#Réalisateur# Kihachi OKAMOTO

[Dunandan]

Kihachi OKAMOTO

Sukedachi-ya Sukeroku (2001)

East Meets West (1995)
Daiyukai (1991)

Jazz Daimyo (1986)
Chikagoro naze ka Charusuton (1981)

Eireitachi no oenka: saigo no sôkeisen (1979)
Burû Kurisumasu (1978)
Dainamaito dondon (1978)
Yûrei ressha (1978) (TV)
Sugata Sanshiro (1977)
Tokkan (1975)
Aoba shigereru (1974)
Nippon sanjûshi: Hakata obi shime ippon dokko no maki (1973)
Nippon sanjûshi: Osaraba Tokyo no maki (1972)
Les marines attaquent Okinawa (Gekido no showashi Okinawa kessen) (1971)
La Légende de Zatoïchi : Zatoïchi contre Yojimbo (1970)

Red Lion (Akage) (1969)
Nikudan (1968)
Kill, la forteresse des samouraïs (Kiru) (1968)
Japan's Longest Day (Nihon no ichiban nagai hi) (1967)
Epoch of Murder Madness (Satsujin kyo jidai) (1967)
Le sabre du mal (Dai-bosatsu tôge) (1966)
Chi to suna (1965)
Samouraï (1965/I)
Aa bakudan (1964)
Eburi manshi no yûga-na seikatsu (1963)
Sengoku yaro (1963)
Gekkyû dorobo (1962)
Dobunezumi sakusen (1962)
Jigoku no kyôen (1961)
Kaoyaku akatsukini shisu (1961)
Ankokugai no dankon (1961)
Dokuritsu gurentai nishi-e (1960)
Daigaku no sanzôkutachi (1960)
Ankokugai no taiketsu (1960)

Dokuritsu gurentai (1959)
Aruhi watashi wa (1959)
Ankokugai no kaoyaku (1959)
Wakai musumetachi (1958)
Kekkon no subete (1958)

Légende pour les DVD :
- en surligné : Z 2
- en italique : Z1 ou 3 (VOSTA)

[Dunandan]

Je continue d'ouvrir des panoramas sur mes amis japonais

- Le sabre du mal : 9.5/10. Tout simplement l'un des plus beaux chambaras crépusculaires avec un Nakadaï possédé par son rôle.
- Kill : 8.5/10. Film de sabre lumineux, à l'opposé du précédent. Un fond classique mais avec un traitement tout frais rappelant un peu Sanjuro, avec un Nakadaï totalement à l'opposé de son autre rôle.
- Samouraï : 8/10. Aussi nihiliste que Le sabre du mal qui viendra après, avec un contexte historique plus chargé (la fin des samouraïs). Au carrefour de plusieurs influences (Sanjuro, Harakiri, 13 tueurs). Pas aussi bon que les deux autres films de sabre sur la forme, mais le mieux écrit.
- Zatoïchi contre Yojimbo : 6/10. Un peu déçu par celui-là, mais peut-être le reverrai-je à la hausse, car il ne faut pas trop le voir comme un Zatoïchi ni comme un Yojimbo, mais un film de sabre tout court, légèrement influencé par le passé de ses deux personnages.

[zack_]

Le premier réalisateur avec la lettre O
Reste de libre les lettre Q, U, X

[Dunandan]

comme je suis fier , avec les japonais il y a beaucoup de bons réalisateurs commençant par la lettre O.

Mamoru Oshii me vient en tête par exemple ...

[osorojo]

Et pis on pourrait demander à Scalp d'ouvrir un topic sur Yasujirō Ozu

[Dunandan]

Ne m'en parle pas j'en ai vu un seul, et ça m'a vacciné pour au moins 5 ans. C'était efficace au moins