[Sylclo] Mes critiques en 2014

Modérateur: Dunandan

Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Mar 04 Mar 2014, 21:43

:super: Même a priori et au final mêmes impressions positives :super:
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Re: Gravity - 9,5/10

Messagepar Hulkiss » Mer 05 Mar 2014, 00:18

Une photographie magnifique, des plans, des images incroyables se succèdent.

Sur le fond les métaphores et autres allusions sur la naissance ou renaissance d’un individu, son instinct de survie sont un peu légers, américaines pour faire concis.

La bande son est sublime en totale harmonie avec le sujet. Ce n’est pas magique mais simplement magnifique.

Tout à fait d'accord, un film qui est une pure merveille, pour le reste ça passe à côté avec une pseudo philo pour essayer de rebondir sur des images hors normes. Et c'est ce que, perso , j'ai réellement regretté dans ce petit chef d'œuvre technique avec des rebondissements digne d'un bon dessin animé. C'est ce qui m'a tué la projection et encore plus lors de la seconde fois où j'attendais déjà l'autre péquenaud avec son siège téléguidée (rien que ça et space surf de Sandra), les évitements improbables de projectiles, l'O2 qui n'en fini pas avec un stress montant et j'en passe. Pour moi, définitivement dommage si ce n'est des images jolies...
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Re: Cloclo - 8/10

Messagepar Hulkiss » Mer 05 Mar 2014, 00:29

Dans le rôle de la vedette, on découvre un étonnant, surprenant, excellent Jérémie Rénier. Ce dernier nous rappelle ce qu’est un acteur lorsqu’il entre dans la peau de son personnage. Il livre ici une performance de premier ordre.


Bon je fais de la pub pour mon nouveau chouchou et "La confrérie des larmes" qui est un très bon thriller et dans lequel Rénier s'affranchit totalement de son rôle de Cloclo, chose qui n'a pas du être facile avec le succès qui colle aux basques quand il y a de la réussite dans la peau d'un personnage. A voir.
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9 Mois Ferme - 5,5/10

Messagepar sylclo » Mar 18 Mar 2014, 16:41

9 mois ferme

Date de sortie: 16 octobre 2013 (1h22min) 
Réalisé par: Albert Dupontel
Avec: Sandrine Kiberlain, Albert Dupontel, Nicolas Marié 
Genre: Comédie
Nationalité: Français

Ariane Felder est enceinte ! C'est d'autant plus surprenant que c'est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que d'après les tests de paternité, le père de l'enfant n'est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l'attend...


Le ton est donné d'entrée, double connotation dans le titre de cette comédie de et avec Dupontel: maternité, grossesse et sanction pénale.

On retrouve rapidement le style Dupontel, c. à d. un humour saignant au sens propre du terme, des personnages décalés de la réalité mais en immersion totale dans la société et un certain sens de la dérision. Le tout est filmé aujourd'hui avec beaucoup plus de soin.

Mais, car il y a un mais dans tout cela. Depuis Bernie ce genre d'agitation ne me fait plus rire, (sourire aux quelques facéties c'est déjà bien).
En reprenant les même ingrédients Dupontel pensait sans doute retrouver les sensations qu'il avait eu avec Bernie.

Bob est dans une gestuelle proche de la pantomime ce qui nuit à la crédibilité de son personnage. Son côté doux/dingue est limite, je ne suis pas arrivé à accrocher, à le suivre dans ses délires supposés être comiques.

Ce qui fait le plus défaut à Bob c'est la tendresse qui, sans être absente, n'émane pas de son personnage.
Sandrine Kinberlain fait le maximum (on veut y croire) mais on est loin de la relation entre Marion et Bernie.
De plus avoir un humour gore, acide c'est bien, mais cela passe beaucoup mieux avec de la malice au fond des yeux, comme dans le regard d'un mauvais garçon avec une âme d'enfant.
Ici on reproduit plus qu'on ne joue, cela se ressent. Dupontel ne se lâche jamais dans ce film.

Pour ceux qui ne connaisse pas le parcours de Dupontel cela passera peut être mieux, ils découvriront un humour différent des standards actuels sans être toutefois politiquement incorrect.

