[Heatmann] Mes Critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Dernier château (Le) - 7/10

Messagepar Heatmann » Mar 05 Mar 2013, 17:29

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Le dernier Chateau


7/10



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Eh bien c’est fort divertissent ce thriller d’action carcéral ! 2h05 et on s’emmerde jamais , au contraire , après une tension bien construite pendant une grosse moitié du film , on se retrouve avec un film de siège vue de l’intérieur , le concept de prise de château , qui normalement empêche les gens de rentrer , mais celui les empêche de sortir , sur une stratégie moyenâgeuse fonctionne carrément tant les perso sont des figure model d’un autre age et totalement fonctionnel pour un récit qui se lâchera dans un long et généreux climax de plus de 30 minutes qui commence comme une émeute élaborer de façon très ludique et fini en guerre civil interne !

On dirait un peu un long métrage prison break avec multiplicité de personnages qui décrivent un vrai panel carcéral réaliste, avec leur conflit , leur mœurs , leur violence et dynamique social ( et pis y as brian goodman et moi j’adore brian goodman ) , en plus le faite que ce soit une prison militaire rend le truc un peu original autant coter détenue que sécurités , mais écrit par milius pour les thème et tonalites et réaliser par fuqua pour le réel plaisir de spectateur pris devant un divertissement a papa bien généreux en action explosive , univers viril et plein de bravoure ! c’est un peu la version actioner de luke la main froid , brubaker ( par rapport au stallone , c’est moins humaniser mais plus percutant avec la même dose de sentimentalisme un peu facile )


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Alors oui le pitch est un peu ( beaucoup ) con con et les personnages servent facilement le propos du film , et puis si on gratte un peu l’écriture on peut accabler le film de tout les tort , mais ce serais prendre le film trop au sérieux , une tel improbabilités assumer de bout en bout et qui livre la marchandise autant sur le duel psychologique ( jeu d’échec a hauteur d’homme et d’armer improviser c’est bien sympas ) que sur le déferlement d’action sur la fin du métrage , ben moi ça me rappelle le remake de red dawn justement dans les intentions , sauf que la c’est quand même un peu plus riche en perso et enjeu , bref plus développer et puis on peut meme y voir un message post 9/11 avec la faillite militaire et l’hymne au petit soldat

Ca y va lourd sur les symbolique militaire, mais justement autant elles sont glorifier dans le camp de redford et ces prisonniers a l’honneur bafouer, autant elle sont bien maltraiter dans le camp de gandolfini et sa bande d’incapable qui ridiculise le drapeau et institution ricaine.
Donc oui, les personnages sont bien manichéens (les gardes c’est des gros facho, meurtrier et protéger par leur galons , et les prisonniers sont non seulement bien plus finot , de meilleurs soldat , mais aussi tout simplement des hommes meilleurs ! ) et facilite de prendre position mais il y a quand même ici et la des perso qui viennent nuancées les camp et apporter un dilemme moral certes qui vole pas haut mais fait avaler la pilule sans qu’on trouve le fond douteux .
Y a le débile de service ( clifton collins qui en fait beaucoup comme souvent ) qui se sacrifiera pour sa cause et fera fondre le général déchut ( redford ) et lui faire livrer une dernière bataille ( surtout après sa court martial qui fait un peu tache dans sa carrière parfaite ) mais il y a aussi le fils ( un mark ruffalo très bien ) du frères d’armes qui ne seras pas si facile que ça a recruter .


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Evidemment le duel des têtes d’affiches on la part belle, redford est excellent en caricature du leader parfait, philosophie de la guerre et des troupes qui font mouche a chaque fois , il dégage une vrai sagesse et impose un respect communicatif et face a lui un gandolfini tout aussi génial , qui de prime abord ne sait pas trop comment réagir quand il accueille dans sa prison un de ces héros et modèle en tant que détenue . Le début du film sur cet aspect est traité de manière bien ambiguë et on est un peu dans l’inconnue, c’est bien. Ça se perd par la suite avec des enjeu très simplifier mais l’action fait sont apparition . Gandolfini passe du mec sans assurance , plein de doute , a une sorte de hulk en treillis , il montrera toute sa tyrannie quand il comprendras que sont héros n’a pas les même valeur que lui qui n’est pas un homme de terrain mais de protocole ( delroy lindo bien en remettre une couche la dessus ) et donc la rébellion se met en marche et le climax est vraiment bien torcher et s’étale bien et exaltant . Plusieurs forme d’assaut sont employer, c’est carrément pas timide , pis le film est bien R pour une production dreamworks c’est étonnant .

