Scalp a écrit:Tout mes 0 sont garanti regardé en entier
sans ronquer?
Modérateur: Dunandan
Scalp a écrit:Tout mes 0 sont garanti regardé en entier
Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.


Mark Chopper a écrit:La mode des années 2010 consiste à faire des suites de merde qui permettent de réévaluer des purges.






| Film: Barton Fink Note: 8,5/10 Auteur: Val | Film: Barton Fink Note: 9,5/10 Auteur: Nulladies | Film: Barton Fink Note: 7/10 Auteur: Scalp | Film: Barton Fink Note: 10/10 Auteur: elpingos | Film: Barton Fink Note: 8,5/10 Auteur: caducia | 





 
 






Jack Spret a écrit:Je suis pas d'accord avec toi, le côté hôtel/subconscient, on l'a assez rapidement !
Entre la colle du mur qui dégouline, les pantoufles devant chaque chambre comme autant de personnages que Barton Fink peut faire apparaître à loisir, la tuyauterie représentant l'appel du désir, tout est là dès le début.
Mais c'est vrai que le film ne devient vraiment génial qu'à partir du moment où ils payent leur tribut à Kafka avec ce moustique qu'il tue et qui fait clairement aller dans le fantastique.




 . Dès la première rencontre commenté du duo lead, on sent que l’écriture est plus maline qu’elle n’y parait et trouve tout son sens à partir de la scène du bal Elvis, le ton du duo s’avère plus subtil et posé on comprend que la miss joue en fait un rôle agaçant à l’écran contre son gré, là on retrouve presque les coen du niveau Miller’s Crossing pendant 30 minutes de l’invention du Holla Hop satire de notre superbe société de consommation jusqu’à la superbe séquence rêvé, dansé sensuellement sur l’opera de Carmen, on atteint un petit summum de cinema.
 . Dès la première rencontre commenté du duo lead, on sent que l’écriture est plus maline qu’elle n’y parait et trouve tout son sens à partir de la scène du bal Elvis, le ton du duo s’avère plus subtil et posé on comprend que la miss joue en fait un rôle agaçant à l’écran contre son gré, là on retrouve presque les coen du niveau Miller’s Crossing pendant 30 minutes de l’invention du Holla Hop satire de notre superbe société de consommation jusqu’à la superbe séquence rêvé, dansé sensuellement sur l’opera de Carmen, on atteint un petit summum de cinema.   
 | Film: Grand saut (Le) Note: 7/10 Auteur: Alegas | Film: Grand saut (Le) Note: 7,5/10 Auteur: Jimmy Two Times | Film: Grand saut (Le) Note: 7/10 Auteur: nicofromtheblock | Film: Grand saut (Le) Note: 7/10 Auteur: elpingos | Film: Grand saut (Le) Note: 8,5/10 Auteur: Nulladies | 




 redneck et rural Clooney s’imbrique bien dans cet univers pittoresque restant assez sobre alors qu’il cabotinera plus joyeusement dans ces prochaines collabo avec les Coen, un métrage porté par la très bonne musique folk country aux accents soul apporte un véritable plus au film comme sur Inside Llewyn Davis c’est même l’aspect le plus surprenant et réussit du métrage alors que je suis vraiment pas fan de ce style de musique
 redneck et rural Clooney s’imbrique bien dans cet univers pittoresque restant assez sobre alors qu’il cabotinera plus joyeusement dans ces prochaines collabo avec les Coen, un métrage porté par la très bonne musique folk country aux accents soul apporte un véritable plus au film comme sur Inside Llewyn Davis c’est même l’aspect le plus surprenant et réussit du métrage alors que je suis vraiment pas fan de ce style de musique , là le film décolle prend véritablement des accents de western désespéré même si on reste dans une succession de petites scenettes mais qui mène vers un final excellent qui s'avère presque touchant.
 , là le film décolle prend véritablement des accents de western désespéré même si on reste dans une succession de petites scenettes mais qui mène vers un final excellent qui s'avère presque touchant.



| Film: Barber : L'homme qui n'était pas là (The) Note: 9/10 Auteur: Jimmy Two Times | Film: Barber : L'homme qui n'était pas là (The) Note: 8,5/10 Auteur: Alegas | Film: Barber : L'homme qui n'était pas là (The) Note: 8/10 Auteur: nicofromtheblock | Film: Barber : L'homme qui n'était pas là (The) Note: 6/10 Auteur: Scalp | 