Pour ma part j'ai trouvé un Dupontel tout en retenue, et comme il utilise les vielles ficelles je n'ai été ni profondément attendri ni écroulé de rire.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar elpingos » Mar 18 Mar 2014, 16:47

Perso j'ai tout vu de Dupontel et ce film est dans mon Top 3 (avec Bernie et le Créateur).
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Capitaine Phillips - 8/10

Messagepar sylclo » Mer 19 Mar 2014, 18:19

CAPITAINE PHILLIPS


Date de sortie:20 novembre 2013 (2h14min) 
Réalisé par: Paul Greengrass
Avec: Tom Hanks,Catherine Keener,Barkhad Abdi
Genre: Drame,Thriller
Nationalité: Américain




Capitaine Phillips retrace l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens. La relation qui s’instaure entre le capitaine Richard Phillips, commandant du bateau, et Muse, le chef des pirates somaliens qui le prend en otage, est au cœur du récit. Les deux hommes sont inévitablement amenés à s’affronter lorsque Muse et son équipe s’attaquent au navire désarmé de Phillips. À plus de 230 kilomètres des côtes somaliennes, les deux camps vont se retrouver à la merci de forces qui les dépassent…



Avec un sujet d'actualité récent P.Greengrass nous embarque dans cette partie du globe ou des hommes ont lutés pour leur survie avec des motivations bien différentes

Le film ne s'attarde pas sur les raisons qui poussent certains somaliens à commettre ces actes de pirateries. Quelques minutes supplémentaires auraient sans doute permis d'éclairer et de comprendre un peu mieux les motivations de ces actes désespérés.

Ceci dit le film nous happe dès que nous sommes à bord du bateau. On ressent l' inquiétude qui est présente chez le commandant de bord( fantastique T. Hanks). Cet homme d'apparence austère, distant, va se révéler être un officier de tout premier ordre, avec les valeurs humaines rivées au corps mais capable de faire les choix extrêmes.

La camera nerveuse de P. Greengrass en agacera plus d'un, pourtant dans ce contexte et sur ce navire son choix s’avère judicieux. Par contre la bande son est parfois proche de celle qui accompagne des émissions de télé réalité ou des reportages "chocs". Un choix inutile, agaçant parfois.

De la première tentative d'abordage des pirates jusqu'à l’intervention de l'armée américaine nous sommes pris dans ce tourbillon complètement fou d' acte de piraterie.
Tous les acteurs, pirates, hommes d'équipage semblent être habités par leur personnage.

Comme dans Argo le suspens est crispant. L'angoisse du capitaine et de son équipage rejaillit sur le spectateur..

Tom Hanks est vraiment un très grand, sa prestation de qualité vaut par son jeu sobre mais efficace. Barkhad Abdi dans le rôle de Muse est également génial. Ce qui marque c'est le côté désespéré de son personnage <<... ici je n'ai pas le choix, en Amérique peut être.>>

Certes la flotte militaire américaine fait jouer ses muscles, mais ici pas de cris de joie et l'épilogue laisse malgré tout un goût amer.
La Somalie demeure une terre de souffrance pour une grande partie de sa population.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Mer 19 Mar 2014, 20:33

Un gros Approved
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Fleur du désert - 7/10

Messagepar sylclo » Mer 26 Mar 2014, 16:13

Fleur du désert:


Date de sortie: 10 mars 2010 (2h0min) 
Réalisé par: Sherry Hormann
Avec: Liya Kebede, Sally Hawkins, Timothy Spall 
Genre: Biopic , Drame
Nationalité: Britannique , autrichien , allemand


Issue d'une famille de nomades somaliens, Waris connaît une enfance rude mais heureuse. Son père décide de la marier à l'âge de 13 ans. Elle prend la fuite, traversant le désert au péril de sa vie...ses pérégrinations la conduisent à Londres
Suit une période de 6 ans durant laquelle elle travaille comme "quasi-esclave" à l'ambassade de Somalie à Londres. Elle perd brutalement gîte et travail. Commence alors une période d'errance avec pour tout bagage un douloureux passé
.


Une mise en lumière de la vie du mannequin Waris Dirie tiré de son roman Fleur du désert : du désert de Somalie à l'univers des top-models.
Blessure physique et morale des femmes, des enfants n'en finissent pas de subir à travers le monde la violence des hommes quelque soit la forme ou le support politique, religieux etc...
Cette violence apparaît lors de certains passages de l'enfance de Waris soutenue par une très belle photographie mais la transition de Mogadiscio à Londres puis son entrée dans la sphère des top modèles prend des allures de Prety Woman. Volontaire ou pas et malgré les flashs backs le film revêt des allures de mélo.

