Modérateur: Dunandan








Mark Chopper a écrit:Pfff... Vous jouez les petits aigris là













| Film: Hobbit : La Désolation de Smaug (Le) Note: 6,5/10 Auteur: Waylander | Film: Hobbit : La Désolation de Smaug (Le) Note: 7,5/10 Auteur: Alyosha | Film: Hobbit : La Désolation de Smaug (Le) Note: 7/10 Auteur: pabelbaba | Film: Hobbit : La Désolation de Smaug (Le) Note: 4,75/10 Auteur: Velvet | Film: Hobbit : La Désolation de Smaug (Le) Note: 9/10 Auteur: francesco34 | 


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| Film: Sorcières de Zugarramurdi (Les) Note: 7/10 Auteur: Alegas | Film: Sorcières de Zugarramurdi (Les) Note: 7,5/10 Auteur: nicofromtheblock | Film: Sorcières de Zugarramurdi (Les) Note: 6,5/10 Auteur: Dunandan | Film: Sorcières de Zugarramurdi (Les) Note: 8/10 Auteur: osorojo | 


 . La stupéfaction se mêle trop souvent à la moquerie en dépit de qualités certaines, que ce soit le jeu des acteurs (même si j'ai souvent eu envie de baffer le personnage principal, incapable de lever les yeux et de prendre le bonheur là où il se trouve) ou encore la réalisation. La science du cadre de Jonze combinée à la très belle photo d'Hoyte Van Hoytema (déjà à l'oeuvre sur le velours pictural que constitue La Taupe et dont je viens de me rendre compte qu'il officie sur Interstellar - voilà peut être la vraie bonne raison qui va me pousser à bouger mon cul en salle) débouchent sur un univers visuel très cohérent. Mais ce sont bien les seules réjouissances qui m'ont extirpé de ma torpeur. Mon rejet viscéral des nouveaux outils de communication (oui, je suis un vieux con) qui polluent les relations humaines (je conchie les réseaux sociaux et toutes ces applis à la con qui nous éloignent des vraies valeurs de la vie) ne m'ont pas aidé à apprécier les pics émotionnels vantés par la critique et les amateurs du film. Her, c'est une love story baignant dans l'anticipation qui me fait carrément flipper. Parce que les situations du film sont sûrement très proches de celle qui nous attendent dans un futur qu'on touche déjà du doigt. Coïncidence, cette semaine j'étais en vacances en Normandie avec mes deux petites femmes, et lors d'un dîner au resto, j'ai pu observer un couple de trentenaires qui ne se sont pas décochés un regard, ni même échangés un mot de tout le repas. C'est cool, parce que de nos jours, il y a un remède pour tuer la routine. Tout deux avaient une tablette posée à côté de leur auge et sont restés scotchés dessus. Vivement la bouffe virtuelle, parce que putain quelle plaie de se faire un resto...  Moi, je reste avec mon vieux Blackberry au fond de mes poches de jean, lequel me grille les burnes, c'est déjà trop de bonheur. Pour toutes ces mauvaises raisons, je n'aime pas Her. Bashing dans 3,2,1...
 . La stupéfaction se mêle trop souvent à la moquerie en dépit de qualités certaines, que ce soit le jeu des acteurs (même si j'ai souvent eu envie de baffer le personnage principal, incapable de lever les yeux et de prendre le bonheur là où il se trouve) ou encore la réalisation. La science du cadre de Jonze combinée à la très belle photo d'Hoyte Van Hoytema (déjà à l'oeuvre sur le velours pictural que constitue La Taupe et dont je viens de me rendre compte qu'il officie sur Interstellar - voilà peut être la vraie bonne raison qui va me pousser à bouger mon cul en salle) débouchent sur un univers visuel très cohérent. Mais ce sont bien les seules réjouissances qui m'ont extirpé de ma torpeur. Mon rejet viscéral des nouveaux outils de communication (oui, je suis un vieux con) qui polluent les relations humaines (je conchie les réseaux sociaux et toutes ces applis à la con qui nous éloignent des vraies valeurs de la vie) ne m'ont pas aidé à apprécier les pics émotionnels vantés par la critique et les amateurs du film. Her, c'est une love story baignant dans l'anticipation qui me fait carrément flipper. Parce que les situations du film sont sûrement très proches de celle qui nous attendent dans un futur qu'on touche déjà du doigt. Coïncidence, cette semaine j'étais en vacances en Normandie avec mes deux petites femmes, et lors d'un dîner au resto, j'ai pu observer un couple de trentenaires qui ne se sont pas décochés un regard, ni même échangés un mot de tout le repas. C'est cool, parce que de nos jours, il y a un remède pour tuer la routine. Tout deux avaient une tablette posée à côté de leur auge et sont restés scotchés dessus. Vivement la bouffe virtuelle, parce que putain quelle plaie de se faire un resto...  Moi, je reste avec mon vieux Blackberry au fond de mes poches de jean, lequel me grille les burnes, c'est déjà trop de bonheur. Pour toutes ces mauvaises raisons, je n'aime pas Her. Bashing dans 3,2,1...

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