 , dis donc je m’attendais à tout sauf à un traitement aussi culotté on dirait un Fish Tank en version coke sniffé déluré, le film est vraiment la grosse révélation de Sundance 2015, bien plus qu’un  Me and Earl and the Dying Girl qui a remporté la compétition qui a certes plus/trop d’idées de mise en scène mais qui vire au tire larme facile qui se regarde plus filmer qu’autre chose. Là on a affaire à de véritable gens à l’écran pas juste des idées cool plaqué sur des personnages fonction.
 , dis donc je m’attendais à tout sauf à un traitement aussi culotté on dirait un Fish Tank en version coke sniffé déluré, le film est vraiment la grosse révélation de Sundance 2015, bien plus qu’un  Me and Earl and the Dying Girl qui a remporté la compétition qui a certes plus/trop d’idées de mise en scène mais qui vire au tire larme facile qui se regarde plus filmer qu’autre chose. Là on a affaire à de véritable gens à l’écran pas juste des idées cool plaqué sur des personnages fonction. (et plein de référence geek poster, comics…), ça en devient tellement cliché, on en a vu des dizaines de petits films indé US nous sortir cet argument graphique n’ayant aucune autre idée pour montrer une sorte d’innocence à l’écran et bai c’est bien la première fois que je trouve que ces séquence/incrustation apporte quelque chose à un film
  (et plein de référence geek poster, comics…), ça en devient tellement cliché, on en a vu des dizaines de petits films indé US nous sortir cet argument graphique n’ayant aucune autre idée pour montrer une sorte d’innocence à l’écran et bai c’est bien la première fois que je trouve que ces séquence/incrustation apporte quelque chose à un film   alors oui visuellement le coup de crayon façon dessin enfant/ado est toujours aussi moche, juste d'un point de vue purement esthétique je me serais passé de beaucoup de ces plans surtout que la réal est plutôt classe dans l'ensemble mais au moins là ça sert le propos, le côté un peu tordu/addictif des pensées de l'ado. Peut-être le fait que ces plans hybride fonctionnent vient de l’origine du récit qui est une BD du coup l’excentricité comic comme pour un Scott Pilgrim fonctionne.
 alors oui visuellement le coup de crayon façon dessin enfant/ado est toujours aussi moche, juste d'un point de vue purement esthétique je me serais passé de beaucoup de ces plans surtout que la réal est plutôt classe dans l'ensemble mais au moins là ça sert le propos, le côté un peu tordu/addictif des pensées de l'ado. Peut-être le fait que ces plans hybride fonctionnent vient de l’origine du récit qui est une BD du coup l’excentricité comic comme pour un Scott Pilgrim fonctionne. Jamais vu un film indé d’autant plus US aller aussi loin dans son ton fucked up et traitement frontal de la sexualité.
  Jamais vu un film indé d’autant plus US aller aussi loin dans son ton fucked up et traitement frontal de la sexualité.  suffit d’avoir vu True Blood ou il est le seul à pas cabotiner ou même The East pour voir que son potentiel d’acteur a souvent été gâché dans des blockbusters anodin ou autre films pas recommandable.
  suffit d’avoir vu True Blood ou il est le seul à pas cabotiner ou même The East pour voir que son potentiel d’acteur a souvent été gâché dans des blockbusters anodin ou autre films pas recommandable. avec ses yeux énorme elle délivre toute l’intensité et la sensibilité du métrage, enfin Kristen Wiig a un vrai rôle à défendre au cinéma du coup elle le fait parfaitement tout le long même Christopher Meloni n’a jamais été aussi transformé et juste.
  avec ses yeux énorme elle délivre toute l’intensité et la sensibilité du métrage, enfin Kristen Wiig a un vrai rôle à défendre au cinéma du coup elle le fait parfaitement tout le long même Christopher Meloni n’a jamais été aussi transformé et juste.


 , le réal sait qu’il fait une longue fresque mais n’a pas la matière du scénario pour tenir la longueur, du coup on se tape de longs couloirs de passage en revu de troupe, de chant militaire et dialogues anecdotique ou qui sont débité tranquillement pour passer le temps donc il faut 1h pour que ça démarre vraiment.
 , le réal sait qu’il fait une longue fresque mais n’a pas la matière du scénario pour tenir la longueur, du coup on se tape de longs couloirs de passage en revu de troupe, de chant militaire et dialogues anecdotique ou qui sont débité tranquillement pour passer le temps donc il faut 1h pour que ça démarre vraiment. 
 

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