Mark Chopper a écrit:Par exemple une vague histoire de sang sur la caméra qui me rappelle qu'elle existe et que Cuaron est derrière elle...
Les Affranchis, la première fois que je l'ai vu, j'étais plongé dans l'univers mais j'oubliais complètement la mise en scène.
Mark Chopper a écrit:Certains prétendent qu'Argento en a une plus grosse encore.
Mark Chopper a écrit:Par exemple une vague histoire de sang sur la caméra qui me rappelle qu'elle existe et que Cuaron est derrière elle...
osorojo a écrit:Bah, ça va bien avec le reste du film, du taff de poseur.
voire même un film entier en POV)
Alegas a écrit:Perso ouais j'ai toujours préféré le plan-séquence de la bagnole, ne serait-ce que pour sa difficulté technique (sérieux le système créé pour filmer à l'intérieur c'est juste dingue).osorojo a écrit:Bah, ça va bien avec le reste du film, du taff de poseur.
De poseur, mais encore... ?(ouais je suis lourdingue mais en vrai ça m'intéresse
)
Dans ce déluge numérique d'images certes très belles, il manque le principal, cette authenticité qui nous fait plonger au non dans un film. La 3d de Gravity est effectivement immersive mais ne parvient jamais à nous faire oublier que l'on ne regarde qu'un film. C'est en effet à mon sens le problème de ces nouveaux métrages beaucoup trop marqués techniquement. On sent la prouesse technologique dans chaque plan, à un tel point que l'on se détache totalement de ce qui nous est raconté. Pour ne rien arranger, Cuaron se perd à mon avis dans un déluge symbolique un peu trop pompeux pour être sincère. Qu'il remette en cause la place de l'homme et son humilité vis à vis des progrès constants qu'il fait pour essayer de dominer l'univers passe, qu'il le martèle à chaque placement de caméra est beaucoup moins défendable.
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