus flagrante plus Eastwood zappe le peu d’action et tension du film annihilant toute possibilité d’ampleur pour se contenter d’aligner une succession de scénettes de bureau. La pauvreté de la musique est à pleurer sur une séquence finale dégoulinant de tous les pores de la pellicule.

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4/10
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Alegas » Mer 15 Fév 2012, 00:49

D'accord avec toi dans l'ensemble par contre pour moi la scène de dispute c'est la meilleure scène du film, la seule scène en fait où t'as réellement l'impression de voir le personnage devant toi et pas le portrait que l'on te tend durant le reste du film.
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Milkshake » Mer 15 Fév 2012, 19:51

La scène de dispute DiCaprio est impec mais l'autre rien que la manière dont il balance son verre on sait déjà qu'il a raté sa scène après c'est de pire en pire.

Toute les meilleurs scènes sont concentré au début dont pas mal sont bien survolé, Eastwood a trop de chose à traiter mais il préfère l'amourette sous des masques de latex. :roll:
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mer 15 Fév 2012, 22:01

perso , pendant 1h30 j ai trouver ca vraiment tres interressant , bien que en mode " auto pilot " , apres c est vrai les derniere 30/40 min y a des choix douteux , et pas mal de point sabordes que pour la plupart tu releve justement , au final jsuis etoner d etre quand meme bien moin extreme que vous .. enfin j'y reviendrait en detail soon
sinon ouai pour le coup , pour ma part , c est le 1er film ou j ai vraiment ressentie l'age d eastwood a la tete d un film ( hereafter et invictus c est juste moisi mais pas forcement "vieux" , la c est vraiment du film en fauteille roulant ....
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Mer 15 Fév 2012, 22:53

Eastwood aurait du doubler Di caprio dans les scènes où Hoover devient vieux :chut: !
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Mer 15 Fév 2012, 23:09

ben non car leo en vieux hoover est tres bon , et lui au moin , sont maquillage est reussi , ca fonctione bien . tout l inverse de sont assisstant ..
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Milkshake » Jeu 16 Fév 2012, 20:12

Enfin quand on a lu un peu sur Hoover voilà tout le potentiel des histoires dantesque du bonhomme sont totalement zappé, l’écrivain français Marc Dugain qui a écrit un livre sur le bonhomme a dit qu'il n'aurait pas prix la même approche pour narrer le bonhomme dont il prépare un long métrage.

là pour le coup c'est super alléchant. :bluespit:

Qu’avez-vous pensé du film de Clint Eastwood?
J’admire Clint Eastwood et j’avais donc pas mal d’appréhension en allant voir J.Edgar. Mais j’ai été vite rassuré. Je n’aurai pas du tout la même approche. Face à la vie publique tellement colossale du personnage, Eastwood a fait un choix tout à fait respectable, en racontant à la fois le policier qui traque des gangsters comme Dillinger ou qui travaille sur l’affaire Lindbergh, sa progression au sein du FBI et son homosexualité, ce qui était, jusqu’à maintenant, plus ou moins secret aux États-Unis, même si des livres en parlaient. Cela a d’ailleurs mis en effervescence un certain nombre de conservateurs américains qui sont en charge de la mémoire de Hoover.

Néanmoins, en dévoilant cette homosexualité, Eastwood s’est en quelque sorte dédouané de révéler ce qui, à mon avis, est beaucoup plus embarrassant sur le personnage. Ses rapports extrêmement bizarres avec la mafia, qu’il n’a jamais vraiment pourchassée. Quand Robert Kennedy arrive au ministère de la Justice et lui demande : "Comment cela se fait-il que vous ne vous attaquez jamais à la mafia?", la réponse est gênée. Il savait qu’il y avait un pacte entre les Kennedy et la mafia et qu’il avait été rompu. Il savait qu’ils s’étaient mis à dos la CIA, l’armée, les anticastristes. Irrémédiablement, un des deux Kennedy allait être descendu. On imagine très bien que Hoover était au courant.