J’ai bien aimer la photo grisâtre au ton bleuter et puis ça reste cadrer et filmer de façon classique et lisible , ici la forme est en relation au fond old school , aucune effet de style ou montage post moderne , c’est en scope et jerry goldsmith sort un score comme a l’époque de patton !


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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar Criminale » Mar 05 Mar 2013, 22:21

Ouaip totalement d'accord :super: , vu deux fois et un plaisir à chaque fois. Belle photo franchement.
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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Mar 05 Mar 2013, 22:27

faut pas trop trop reflechir sinon on peut se gacher le plaisir , car sinon c'est reelement tres divertissent , un plaisir de spectateur avec un bon concept mais un peu maladroit dans sont partie pris , mais comme je le disait , si red dawn vous file pas de bouton , c'est du tout bon, surtout pour le panel de perso , la vrai description carceral , l'univers millitaire et surtout l action ! et oui , plastiquement c'est bien chouette
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Master (The) - 6,75/10

Messagepar Heatmann » Mer 06 Mar 2013, 16:48

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THE MASTER


6.75/10



Je pense que si on est bien plus réceptif au film ça doit faciliter sont analyse et décryptage, pour cela, la critique de Jed est la et même si je suis pas aussi intéresser par le sujet et fasciner par la totalités du métrage , je suis d’accord avec sa vision .
Pour résumer, alors PTA j’aime bien mais en suis pas gaga même si souvent je lui reconnaît un vrai univers artistique très fort, magnolia c’est pas mal mais me laisse de marbre, punch drunk love je trouve juste fade et vain, et boogie night c’est vraiment bien mais je peut pas crier au masterpiece , par contre there will be blood , alors la , c’est 10/10 et un choc intégrale , un film qui me comble de partout . Ce master je l’attendais pas et au final j’ai plus apprécié que ce que je pensais.

Clairement ici la réalisation ma fait le film, fasciner par chaque image, des séquence construite de manière virtuose, il y a tellement d’idées et de maîtrise dans la mise en scène qu’on est réellement happer par la force pictural dont on est témoin. La choix de cadre et format et ce travaille de dingue sur la photo et notamment les contrastes, c’est saisissant, on remarque tout de suite les idee dans la construction d’un plan et pourtant ça fourmille tellement, les scènes sont tellement varies qu’on sent bien a la fin qu’il reste encore beaucoup de chose a dénicher.


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Clairement pour moi , c’est trop long , 2h15 alors que tout est dit après 1h30 et des brouettes , après ça piétine et se répète beaucoup dans sont propos , surtout que les 2 persos principaux évolue pas tant que ça au cours du film donc niveau enjeu on va pas bien loin et puis même tout au long du film il y a plein de scène vraiment étirer au maximum , y a vraiment moyen d’être tout aussi pertinent et profond mais en étant plus concis . Pis le sujet en lui-même , pas vraiment aussi passionnant que TWBB ou boogie nights , et puis le fort sentiment claustrophobe et renfermer sur la durer nous fait regretter qu’on s’intéresse pas plus au background de l’époque et ce qui se passe un peu autour de cette cause plutôt que focaliser a 100 % sur ces 2 personnage ( ce que TWBB fait donc a merveille en mêlant intimiste , historique , épique et ambition fleuve ) . Le mot est lâché, oui on se fait chier par moment et l’enchaînement de scénette pas vraiment relier de manière fluide entre elles est déroutant.

Phoenix est très bon mais sont registre d’autiste auto destructif, introvertie qui explose de temps en temps , ça va il maîtrise depuis le temps . Amy adams de film en film elle ne cesse de m’épater et puis phillip seymour hoffman , alors la , c’est du grand art , une performance magistrale , tout le réel pouvoir hypnotisant du film est cristalliser dans sont personnage et sont interprétation qui nous gagne sa cause tout en nous laissant douter de ces intentions . La description presque familiale de la cause est bien vicieuse (dans le bon sens du terme) car tellement chaleureuse et la relation entre le maître et sont disciple passe par tout un tas de péripéties aussi futile et abstraite que vraiment palpitante ( j’adore la passage en moto dans le désert , ou tout les passage sur le bateau ) d’ailleurs j’avais beaucoup lue que le film était très froid et opaque , et ben je trouve pas du tout , bien au contraire .


