[oso] Ma prose malade en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mr Jack » Dim 27 Nov 2016, 16:22

La trilogie de sketchs avec Samberg et Timberlake est priceless :eheh:

Dick in a box / Three Way

(fin la plupart des Digital Short SNL avec Samberg sont fendards)
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Dim 27 Nov 2016, 18:19

Oh merde :eheh: :eheh:

J'en materai d'autres xD
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mr Jack » Lun 28 Nov 2016, 22:22

Jizz in my pants, Like a Boss. Enjoy. :mrgreen:

(Le SNL au top) :love:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mark Chopper » Lun 28 Nov 2016, 22:26

You got to know your limits with the boombox !

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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mr Jack » Lun 28 Nov 2016, 22:30

Ouais mais là on en a pour des heures et des heures. :mrgreen:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mark Chopper » Lun 28 Nov 2016, 22:31

Great Day il faut vraiment qu'Alegas le mate :eheh:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Alegas » Lun 28 Nov 2016, 22:45

Je viens de le faire. :eheh: :eheh: :eheh:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Lun 28 Nov 2016, 22:46

J'ai jamais maté le SNL, ils ont l'air de bien se marrer quand même, c'est autre chose que nos émissions entre comiques FR pas drôles :mrgreen:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Mr Jack » Lun 28 Nov 2016, 22:57

J'ai du regardé presque 10 saisons, commencé vers la fin de l'époque Tina Fey-Amy Poelher où c'était déjà drôle mais l'apogée c'est comme le Barça en foot, 2009-2012 :mrgreen: Jusqu'au départ de Bill Hader et de toute une génération avec (Sudeikis, Wiig, Armisen, et Seth Meyers en coup de grâce). Aujourd'hui ça ressemble plus à grand chose malheureusement.
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Hanno cambiato faccia - 7/10

Messagepar osorojo » Jeu 01 Déc 2016, 22:16

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HANNO CAMBIATO FACCIA

Corrado Farina | 1971 | 7/10
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« Laisse-toi pousser les canines »


Quand le mythe de Dracula sert un réquisitoire dénonçant la vampirisation des puissants sur le libre arbitre des ouailles qui les servent dans nos sociétés de consommation modernes, le résultat est intriguant, parfois bancal, mais suffisamment puissant pour mériter le coup d'oeil.

Ambiancé par un thème sonore tout droit sorti des meilleurs Argento, épuré de tout optimisme, certes un peu trop rentre dedans mais profondément sincère, Hanno Cambiato Faccia est à mon sens un chouette mix de ce qui faisait la force des péloches horrifiques et politiques italiennes des années 70.

Comme si Di Léo s'était associé à Mario Bava pour bousculer les petites mentalités confortablement installées dans nos modes de vie moderne basés sur la possession matérielle, l'ambition professionnelle et l'ordre de manière plus générale.

Un message qui évidemment est un peu trop unidimensionnel pour amorcer la réflexion, mais qui donne ici une toute autre dimension au roman de Stoker.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Ven 02 Déc 2016, 01:52

Connais pas du tout, ça a l'air grave bien. :shock: :super:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar osorojo » Ven 02 Déc 2016, 08:42

Ca peut te plaire, le fond est cool, bien pessimiste, les acteurs se débrouillent plutôt bien et c'est blindé d'idées. Les chiens de garde du châteaux notamment sont assez peu orthodoxes mais font un sacré boulot :mrgreen:

Et niveau mise en scène, composition d'ambiance c'est solide.

Le mec a fait peu de films, mais Baba Yaga a une petite réputation également, je l'ai sous le coude depuis un moment, j'vais certainement le tenter sous peu !
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On l'appelle Jeeg Robot - 6/10

Messagepar osorojo » Sam 03 Déc 2016, 14:45

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JEEG ROBOT

Gabriele Mainetti | 2017 | 6/10
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« Yoplait Pornhero »


Que penser de Jeeg Robot, petit intrus qui tente d’investir la cour bien fréquentée du film de super héros en proposant une variation moins glamour du sujet ? Et bien, il n’est pas évident de se faire une idée précise.

D’un côté, son contexte social est à des années lumières d’une production Marvel puisque ancré dans un quotidien miséreux sans strass ni paillette : la princesse à séduire est en perdition mentale, marquée à vie par des mains de salauds qui lui ont dérobé son innocence, le Peter Parker local, truand depuis toujours, est une petite frappe sans envergure qui ,même affublé de super-pouvoirs, est condamné à rester un branleur quelconque, enfin à aucun moment il n’est question de quête épique, ou de mission délicate, la vie suit simplement son cours, imposant à chacun un quotidien bien morose qu’une grande roue de fête foraine suffit à rendre lumineux.

De l’autre côté, par contre, se déroule un schéma narratif pantouflard, qui enfile tous les stéréotypes du genre : un petit monsieur tout le monde dans une situation embarrassante se fait irradier par des déchets radioactifs, se découvre une force herculéenne, s’en sert dans un premier temps pour améliorer son quotidien et choper la gazelle du dessous qui lui fait de l’œil avant de se transformer en boyscout héros pour dégommer le salopard qui menace ses concitoyens. Bref, une trame sans grande idée, qui, étalée sur 2 heures, et ponctuées de partielles plages d’ennui, déçoit tout particulièrement. Il est bien dommage que Gabriele Mainetti n’accompagne pas le contexte trash qu’il pose d’une plume un peu plus inspirée.

