J'ai vu la moitié des films, il y a des bonnes choses...
Sinon, un peu de promo :
Abashiri Prison, de Teruo Ishii (1965) : le film qui a fait du regretté Ken Takakura une superstar au Japon et l'un des premiers titres phares du
yakuza eiga... Si vous aimez les films de prison et les décors enneigés, vous serez servis. A noter que ce long-métrage n'a jamais été distribué en dehors du Japon. Seule solution pour ceux qui ne parlent pas le japonais : une version albanaise en VOSTA.
Ticket sur demande
Dead or Alive 2, de Takashi Miike (2000) : Miike s'est imposé comme un cinéaste majeur, mais sa production pléthorique et inégale peut rebuter. Par quoi commencer ?
Dead or Alive 2 me semble un choix idéal... Parce qu'il s'agit d'un de ses meilleurs films et qu'il parvient, de façon assez miraculeuse, à synthétiser tout ce qui fait le charme de son cinéma : son amour pour les marginaux et le cinéma pensé comme une porte ouverte vers l'imaginaire. Une alternative au
Sonatine de Kitano.