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Bref même si le film m’a pas emporter comme sont dernier , a cause du sujet paradoxalement limiter et un peu austère ( + malus un peu chiant et longuet quand même présent mais bcp moins que prévue ) , et bien l’objet de cinéma qu’il y a derrière est remarquable , il reste vraiment bien longtemps en tête , c’est obsédant ( la musique c’est encore une fois du lourd aussi ! ) , un film que je reverrais ( et sûrement a la hausse , et d’ailleurs ça me fait encore plus admirer there will be blood qui est pour moi un chef d’œuvre total ) pour déceler les messages , sous texte et lire entre les ligne de niveau de lecture comme dit jed justement , d'ailleur tout mon dernier paragraphe justifie le parralele entre pta et ces modele kubrick et huston justement , donc normal que le film me laisse un peu KO la , mais que je veut revoir et reevaluera surement une fois que j'ai etait un peu mis sur la bonne direction et eduquer sur le sujet et intention du mec ( la narration , les dialogues sont tres dense ) . Le documentaire sur john huston sur le blu ray est génial et l’image est juste a tomber, d’un niveau pictural c’est la séance la plus impressionnante de l’année so far
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Tender Mercies - 7/10

Messagepar Heatmann » Jeu 07 Mar 2013, 14:01

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Tender Mercies


7/10


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Un beau petit film au charme désuet et a l’ambiance volontairement austère vue les thèmes hautement mélancolique et le ton mélodramatique de ce portait redemptoire d’un homme abattue par sont auto destruction et qui se verra offrir une nouvelle chance dans la vie , qu’il saura saisir avec une humilités et sagesse a la hauteur de ces talent de musiciens .
J’avais beaucoup idéalisée le film a sa découverte, a revoir, c’est toujours un truc qui me cause ( et celui la clairement il intéressera presque personne, c’est toujours cibler pour amateur du style musical et ce type de récit ) mais c’est aussi assez limites tant il est totalement accaparer par sont personnage principale et que techniquement c’est presque du théâtre filmer en extérieur , ce qui reste logique vue l’implication de horton foote a l’écriture et production ( un grand écrivain classique américain ) .

On suit donc le parcoure de Mac sledge , une légende de la music country dans sa jeunesse qui a laisser tomber les concert et disque pour aller picoler dans l’ignorance de tous et commence par se faire oublier de sont public qui évolue et change de génération ( des themes aborder implicitement ) . il se met sa famille a dos et va errer pendant de longues années avant d’échouer dans un motel pourri au fin fond du Texas de la fin des 70’s ( mais eux , ils ont pas évoluer depuis les 50’s presque ) qui est rattacher a une station service tenue par une veuve et sont jeune fils . Mac n’as que sont jean sale et sont chapeau sur lui quand il reprend conscience plus de 2 minute , il y travaillera donc pour payer ce qu’il doit et évidemment on voit très bien ce qui va se passer , c’est pas un soucis .

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Le faite qu’ici ce soit écrit avec des personnage facilitant le propos du film est pas un défaut car l’intérêt n’est jamais dans l’histoire raconter, ça ne se résume qu’a une succession de scénette façon tranche de vie , ce qui prime ici c’est les relation entre les gens , un film sur les émotions qu’on cache .
Un père de substitution pour le petit garçon ( pouf pouf petit abordage du sujet post Vietnam ) , et nouvelle famille pour mac pour prouver qu’on peut être capable d’aimer , de s’aimer et accepter la vie comme elle vient en étant reconnaissant de ce qu’elle nous offre ,

Bien que le film début dans un contexte assez sombre, les messages qu’il s’en dégage sont a l’image de sont scénariste et donc c’est très ancrer dans le patrimoine américain, c’est fordien mais on sent que le Vietnam et le cinéma 70’s est passer par la . le foyer familiale joue une part important dans l’imagerie du film et bien évidemment le contexte de la musique country avec ces cow-boys dernier survivant d’une époque faite de valeur simple n’est pas anodin . D’ailleurs tout ce qui est description de la culture redneck n’est jamais caricatural mais bien authentique.

