[Dunandan] Mes critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Ven 23 Mar 2012, 02:18

Ah si il y a plein de points communs : cérémonie officielle, la fin, et certains sévices effectués sur les prisonnières. Puis bien sûr le sous-texte social. Je ne parle pas de scènes précises, mais du schéma narratif. Je suis très sensible à ça depuis Zatoïchi :eheh:

Mais sinon il y a des variantes très intéressantes comme je l'ai souligné dans ma critique.

Edit @ Angel : je te pique le parallèle 1-baroque/2-onirique, car c'est effectivement ce que j'ai ressenti sans trouver les mots justes (je préfère signaler quand je reprends nettement une idée à un autre ..., mais je le fais seulement quand ça s'intègre parfaitement à un ressenti ou un développement) :super:
Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Ven 23 Mar 2012, 09:06

Si je me fie à mes souvenirs (et à tes captures), je préfère le second... Pour ma part, je préfère ne pas enchaîner trop rapidement les épisodes d'une saga, pour éviter lassitude et sentiment de répétition.

Tout comme je ne peux pas enchaîner deux films du même réalisateur.
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 43188
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar angel.heart » Ven 23 Mar 2012, 13:41

dunandan a écrit:Ah si il y a plein de points communs : cérémonie officielle, la fin, et certains sévices effectués sur les prisonnières. Puis bien sûr le sous-texte social. Je ne parle pas de scènes précises, mais du schéma narratif. Je suis très sensible à ça depuis Zatoïchi :eheh:

Mais sinon il y a des variantes très intéressantes comme je l'ai souligné dans ma critique.

Edit @ Angel : je te pique le parallèle 1-baroque/2-onirique, car c'est effectivement ce que j'ai ressenti sans trouver les mots justes (je préfère signaler quand je reprends nettement une idée à un autre ..., mais je le fais seulement quand ça s'intègre parfaitement à un ressenti ou un développement) :super:

Mais vas-y pique mon petit. Et puis au pire quand tu sais pas tu m'demande. 8) :mrgreen: :wink:
angel.heart
Robocop
Robocop
 
Messages: 9303
Inscription: Lun 28 Mar 2011, 14:55

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Ven 23 Mar 2012, 15:32

Mark Chopper a écrit:Si je me fie à mes souvenirs (et à tes captures), je préfère le second... Pour ma part, je préfère ne pas enchaîner trop rapidement les épisodes d'une saga, pour éviter lassitude et sentiment de répétition.

Tout comme je ne peux pas enchaîner deux films du même réalisateur.


Puis mine de rien tu as crée une attente en moi, lorsque tu as dit que le 2 enterrait le premier ... :roll:. Je pensais que ce serait au niveau visuel, alors que ce point est quand même plus discret (j'ai noté peut-être 4-5 délires visuels
l'introduction, cascade, cabane avec la sorcière et ce qui s'ensuit, fontaine, oeil
), mais je comprends qu'on le préfère au niveau des thèmes qu'il développe, et de l'envolée lyrique de certaines scènes.

Je ne pensais pas que ces deux films se ressembleraient autant sur le fond, maintenant je suis prévenu, et je vais attendre un peu avant de voir le 3. Avec d'autres réalisateurs japonais comme Gosha ou Kurosawa, je n'ai absolument pas ce problème, et même avec Zatoïchi ça allait même si je ne retenterai pas l'expérience avec une autre saga :nono:.
Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Ven 23 Mar 2012, 15:45

Si tu veux avoir une connaissance encyclopédique du cinéma japonais, il va falloir que tu vois au moins le premier film de la saga Tora-san de Yōji Yamada, immense succès populaire qui a compté... 48 films (avec le même acteur !).

Voilà ton programme pour les deux prochaines mois :mrgreen:

Non, je déconne : c'est un peu nounouille, et un seul suffira... histoire de dire !


Les deux premiers Femme scorpion, j'ai dû les voir à 6 mois d'intervalle... et j'ai vraiment le souvenir d'un film plus délirant visuellement. Bon, c'était l'été dernier, je ne vais pas le revoir de sitôt pour vérifier :wink:

Et si tu regardes un jour le diptyque Sex & Fury et Female Yakuza Tale, là je dis que le premier est meilleur, mais que le second est plus intéressant en terme de photographie et de direction artistique.