C’est d’autant plus décevant que le bougre parvient à composer quelques scènes amusantes. Quand l’action est de circonstance, Jeeg Robot sait être divertissant (le passage avec les 2 mules est plutôt cool, le rétamage de tarins chez les mafieux par le salopard à la tronche cramée également), mais dès qu’il se pose, l’affaire se corse, les plans deviennent hésitants (la photo est très moyenne), les acteurs débitent des dialogues interminables, preuve à mon sens que Gabriele Mainetti manque un peu d’expérience (2 long métrages et un court à son actif). Faire de son bad guy un sous Joker endormi est une idée discutable, comme celle de toujours allonger la sauce qui constitue les traumas combinés de son couple de héros.

Au bout du compte, le bilan est équilibré. Je me suis autant amusé que je me suis ennuyé, j’ai été aussi convaincu par le contexte (et la phase d’exposition en fait) que déçu par l’exploitation de ce potentiel. De quoi faire de Jeeg robot une curiosité à découvrir qu’il est tout de même délicat de conseiller tant, à mon avis, on peut rejeter cette proposition brouillonne, mi trash, mi convenue, assez rapidement.


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Note: 4/10
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Vérité (La) - 9/10

Messagepar osorojo » Sam 10 Déc 2016, 15:28

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LA VÉRITÉ

Henri-Georges Clouzot | 1960 | 9/10
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« Arythmie amoureuse »


La vérité est en paradoxe avec le sujet qui l’anime : alors qu’il y est question d’acte manqué, d’un timing qui n’est jamais le bon, le film de Clouzot est un modèle de précision, à la mécanique soigneusement huilée, dont toutes les composantes sont parfaitement assises. Direction d’acteurs chirurgicale qui permet à Brigitte Bardot de crever l’écran, à Paul Meurisse de rappeler son charisme naturel, mise en scène rigoureuse sans éclat ni faiblesse, photographie subtile et narration fluide, tout s’y rencontre pour composer ce qui est certainement l’un des plus beaux films français de procès, mais pas seulement : La vérité c’est bien plus que cela, c’est une vraie tragédie amoureuse, une dissection de l’âme humaine dans ses moindres parcelles.

Un crime passionnel, quel contexte est en effet plus approprié pour sonder l’humain, mais également le plus propice à la dérive manichéenne ? L’intelligence de Clouzot est qu’il s’évite tout parti pris quant à l’affaire qui motive son propos. Alors qu’il aurait été légitime qu’il se laisse charmer pour l’un ou l’autre des camps en présence, il prend soin de laisser les gestes, les dialogues, l’alternance des points de vue s’exprimer tour à tour, sans traitement de faveur. Chacun peut alors se faire porteur d’une vérité volatile, jusqu’à un dernier tour de piste radical qui parvient à ôter aux différents orateurs les mots qu’ils alignaient sans s’essouffler pour défendre leur position respective. Réussir à rendre si palpable le malaise généré par le soudain sentiment de culpabilité qui assaille les porteurs de la bonne morale est un réel tour de force.

Une intention de cinéaste sans faille qui, associée à un savoir-faire saisissant, remue les cœurs. Gérant parfaitement le rythme de son histoire, y distillant ses cartouches avec nonchalance, Clouzot construit petit à petit son argumentaire : il n’y a pas de vérité, seulement des hommes, des femmes, et les interactions qui les font vivre. Pour autant, n’allons pas sous-entendre qu’il se contente d’exposer, sans proposer sa réflexion. Cette dernière y est palpable tant il remet en question les mentalités qui construisent l’opinion publique : cet esprit de groupe qui veut que les marginaux sont forcément jugés coupables par leur pairs alors même qu’ils se contentent de vivre : « Vous êtes là, déguisés, ridicules, vous voulez juger mais vous n’avez jamais vécu ; jamais aimé. C’est pour ça que vous me détestez, parce que vous êtes tous morts ». La sentence est glaciale, implacable, fait froid dans le dos autant qu’elle émeut : Brigitte Bardot, investie sans retenue, n’est plus Brigitte Bardot : elle est Dominique Marceau dans sa seule vérité, celle de n’avoir jamais réussi à respirer à la bonne heure. C’est dans ces moments là, alors que tout esprit analytique s’est envolé, que l’outil cinématographique quand il est totalement maîtrisé exprime tout son potentiel.

Et comme pour asseoir cette impression, pour définitivement prouver qu’il est seul maître à bord, Clouzot achève les cœurs en l’espace d’une seule et dernière ligne de dialogue. Un instant furtif qui remet tout en question, jusqu’à la passion dont il a été question. Quand les deux avocats se réconfortent mutuellement, alors qu’ils étaient prêts à s’étriper 10 minutes plus tôt, l’émotion prend un rude virage : les deux vies qui ont déchaîné Paris pendant 2 heures, celles qui ont malmené les âmes, invité les larmes, provoqué soupirs et incompréhensions, n’ont finalement été qu’un succès éphémère pour l’un, un échec amer pour l’autre, un aléa du métier en somme. Un dénouement si noir qu’il serre les tripes : rares sont les films qui vous habitent autant alors que leur générique final a disparu de l’écran depuis bien longtemps.


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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

Messagepar pabelbaba » Sam 10 Déc 2016, 15:47

Il est sorti en blu?
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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