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Duvall est magistral, enfin il gagne ici sont oscar bien mériter ( aussi nominer pour meilleur film , meilleur real , music forcement et script ) , il a écrit ces propres chanson pour le film et les interprètes . Sur la forme c’est très poser et académique mais pourtant on sent un super travaille de fait sur les coloris brune et puis même si ça reste statique , les composition de cadre et notamment utilisation des paysage , de l’horizon , crée de véritable tableau .
Tout ce qui touche a la résurrection et religion par contre c’était ni utile et c’est encore moins subtile, super le baptême pour les grand et les petits, merci au gentil curer qui vient taper dans le dos de mac qui a expier ces péchés. Un film que j’aime toujours vraiment, mais en 1h30 il ne va pas plus loin que le portrait d’un homme, sont destin et sont monde , c'est un peu la version crepusculaire de honkytonk man . Biensure les ambition n’était pas du tout les même, mais walk the line propose un canvas bien plus large et puis Crazy heart lui viendras encore plus dominer le genre vue qu’il fait tout pareil mais en mieux et plus approfondit et riche a tout les niveau


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I don't trust happiness. I never did, I never will.
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Rues de Feu (Les) - 6/10

Messagepar Heatmann » Sam 09 Mar 2013, 16:24

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Les Rues de feu


6/10


Un des films les plus atypique de la filmographie très constantes et typer de walter hill , ici il pond un film hybride qui mélange plein de genre et d’influence , bien sure sa patte westernienne est toujours la mais dans un contexte rock n’ roll surréaliste renvoyant aux films de bandes des 50’s . C’est pas tout puisque la musique prend une part prépondérante dans le récit , sans sombrer dans l’opéra rock musical c’est quand même très présent dans le background et assure instantanément une grosse identités au film , pis ça fout la patate quoi ! les chanson et le score un peu electro soutienne bien le rythme , mais de façon un peu artificiel car oui , le gros point un peu décevant du film c’est que au final c’est quand même avare en action , en baston , en méchanceté ( ça décrit une univers urbain , glauque , violent , mais souvent hors champ ou alors juste dans les intentions mais pas souvent dans les geste ) .


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D’un autre coter le gros point fort du film c’est sont look et l’abatage visuel qui a été fait. Comme très souvent , hill sort un film entièrement nocturne et ici tourner exclusivement en studio , du coup il a total contrôle de sont environnement et s’en donne a cœur joie avec une photo sublime , des composition de cadre ou ça joue avec les faisceau de lumières , vraiment le film est artistiquement très accomplie , le combo image + son est ici ultra sensoriel et sert complément la narration dans le sens ou souvent ça suffit a faire kiffer une scène , qui il faut bien l’avouer , dans le fond , sont souvent très WTF mais aussi timide et peu engageante ( montrer autant de fois sont shotgun , l’iconiser , et jamais buter personne avec , c’est criminel ! ) .

Alors oui on s’emmerde jamais , hill ne dépasse quasiment jamais les 90 min de film et ici encore une fois il fait démarrer sont film d’entrer de jeu , exposition minimaliste , pas de bout de gras , enjeu simple et clair , les outlaw neo moderne on enlever l’ex copine de notre anti héros loser et il va partir avec une bande de bras cases la libérer , et devras donc se faufiler a travers cette ville décadente qui renvoie forcement a sont The warriors ( mais sans les thématique nuances , l’inspiration et l’énergie de ce dernier ) mais aussi a Carpenter .


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Tu veut de la serie B soooo 80’s , un peu cheesy , avec une diane lane toujour aussi sexy ( par contre on comprend pourquoi michael pare a jamais fait carrière , d’un parle d’une endive ) , un willem dafoe qui continue dans sont registre hermaphrodite 80’s lui aussi et un film qui ressemble a un clip vidéo aussi improbable facon comic book assumer que limiter et un brin caricatural ( gang de bikers gay inside et love story romanesque un peu hors de contexte ) , et bien street of fire est pour vous .
Alors oui c’est bien plus fun et maîtriser que johnny handsome , mais c’est pas rentre dedans et sérieux comme les hill que je préfère , ca manque de hargne ou alors d’un propos ( the warriors lui avait beaucoup plus de profondeur sans rien perdre de sont coter concept ) reste que le film est soutenue par des fulgurance stylistique bien personnel et ca, ca fait quand meme plaisir .
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Messagepar Scalp » Sam 09 Mar 2013, 18:14

ah bein perso je préfère celui là à The Warriors.
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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar francesco34 » Sam 09 Mar 2013, 19:22

J'aimais bcp ce film dans les années 80, mais pas revu depuis. Je me rappelais même pas que c'était de Hill :mrgreen:
Pis cet acteur Michael Paré qu'avait fait sensation sur 2-3 films avant de disparaitre de la circulation.
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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar Jed Trigado » Sam 09 Mar 2013, 19:27

Pis cet acteur Michael Paré qu'avait fait sensation sur 2-3 films avant de disparaitre de la circulation.