EDIT : Kurosawa a signé des oeuvres très différentes, donc tu peux facilement enchaîner sans te lasser.
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 43188
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Cercle rouge (Le) - 8,5/10

Messagepar Dunandan » Sam 24 Mar 2012, 04:07

Le cercle rouge

Réalisé par Jean-Pierre Melville

Avec Alain Delon, Bourvil, Gian Maria Volonte

Policier, FR, 2h15 - 1970

8.5/10


Résumé :
Un truand marseillais, un détenu en cavale et un ancien policiers mettent au point le hold-up du siècle. Ils sont poursuivis par le commissaire Mattei.


Lorsqu'on regarde un Melville, il ne faut pas être en manque de sucre ou de café. Comme d'habitude, ce n'est pas très bavard, la mise en scène, les faits et les gestes remplaçant presque complètement les dialogues. Par de sur-explication : tout se trouve devant nos yeux, il faut juste rester concentré et parfois être un poil observateur sur l'action se déroulant à l'écran tout comme sur la psychologie des personnages. C'est le genre de film qui est toujours menacé par le sentiment de vide, si nous ne faisons pas l'effort de se mettre à son niveau. J'ai beaucoup aimé, comme d'habitude avec le maître, mais je suis quand même un peu frustré car je n'ai pas eu toutes les cartes en main arrivé à la fin du film : manque de maîtrise du réalisateur ou baisse d'attention de ma part ... ?

Le film commence très bien avec l'évasion d'un malfaiteur, lente mais méticuleuse, bien que ça semble un peu facile pour ce dernier, vu la proximité de son gardien. Bon en même temps, il a face à lui un flic bien fatigué, qui ressemble tout à fait aux personnages de Melville en fin de parcours, qui a encore tout à prouver malgré la réputation qui le précède. Au même moment se déroule la libération d'un autre malfaiteur de prison, qui se fait indiquer un "gros coup" par son propre gardien. Or, ces deux malfaiteurs se rencontrent tout à fait par hasard, et semblent faire écho à la phrase du début : Quand des hommes même s'ils s'ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d'entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents. Au jour dit inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. Bref, malgré certaines rencontres circonstancielles, le destin semble se mettre en marche vers une fin inéluctable. Ce fatalisme est encore accentué par une affirmation ontologique du chef de la police : tous les hommes sont nés coupables, flics comme malfaiteurs. Cette idée-là était déjà annoncée dans son générique où l'on apercevait la voiture de police transportant le prisonnier griller un feu rouge, et par la proposition d'un "casse" par le gardien de prison : le mal est farouchement enraciné dans l'âme humaine. Davantage que l'idée de justice séparant le mal du bien selon des normes bien précises, le film prêtera donc plus attention à la chute programmée des hommes, qui n'épargnera personne d'un côté comme de l'autre, à différents niveaux.

Il semble que c'est une habitude pour Melville de laisser parler les flics tandis qu'il cède avec parcimonie quelques mots aux malfaiteurs, qui préfèrent les gestes et l'action, parfaitement mis en valeur par une mise en scène toujours aussi épurée, mais ramenée à l'essentiel, "bavarde" juste comme il faut. Aucune voix off ne soutient l'état d'âme des personnages, ce qui est le propre de tous les polars de Melville, et il faudra se contenter des deux affirmations pré-citées, de la photographie froide, grisâtre ou nocturne, qui pourrait être prise comme un reflet de leur psychologie comme ce fût déjà le cas dans L'armée des ombres, et surtout, de l'attitude des protagonistes - qui pourrait à elle seule être étudiée dans le détail tant elle nous livre des informations importantes -, incarnés par un casting de fou : Bourvil nous livrant son meilleur rôle, puis Alain Delon, Gian Maria Volonté, et Yves Montand qui ne sont pas en reste, parvenant tous à faire exister leur personnage.

L'ambiance, presque sans paroles et sans voix off, réaliste voire terre à terre, est donc très oppressante, pesante. Il y a quand même quelques interludes "musicaux", du jazz en arrière-plan ou dans un bar quelconque vers lequel reviennent certains personnages, mais même là ça reste très froid, désincarné (les danseuses bougent, mais le public reste parfaitement immobile), et d'une profonde mélancolie. La solitude des personnages est paradoxalement du côté des policiers (le policier vit seul avec ses chats, et l'ancien policier est hanté par ses démons) tandis que les bandits s'unissent dans une fraternité fondée sur l'honneur, alternative à une justice punissant impartialement, sans humanité, la chute qui est en chacun en puissance.