De quoi va parler votre film?
De cette rencontre justement entre Hoover et Kennedy. Le premier est un homme qui déclenchait des passions, un vieux sudiste victorien, raciste, antisémite, conservateur, ancré dans des principes du XIXe siècle. Il pouvait être d’une méchanceté hallucinante. L’autre incarne la jeune génération qui arrive. Vous imaginez le choc politique, culturel qui se produit. Le film se déroulera entre 1960 et 1963, date de l’assassinat de John Kennedy.
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Bullhead - 7,5/10

Messagepar Milkshake » Dim 26 Fév 2012, 14:29

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Bullhead de Michael R. Roskam

Pour un premier film Bullhead est une excellente surprise, on y découvre un univers original, le traffic d’hormones en Belgique, le pays roi du dopage, le tout porté par un acteur à la présence animale véritable parabole sanguine du film. Matthias Schoenaerts se transforme en minotaure dopé prêt à exploser au moindre éraillement sur son passage. Le contexte rural d’une Belgique divisé en deux clans francophone et wallon apporte son lot de scènes cocasses, là on y s’y attend le moins sur un sujet assez lourd.

La véritable force de Bullhead est son traitement, Micheal Roskam insuffle un humoir noir avec deux garagistes looser totalement à l’ouest amenant à un double interrogatoire mémorable. Cela vient contre balancer un trauma pesant qui nous éclaire sur le présent de ce taureau castré, autant la partie enfance rappelle du Jaco Van Dormael version trash un poil lourde autant tout l’amour refoulé de cette bête est finement traité apporte les plus beaux moments du film : de la rencontre obsessionnel à la parfumerie au passage de la discothèque.

En point faible on notera une intrigue policière un peu approximative qui n’est finalement qu’un prétexte pour apporter de la tension au récit, la toile de fond mafieuse est également survolé alors qu’il y avait un véritable potentiel pour aller plus loin, l’histoire tourne court sur une superbe scène finale cloisonnée shooté à l’adrénaline mais on reste sur sa faim avec cette conclusion brusque. En tout cas Bullhead est film sans concession qui par fragment rappelle le Refn des débuts mafieux à son meilleur sur Pusher 2, rien que pour cela Micheal Roskam est un cinéaste à suivre de très près.

7.5/10
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My Week with Marilyn - 7/10

Messagepar Milkshake » Mar 28 Fév 2012, 21:31

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My Week With Marilyn de Simon Curtis

My Week With Marilyn est le cas typique du petit film formé pour viser des titres du biopic léger et prope sur lui à la sauce romance sans aucune prise de risque qui fait le stric minimum avec 1h30 de bobine. Forcement, le réalisateur anonyme (abonné aux séries TV et Téléfilm) livre un traitement impersonnel qui suit à la lettre le cahier des charges mais parsemé de quelques belles images et beaux passages de complicité du duo d'acteur, au contraire d'un Hoover qui s'est planté magistralement en voulant narrer toute la vie de sa star le scénario à la bonne idée d'adapter le roman d'un jeune fana de cinéma qui par hasard et volonté va se retrouver bodyguard de Marilyn le temps d'un court tournage en Angleterre.

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Commence donc une relation de fascination d'une star à travers les yeux d'Eddie Redmayne parfait une fois de plus en jeune premier novice tombant littéralement accro de Michelle Williams qui étale tout son talent. Même si quelques kilos en plus aurait aidé, en un nombre minime de scène elle délivre toutes les facettes du personnage le côté glamour surjoué, ses caprices, sa timidité, son goût pour les numéros dansant et ses pathétiques performances d'actrices sautant d'un homme à l'autre. Forcement la relation sera éphémère comme le film qui survole son sujet surtout sur l'aspect sombre et névrosé de Marilyn restant agréable à voir pour son duo d'acteur impliqué dans cette romance innocente, on notera aussi un Kenneth Branagh parfait en petit cabotinage voilà un réalisateur qui mériterait de rester devant la caméra.

7/10
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Térritoire des Loups (Le) - 8,5/10

Messagepar Milkshake » Sam 03 Mar 2012, 11:17

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Le Territoire des Loups de Joe Carnahan

Il en aura fallu du temps pour que Joe Carnahan puisse enfin confirmer son excellent Narc, il reprend ici le style de ses débuts cash, nerveux pour affiner son art via une histoire aussi simple que prenante. Avec the Grey, Carnahan signe tout simplement le meilleur survival porté sur grand écran depuis Alien, pas un seul bout de gras dans cette chasse aux loups palpitante qui prend aux tripes dès les premières secondes avec la meilleure scène de crash jamais réalisé. Un monde de paria et de brute qui se trouve coincé dans des conditions extrêmes ou la survie est roi.