Dire qu'aujourd'hui il est devenu l'acteur fétiche d'Uwe Boll et qu'il joue quasi-bénévolement (comme Olivier Gruner et Sasha Mitchell d'ailleurs) pour Albert Pyun dans ses dernières merdes tournées dans un hangar sur fond bleu. C'est dommage, je trouve qu'avec l'âge, il a de quoi faire un solide second rôle dans des prods prestigieuses.
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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar Killbush » Sam 09 Mar 2013, 19:44

Je viens de le recevoir, je vais le mater bientôt :wink:
Starting to see pictures, ain't ya?
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Messagepar Heatmann » Sam 09 Mar 2013, 23:24

Scalp a écrit:ah bein perso je préfère celui là à The Warriors.


hey bien je vient justement de revoir the warriors , et pour moi il y a un fosse carrement a tout les niveau, j'y reviendrais , je trouve que l'un ( warriors ) est dans ces meilleur , qu'il a bien plus de fond et beaucoup plus interressant aussi sur les perso et la narration du film , et l'autre ( street of fire ) est vraiment dans ces moin bon et travailler , mais 6 , c'est pas mal quand meme .

Killbush a écrit:Je viens de le recevoir, je vais le mater bientôt :wink:


c'est fun et fout la patate mais t'attend pas a du grand hill , c'est bien sage et un film plus de formaliste plutot qu'un vrai metrage endiabler . serieux Warriors est bien plus stimulant et tout simplement plus ecrit et avec de l'action servant l'histoire et perso , celui la je l ai revue sous un tout autre angle maintenant
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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Dim 10 Mar 2013, 08:00

Le soucis que j'ai avec Warriors c'est les acteurs et l'esthétisme général, j'accroche pas du tout.
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Re: [Heatmann] Mes Critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Dim 10 Mar 2013, 18:27

ah pas perso je trouve le cast bien plus cool dans Warriors ( remar ! ) et pis la prod design et leveling de la ville j'ai trouver que ca c'etait tres retrouver plus tard dans Escape from LA , credible et inquietant , alors que street of fire ca fait clip video un brin kitsh .
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48 heures - 7/10

Messagepar Heatmann » Lun 11 Mar 2013, 10:47

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48 HEURES


7/10



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Un classique du genre puisqu’il en est le fondateur , j’avoue que j’en gardais un souvenir plus ultime que ça , dans le genre je trouve lethal weapon 1 bien plus aboutie , qui viendras certes perdre un peu de la brutalités du hill mais rajoutera une vrai couche dans l’écriture des personnage avec un peu de trauma qui fonctionne, une normaliter chez glover aidant au rapprochement des perso et juste un film plus kiffant et riche ( et je préfère lethal 1 au 2 perso surtout grâce a sont sérieux et sont triple climax ).

Ceci dit, ici on a la formule du duo que tout oppose, avec une légère dose d’humour dans le sens ou certaine scène allant dans la dérision sont un peu décaler et les dialogue cherche la sarcasme insultant mais pour autant, on est bien loin d’une comédie évidemment ou d’un buddy a la cool puisque les 2 perso sont ici tout de meme assez sombre et on leur vice. Murphy est la pour apporter un peu de relâchement dans la noirceur de l’enquête mais c’est pas un clown pour autant, loin de la. Le langage et sont état d’esprit sont bel et bien ceux d’un détenue criminel, la scène culte ou il passe a tabac un bar de redneck est emblématique de cette effet.

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Alors la oui on est au début des 80’s donc tout les codes technique du pop corn movie dériver du polar urbain sont pas tous flamboyant donc faut reconnaître que le film vieillit un peu visuellement. Hill reprend toute sont Iconographie westernienne ( l’intro façon pénitencier de l’old west , les nombreux gun fight aux fusils ou 6 coups ) et sens du montage sec pour créer une ambiance violent et malsaine avec l’aide notamment d’un duo de bad guy vraiment bad , james remar et sonny landham c’est pas des rigolo , des tueurs de flic vraiment sans pitié et carrément détraquer .

Nolte domine le film est va chercher murphy qu’après une grosse ½ heure ( c’etait sont 1er rôle cinéma ) et lui on a l’impression qu’il c’est tromper de décennie et de production ! tout droit sortie d’un hypothétique french connection 3 ! Raciste , pas allergique a la bouteille , violent , il abusera a ces fin de tout les persos qu’il rencontrer, bref il est pas enjoliver et lors du final il passe carrément en mode extreme prejudice .