Puis vient le "casse". La construction de l'action est parfaite : découverte du bon partenaire, repérages, fabrication d'une "astuce" pour passer le dispositif de sécurité, et lente progression intelligemment menée par les participants. De toute la carrière de Melville, c'est sa plus belle mise en scène, prouvant qu'il est tout à fait possible de mettre en oeuvre un "casse" avec calme et silence complet, et cependant parcouru d'une tension énorme.

Le dénouement final, j'avoue que j'ai moins accroché qu'au reste. On dirait que les choses s'accélèrent, changent de rythme, pour "coller" à l'idée de départ : tout le monde doit se retrouver dans le "cercle rouge", quoi qu'il arrive. Certains points me semblent encore énigmatiques, essentiellement certaines dénonciations incomprises et rencontres impromptues. A revoir donc pour me faire une idée plus définitive du film.





L'un des plus grands polars français, basé sur une histoire relativement simple, mais qui est transcendée par une mise en scène parfaitement maîtrisée et un excellent casting. La fin m'a laissé sur le carreau, pour de bonnes ou mauvaises raisons. A revoir pour me faire une meilleure opinion. Dans mon TOP 3 Melville.
Critiques similaires
Film: Cercle rouge (Le)
Note: 9/10
Auteur: osorojo
Film: Cercle rouge (Le)
Note: 7/10
Auteur: Criminale
Film: Cercle rouge (Le)
Note: 8/10
Auteur: Alegas
Film: Cercle rouge (Le)
Note: 8/10
Auteur: lvri
Film: Cercle rouge (Le)
Note: 7,5/10
Auteur: Val

Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Sam 24 Mar 2012, 10:31

Tu regardes tes films beaucoup trop tard :mrgreen:

Celui-là, c'est mon Melville préféré.
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 43188
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Sam 24 Mar 2012, 10:43

tient celui là aussi Refn a essayer de copier sans y arriver :mrgreen:
Avatar de l’utilisateur
Scalp
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 60283
Inscription: Ven 04 Jan 2008, 13:17

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 24 Mar 2012, 17:32

Mark Chopper a écrit:Tu regardes tes films beaucoup trop tard :mrgreen:

Celui-là, c'est mon Melville préféré.


D'habitude, je n'ai pas de problème d'assoupissement, seulement les Melville (jusqu'à lors je les ai tous commencé avant 20h00 :eheh:). Sérieusement, je ne suis pas le seul à trouver le dénouement trop abrupt, et faudra que je le revoie dans l'année, avec mon café et mon sucre, pour confirmer ou infirmer mon dernier commentaire.
Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Sam 24 Mar 2012, 17:40

Je te déconseille Ozu et Mizoguchi passé minuit :eheh:
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 43188
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 24 Mar 2012, 17:43

Ozu, j'en ai vu un avant de bouffer, autour de 19h00, j'en ai chier :eheh: (Printemps tardif). Tu oublies les Kurosawa aussi, bien que ce soit un réalisateur culte pour moi.
Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Sam 24 Mar 2012, 17:51

Printemps tardif, c'est le plus rythmé que j'ai vu :eheh:

Kuro, ça dépend lesquels... En général, il a un problème de longueur. Mais L'Ange ivre ou Chien enragé ça passe.
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 43188
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Sam 24 Mar 2012, 17:55

C'est moins le rythme que la drogue qu'on pris les acteurs : ils sont tous en train de rigoler ou de sourire pendant le film ... Et puis bon ce n'est pas mon type de sujet. Je l'ai regardé pour découvrir Ozu, son style, ...
Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Loups (Les) - 6/10

Messagepar Dunandan » Dim 25 Mar 2012, 15:22

Image
Les Loups, Hideo Gosha (1971)

En revoyant les films de Hideo Gosha dans l'ordre, je m'aperçois à quel point Les Loups s'inscrivent en fait dans la droite lignée de Goyokin et de Hitokiri dont ils forment une sorte de trilogie, constituant un procès sans appel contre le code d'honneur des samouraïs, et préfigurent Quartier violent par rapport au problème d'adaptation des yakuzas à la modernité. Par contre, il ne faudrait pas trop s'attendre à un film de yakuza dans le style de Fukasaku (même si ça s'inscrit dans la même vague révisionniste allant contre l'image romantique des yakuzas). Il s'agit plutôt d'un ninkyo eiga (film en costumes), prenant ici la forme d'un film très bavard au rythme lent (poétique diront certains), pauvre en action, et qui ne délivre pas toutes ses cartes au début, contenant en outre une histoire d'amour à la Roméo et Juliette contrariée qui a toute son importance dans le récit. Le rythme du film est cependant relancé de manière éparse par une poignée de yakuzas plus vivaces que les autres, peu satisfaits des compromis pragmatiques dont il font l'objet, prêts à déterrer la hache de guerre pour un dernier baroud d'honneur.