Nous avons effectivement sous les yeux l'itinéraire et surtout l'aboutissement du parcours d'une jeune fille qui fait rêver un grand nombre de compatriotes de Waris et autres gamines du continent africain (en Europe également).
Cette histoire romancée, personnelle, ce cas unique quant à sa finalité, révèle en partie la condition des femmes (et des enfants) dans de nombreuses provinces ou régions d’Afrique ainsi que le sort qui leur est réservé lorsqu'elles fuient leur pays.

Waris n'oubliera jamais ses sœurs, mais le conte de fée qu'elle vit( après le cauchemar) nous ramène, nous centre sur son histoire occidentale. Aussi passionnante soit elle c'est sans doute l'environnement ''people'' de Waris qui produit cet effet édulcoré.

Les trois principaux éléments de la vie de Waris, c. à d. son enfance, sa réussite sociale, son implication dans le domaine humanitaire sont révélés, mais de manière inéquitable ce qui nuit à l’intérêt de l'histoire . On passe parfois trop de temps sur des sujets légers, des petites anecdotes.

Une BO sympa, un bon rythme, des acteurs crédibles, une histoire hors du commun( de l’excision à 3 ans à cette longue échappée à l'âge de 13 ans entre autre), en font un film attachant, bouleversant, mais son côté mélo dans la seconde partie (inutile en soit) m'a fait prendre un peu de recule, c'est pour cette raison que je n'ai pu "totalement" adhérer à ce film.
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Marque des Anges (La) - 4/10

Messagepar sylclo » Lun 31 Mar 2014, 15:40

La Marque des Anges


Date de sortie:26 juin 2013 (1h46min) 
Réalisé par:Sylvain White
Avec:Gérard Depardieu, JoeyStarr, Rüdiger Vogler 
Genre:Thriller
Nationalité:Français



A Paris, Lionel Kasdan, commissaire de la BRI à la retraite, enquête sur un meurtre étrange : un chef de chœur a été retrouvé mort dans sa paroisse, les tympans détruits, sans qu'aucun témoin n'ait apparemment assisté à la scène. De son côté, Frank Salek, un agent d'Interpol traque la piste d'une organisation secrète, spécialisée dans le kidnapping d'enfants. Lorsque Salek apprend la mort du chef de chœur, il pense avoir établi un lien avec sa propre enquête et accepte de faire équipe avec Kasdan. Mais plus l'enquête avance, plus Salek semble perdre pied, comme rattrapé par un secret jusque-là enfoui. Dès lors, les deux hommes vont plonger dans une affaire qui trouve sa source dans les heures les plus sombres de la Seconde Guerre mondiale...



Sur le papier le duo Gérard Depardieu/ Joey Star interpelle, excite notre curiosité. Et vlan en quelques minutes on est vite calmé.

Pour être sincère le premier ¼ d'heure m'a tenu en éveil, puis rapidement l'ennui est venu.
Le Gégé tout aussi essoufflé que boursouflé, assure comme il peut, physiquement et professionnellement; un peu pathétique quand il se fait ''choper'' dans le musée des tortures de la fondation, comme sur de nombreuse scènes également il est limite (la poursuite du gamin).
Ses années de pratiques le mettent à l'abri de la catastrophe. On a surtout l’impression qu'il n'est pas dirigé, qu'il n'a pas de repères, qu'il a du mal avec se personnage de flic dépressif accro à son métier.

Joey Star n'est guère plus crédible, il est à l'image de ce scénario, jeu de construction bancal qui navigue entre trafique d'enfants et machine humaine à tuer.

Les bons, les méchants, les enfants,tout ce petit monde évolue avec difficulté, chacun cherchant le bon accord pour être dans le rythme, en harmonie avec le ou les partenaires sans jamais y parvenir.
Ils ont beaux se démener, il n'y a pas de chef d'orchestre, et quand ils veulent accélérer ils n'y arrivent pas; Les déplacements, les mises en situations sont compliquer, quelqu’un a du mettre du chewing-gum sous les pompes.

Lorsque le générique de fin arrive on est soulagé, il semblerait que le réalisateur ait testé sur nous une nouvelle forme de torture, bon ça n'a pas fonctionné.