Carnahan évite tous les écueils du genre même s’il y en reprend tous les codes (le groupe qui diminue un par un avec un élément perturbateur) on voit parfois la mécanique du film qui fait apparaitre ses loups quand on s’y attend le moins. Le réalisateur maitrise parfaitement son sujet rendant les attaques de ses bêtes aussi furtives que sanglantes, laissant planer un mystère sur le chef de meute le danger en est d’autant plus palpable qu’il joue astucieusement avec les nerfs des survivants via leurs yeux qui brillent dans le noir, leurs souffles et leurs cris.

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The Grey est avant tout un film humain, d’hommes à priori sans cœur qui dans l’adversité vont faire preuve d’humanité chaque perte est véritablement poignante ou le fantôme de l’être aimé vient emporter votre âme. Le tout allié à un drame originel qui dans d’autre mains aurait pu plomber le film, Carnahan trouve l’équilibre parfait avec ses flashback incessant d’un amour perdu, le questionnement sur la nécessité de survivre et d’avoir la foi. Liam Niesson magistralement filmé par le piqué granuleux de Carnahan porte tout le film sur ses épaules allant jusqu’à se sacrifier.

Le meilleur survival depuis Alien, Carnahan taille son style nerveux et furtif à la Narc pour insuffler une bonne dose d'humanité.

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8.5/10
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar jean-michel » Sam 03 Mar 2012, 11:31

2 critiques qui me plaisent, marilyn je le verrais juste pour Michelle Williams que j'adore depuis ses débuts dans dowson.
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Re: [Milkshake] Mes critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Sam 03 Mar 2012, 11:43

c'est bien vrai ce que tu dit au debut , je m 'etait dis pareil : Pas un seul bout de gras dans the grey :wink:
sinon ouai pareil et d'accord avec tout le reste , un GRAND grand film la , le mix parfaitement equilibrer entre de la survie au 1er degre a la Wayback et tout le coter existentiel et humaniste avec une ambiance qui tue et une realisation Parfaite en tout point
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Artist (The) - 6/10

Messagepar Milkshake » Dim 11 Mar 2012, 17:42

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The Artist de Michel Hazanavicius

Le trop plein d'attention médiatique pour The Artist montre bien la pauvreté de la sélection des cérémonies de récompense de ce début d'année, The Artist est un projet louable, risqué une véritable ode au cinéma d’antan, un saut dans le temps noir & blanc, muet, cadre 4/3 porté par un duo d'acteur véritablement à laisse : Jean Dujardin fidèle à lui même cabotin et charmeur en star déchu du muet et Bérénice Bejo en étoile montante du cinéma parlant. La seule véritable bonne idée du film est ce parcours inversé à une période charnière du cinéma ou la révolution du son va laisser bon nombre d'acteurs sur le carreau. Le film laisse une sensation de divertissement sympathique, Michel Hazanavicius après les OSS continue dans le petit pastiche inoffensif qui fait sourire, un film qui a parlé au métier car son sujet est centré sur la fabrication de ces films désuet, l'envers du décors de cette industrie impitoyable.

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L'aventure est un poil précipité en 1h30 on a quand même du mal à croire à cette romance, tous les ressort du scénario sont visible à des kilomètres, on s'amuse tout juste à retrouver des acteurs connu venant faire un petit coucou ou des décors mainte fois utilisé par les studios de Los Angeles, de l'immeuble de Blade Runner au dîner type Mad men. En terme de mise en scène le film est certes rythmé mais assez pauvre, cloisonné, la musique répétitive ne vient pas comblé l’absence du son d'ailleurs une seule scène marquante joue avec ce paradoxe, on retiendra aussi trois autres purs moments de cinéma : le jeux de miroir, les bobines enflammé et les souvenirs de tournage en miniature. On sent que le film pouvait aller bien plus loin dans le trauma, la tragédie, le spectacle dansant mais le côté gentil et anodin, prend le dessus, un moment aussi oubliable qu’agréable grâce à la joie communicative de son duo d'acteur.

6/10
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