Modérateur: Dunandan















 ) mais ça a le mérite de tenter des choses. En revanche, là où le film est carrément une imposture, c'est du côté de l'interprétation, car bon la prestation de Binoche est quand même généralement louée un peu partout, alors que personnellement je l'ai trouvée bien mauvaise et toujours fausse dans ce rôle difficile. C'est bien simple, à part pleurer, réciter son texte d'une voix monocorde et faire toujours la même tronche de déprimée, elle ne fait strictement rien d'autre. Et à voir comment se débrouillent les seconds rôles, j'aurais envie de dire qu'il y a là le fameux syndrome du réalisateur qui va tourner un film dans une langue étrangère, et qui ne peut donc pas déceler si ses acteurs jouent justes ou faux. Un film à rajouter dans ma longue liste des métrages dont je ne comprend décidément pas la haute réputation.
 ) mais ça a le mérite de tenter des choses. En revanche, là où le film est carrément une imposture, c'est du côté de l'interprétation, car bon la prestation de Binoche est quand même généralement louée un peu partout, alors que personnellement je l'ai trouvée bien mauvaise et toujours fausse dans ce rôle difficile. C'est bien simple, à part pleurer, réciter son texte d'une voix monocorde et faire toujours la même tronche de déprimée, elle ne fait strictement rien d'autre. Et à voir comment se débrouillent les seconds rôles, j'aurais envie de dire qu'il y a là le fameux syndrome du réalisateur qui va tourner un film dans une langue étrangère, et qui ne peut donc pas déceler si ses acteurs jouent justes ou faux. Un film à rajouter dans ma longue liste des métrages dont je ne comprend décidément pas la haute réputation.





 ), certainement parce que c'est le seul qui, de son postulat de drame, part vers totalement autre chose. Globalement, Blanc se distingue sur pas mal de points vis à vis des deux autres, c'est le seul qui possède un personnage principal masculin, qui n'est pas français de surcroît, avec un récit qui a la particularité de majoritairement se dérouler en Pologne, et enfin et surtout on est dans quelque chose d'assez décalé, puisqu'on est face à une sorte de film de vengeance, à la limite entre la comédie et le drame bien sadique. Du coup, ce film qui est souvent le plus mal-aimé des trois est celui qui, au final, trouve le plus d'affection à mon égard. Pourtant ça démarre pas spécialement dans la joie avec un pitch un peu WTF : un homme à la libido difficile se retrouve à la rue, largué par sa femme qui obtient le divorce pour mariage non consommé (à l'heure où on fustige un juge qui parle de devoir conjugal, ça fait rigoler
 ), certainement parce que c'est le seul qui, de son postulat de drame, part vers totalement autre chose. Globalement, Blanc se distingue sur pas mal de points vis à vis des deux autres, c'est le seul qui possède un personnage principal masculin, qui n'est pas français de surcroît, avec un récit qui a la particularité de majoritairement se dérouler en Pologne, et enfin et surtout on est dans quelque chose d'assez décalé, puisqu'on est face à une sorte de film de vengeance, à la limite entre la comédie et le drame bien sadique. Du coup, ce film qui est souvent le plus mal-aimé des trois est celui qui, au final, trouve le plus d'affection à mon égard. Pourtant ça démarre pas spécialement dans la joie avec un pitch un peu WTF : un homme à la libido difficile se retrouve à la rue, largué par sa femme qui obtient le divorce pour mariage non consommé (à l'heure où on fustige un juge qui parle de devoir conjugal, ça fait rigoler  ), et du coup il va devoir retourner dans sa Pologne d'origine dans le but de reprendre pied, et de concocter sa vengeance envers une femme qu'il aime encore. Pour le coup, la thématique de l'égalité est clairement en retrait, on a vite fait quelque chose sur l'égalité homme/femme, riche/pauvre, français/étranger, mais c'est clairement pas le cœur du script.
 ), et du coup il va devoir retourner dans sa Pologne d'origine dans le but de reprendre pied, et de concocter sa vengeance envers une femme qu'il aime encore. Pour le coup, la thématique de l'égalité est clairement en retrait, on a vite fait quelque chose sur l'égalité homme/femme, riche/pauvre, français/étranger, mais c'est clairement pas le cœur du script. ), mais le rôle demande pas énormément pour le coup. Une comédie dramatique sympathique, à défaut de mieux.
 ), mais le rôle demande pas énormément pour le coup. Une comédie dramatique sympathique, à défaut de mieux.





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