Dommage, car sur le papier, il y avait lieu de s'enthousiasmer. D'abord par le contraste offert entre la violence baroque dont étaient capables ces yakuzas pour défendre leur code d'honneur et leur territoire, et la tranquillité de leur sortie de prison, illustrée par des fleurs ou un chiot qui représente ce que sont devenus ces fameux loups, qui ont l'air de nous dire que ce n'est plus le temps de la guerre, mais celui de la paix et de la soumission aux nouveaux chefs qui étaient leurs ennemis. De nombreuses réflexions intéressantes émergent de cet équilibre fragile, mais nécessaire si ces gangsters de l'ancienne garde veulent subsister dans ce monde en pleine métamorphose, tournant autour des thèmes du code d'honneur et de la fraternité, souvent en opposition. Ce qui conduit à quelques empoignades tendues qui révèlent qu'au fond le code ne fait pas tout, le tout illustré par une photo très belle, au service du sujet du film, en reflétant une composition funèbre, crépusculaire. Ce que la musique pop-jazz appuie également, peut-être un peu trop, avec un gros effet de redondance.

Et justement le gros soucis du film, c'est sa temporalité, dilatée au maximum, et le récit, ponctué d'ellipses et de flash-backs, se complique pour pas grand chose. L'intrigue aurait tout aussi bien pu être resserrée tout en conservant sa configuration contemplative. En outre, si la mise en scène transpire la maîtrise, il faut reconnaître que le film est essentiellement tourné vers ses (trop) nombreux dialogues, et les promenades répétées sur la plage avec Nakadai qui tire la gueule. Bref, à part ce climax final lentement exécuté mais qui livre la marchandise (justifiant presque la longueur qu'on a pu subir), et ces deux mystérieuses tueuses à l'ombrelle qui donnent l'occasion de séquences bien sympa (leur apparition qui se fait lentement dans le cadre, et ce silence qui plane tandis qu'elles réalisent leur sale besogne), il faut vraiment prendre son mal en patience pour tenir jusqu'au bout.

Pour conclure, malgré sa belle réputation, son ambiance plutôt réussie (recevant son plus gros budget à l'époque, Gosha s'est fait plaisir), et son casting de feu (que des bonnes trognes habituées du genre !), j'ai préféré Quartier violent dans le même genre qui raconte grosso-modo la même chose mais en plus péchu, ou encore Le sang du damné, plus touchant et incarné. Dommage donc que le rythme ne soit pas plus soutenu, et que l'histoire, pourtant dotée d'un fort potentiel, traîne en d'interminables longueurs, le tout alourdi par des acteurs, tous bons soient-ils, qui tirent bien trop souvent la gueule. Un film dont je reconnais quand même l'importance, car il ferme une page de son cinéma, et représente un premier pas vers ses grandes fresques romanesques marquées par une légère touche de Pinku Eiga (dont je ne retiendrai que Kagero et Femme dans un enfer d'huile), où se dessinera parfois une fascinante chorégraphie des corps à l'érotisme prononcé.

Note : 6/10
Critiques similaires
Film: Loups (Les)
Note: 6/10
Auteur: Jed_Trigado
Film: Loups (Les)
Note: 6/10
Auteur: Tarankita

Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20493
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Dunandan] Mes critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 25 Mar 2012, 15:25

Bizarre celui là il a une excellente répute, t'as ptet pas tout compris en fait :mrgreen:
Avatar de l’utilisateur
Scalp
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 60283
Inscription: Ven 04 Jan 2008, 13:17

PrécédenteSuivante

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 7 invités



Founded by Zack_
Powered by phpBB © phpBB Group.
Designed by CoSa NoStrA DeSiGn and edited by osorojo and Tyseah
Traduction par phpBB-fr.com
phpBB SEO