Regarder jusqu'à la fin n'a pas été une souffrance mais simplement une déception. Ce n'est pas la première et sûrement pas la dernière, mais moins il y en a... plus on apprécie le cinéma
.
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Snowpiercer, Le Transperceneige - 6,5/10

Messagepar sylclo » Jeu 17 Avr 2014, 18:08

Snowpiercer, Le Transperceneige

2031. Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais Transperce neige



Après une courte intro dans un paysage polaire (une voix off nous explique les causes du cataclysme) nous nous retrouvons dans le fameux arche sur rail qui transporte les derniers survivants de la planète, et plus précisément en queue de train.

Sur une base très classique de la situation post apocalytique le Transperce neige aurait pu me combler.
Conflit social, crise morale, drame écologique, avenir incertain, la révolte qui gronde etc. tout ce qui fait qu'une société et ses composants sont en pleine déliquescence avec des va nus pieds qui s’insurgeant.

Mais voilà t'y pas qu'au bout de trente minutes on change de registre. Le Transperce neige se transforme en Jeu de la mort ( 5 étapes pour arriver au sommet de la pagode) avec un petit clin d’œil au passage à Hold Boy.

Fini l'allusion au deux mondes qui s'affrontent , l'opprimé/l'oppresseur ou la référence à la B.D et encore moins à Metropolis, si tel avait été la prétention du scénario, se dont je doute.

On se retrouve tout ''bêtement'' dans une suite d'épreuves, de combats pour avancer, rejoindre la tête du train. Pendant une heure, ça tranche, cogne, trucide,refuse de mourir,petits règlement de compte entre ennemis.
Certes l'intérieur du train est remarquable, les acteurs sont excellents, les bastons efficaces

A peu près trente minutes avant la fin, Curtis va se replonger dans son passé à bord du train,confession douloureuse mais quelque peu anachronique avec les événements précédents puis échanger encore de longues minutes avec Wiftord ( Ed Harris).


De très beaux passages, celui de la serre notamment; des figures, des gueules de miséreux qui n'ont rien à envier aux Misérables, des personnages insolites comme Mason, attachants comme le peintre, un souffle d'humanité, mais seulement un souffle, mais au final un scénario auquel je n'ai pas du tout adhéré .

On ne peut pas être tout à la fois Jean Dutour et Jean Moulin ou Georges Orwell et Michael Anderson, pour faire court.

Je prête à Bong Joon Ho une idée qu'il n'a probablement jamais eu, c'est à dire porter un regard très critique et pourquoi pas pertinent sur notre société tout en nous offrant une œuvre cinématographique ludique.

Un train dans lequel je ne me suis pas totalement ennuyé mais que j'ai quitté sans regret.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Jeu 17 Avr 2014, 18:17

sylclo a écrit:Je prête à Bong Joon Ho une idée qu'il n'a probablement jamais eu, c'est à dire porter un regard très critique et pourquoi pas pertinent sur notre société tout en nous offrant une œuvre cinématographique ludique.


Euh... C'était sans nul doute son intention de départ.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Jeu 17 Avr 2014, 18:21

C'est d'ailleurs la marque de son style, si je ne m'abuse (The Host est l'exemple le plus flagrant, et même Mother l'illustre d'une certaine manière. Memories of murder, je l'ai vu il y a trop longtemps, donc je ne confirme rien).

Donc un argument pas très pertinent en ce qui concerne ce cinéaste, sorry :?.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Jeu 17 Avr 2014, 18:23

The Host est l'exemple le plus flagrant

Faut il encore avoir le regard dans ce sens.
Perso à sa sortie j'ai rien vu du regard sur notre société (enfin celle de son pays) je l'ai pris pour un film de monstre désolé.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Jeu 17 Avr 2014, 18:25

Je ne suis absolument pas d'accord, l'ayant vu récemment.

Rien que la première scène est une métaphore évidente des différences riches/pauvres, américains/coréens, écologie/science, etc. :mrgreen: ! (sans oublier, par la suite, les médias, la police, bref toutes les institutions pourries de la Corée et de toute société qui se respecte ^^).

Bon après son tort ou sa qualité, ça dépend comment on le tourne (moi j'ai choisi mon camp), c'est que c'est un film qui n'oublie jamais d'être divertissant, et les allusions sont donc souvent assez subtiles, mais quand même évidentes, je trouve.
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Re: [Sylclo] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Jeu 17 Avr 2014, 18:30

Parce que tu savais ou tu mettais les pieds, tu avais entendu le discours politique autour du film
A la sortie je savais même pas où était la Corée :eheh: (je plaisante)
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