Hill oblige , le film transpire le machisme de partout , la tôle et l’asphalte se mêlent a la poudre et testostérone . le bodycount s'eleve de facon bien sanglante et jamais hors champ , les dialogues c'est tout ce qu'on n'entend plus de nos jours , bref un bon gros R qui tache a tout les niveaux . bon la traque des bad guy est purement fonctionnel et c’est conclut en 90minute qui ne regarde jamais ce qui se passe a droite ou a gauche du fil rouge , enfin ça reste bien nerveux même si c’est donc pas aussi riche que les projet personnel de hill .
Ici c’est une commande qui cochait certe toute les case de sont univers mais il c’est un peu heurter au cahier des charge de la Paramount qui a imposer des réécriture ( de la part de De souza ) pour que murphy soit plus « cool » et plus présent , au départ ça devait être encore plus sérieux et hill et eastwood était d’accord pour faire le film ensemble, clint voulant jouer le rôle de murphy mais le studio ne voulais pas de lui en criminel mais en flic .

Au final 48 hours se revoit vraiment toujours avec beaucoup de plaisir ( quand le main theme d’horner retentie on a le sourire au levres ) mais j’ai une préférence pour Red heat ou hill reprendras sa formule ( et préfère le sly aussi tient , qui lui est plus « classe » ) plus tard mais en étant plus ambitieux , plus fun , en restant tout autant sur la brèche et plus palpitant .
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Retour vers l'enfer - 7,25/10

Messagepar Heatmann » Mar 12 Mar 2013, 10:40

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Retour vers l'enfer


7.25/10



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Most human problems can be solved by an appropriate charge of high explosives.



A mi chemin entre le Men on a mission des 70’s et le Nam’ movie des 80’s tant dans ces thèmes sous jacent plus poignant et malin que ce qu’on peut capter en surface , que dans l’évolution du récit qui vire au film de guerre et d’action jamais parodique de ces aines mais belle est bien empris d’un véritable souffle personnel des codes de sont Géniteur . La caution milius est bien la , en tant que producteur et instigateur du projet ( longtemps prévue pour lui-même mais au début des 80’s il était trop demander et a deleguer ) on y retrouve tout ce qui fait sont univers et sont cinéma .

Uncommon valor porte très bien sont titre ( l’original biensur ) a savoir des valeur en décalage avec sont époque , faite de bravoure , dévotion , d’héroïsme exacerbes . Un bellicisme ostentatoire assumer qui n’oublie pas d’émécher les institution lors du prologue ou hackman parcoure les arcanes de sont ancien contingent afin de trouver un soutient a sa cause , une piste dans sa recherche mais se heurte au refus et ignorance d’un gouvernement plus soucieux de sa nouvelle image public plutôt que de ces POW .
La construction du film de commando est respecter a la lettre . Papa hackman va aller chercher ces frères d’armes prêt a partir au combat, des mercenaires non seulement motiver par l’argent ( et ça n’est jamais cacher ) mais aussi par des liens fraternelle plus fort .


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Apres une mise en place plus maligne qu’il n’y parait , on passe enfin a l’entraînement des troupe , un décrassage nécessaire . Gros concours de bite, la caractérisation se dévoile et c’est a la hauteur du casting ( fred ward , un Swayze deja tres charismatique et touchant , red brown , dudikoff !! ) , la team possède une écriture efficace aidant au sérieux et gravite des enjeu , évidemment chez ces barbouzes , tout cela se transforme en amitiés viril ( allez y , glousser vous ) rendant les sacrifices finals poignant .

Et puis la mission s’étend sur une bonne portion du film, bien détailles, riche en stratégie et moyen logistique , c’est jamais cheap , bien au contraire , gros deluge de douilles , de grenade et bodycount dans une sorte de rambo 2 avec de l’emotion sincere et credible en plus . Le final dans l’helico avec un hackman des grand jours et un déchirement paradoxal , soulager , decut , fière , on comprend la perdition de ce pere . James horner fait retentir les trompette , les visages ce fige pour le générique , un dernier hommage a leur gloire , Il aurait juste fallut que kotcheff soit un poil plus fougueux dans sa mise en scène mais rien de bien grave et ceci dit le dvd est bien fatiguer , un bluray serait pas de refut et gommerais surement ce tres minime regret .
Great stuff .
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