[oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Modérateur: Dunandan

Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar Jed_Trigado » Ven 23 Juin 2017, 19:43

Complètement de ton avis, et dire que j'avais emmené un pote lors de sa sortie ciné pour lui faire découvrir Costa-Gavras, il m'a bien fait la gueule en le matant. :mrgreen:
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar osorojo » Ven 23 Juin 2017, 19:52

@angel : C'est fini, c'est bon. Non mais la première partie de sa filmo est cool, ensuite il faut se contenter du très bon Music Box. J'ai effectivement subi le reste par contre, mais bon, j'ai des billes pour discuter du mec :mrgreen:

@Jed : je compatis. Et je comprends, s'il en sort un nouveau, malgré le fait qu'il me semble un peu aux fraises quand même maintenant, je serai tenté de me déplacer :mrgreen:
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar Mark Chopper » Ven 23 Juin 2017, 19:59

Vu que tu te fais des intégrales, je propose Takashi Miike pour le prochain challenge :chut:
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar angel.heart » Ven 23 Juin 2017, 20:01

Mark Chopper a écrit:Vu que tu te fais des intégrales, je propose Takashi Miike pour le prochain challenge :chut:


Je me suis fait la même réflexion ! :mrgreen: :super:

Une intégrale Jess Franco serait pas mal non plus...
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar Jimmy Two Times » Sam 24 Juin 2017, 03:56

Pas de critique du Couperet?
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar osorojo » Sam 24 Juin 2017, 08:02

Mark Chopper a écrit:Vu que tu te fais des intégrales, je propose Takashi Miike pour le prochain challenge :chut:


Huhu, j'ai un boulot aussi, ça va être compliqué :eheh:

@Jimmy : C'est vrai que je ne parle pas du couperet, alors que c'est son seul film récent que j'ai apprécié ^^ Je l'ai vu en salle à sa sortie, donc je ne l'ai pas revu ;)
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Deux jours à Los Angeles - 6/10

Messagepar osorojo » Sam 24 Juin 2017, 19:08

DEUX JOURS A LOS ANGELES
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
John Herzfeld / 1996 ............................. 6/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

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Un petit néo-noir sympathique porté par un casting de tronches que l’on aime retrouver à l’écran, une femme fatale à se damner (Charlize sexy comme jamais) et les twists inhérents à l’exercice de style, attendus certes, mais pas trop mal amenés.

Il manque seulement à tout cela un rythme un peu mieux géré (le final est un peu longuet) ainsi qu’une mise en scène moins fonctionnelle pour que l’ensemble s’éveille. En l’état, c’est vraiment pauvre à ce niveau et c’est bien dommage quand on sait comme les ambiances sont capitales dans ce genre de film.

Du coup, même si Deux jours à Los Angeles sait se rendre attachant en faisant tout ce qu'il peut pour charmer son audience (Les gambettes de Teri Hatcher et les déshabillés outrageux de Charlize y sont pour beaucoup), il ne parvient pas à dépasser son statut de pop corn movie auquel on ne reviendra probablement pas.


••••••••••••••••

Petit bonus NSFW pour obtenir les faveurs des grincheux du coin :mrgreen:
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Film: Deux jours à Los Angeles
Note: 1/10
Auteur: Scalp

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My father die - 7/10

Messagepar osorojo » Sam 24 Juin 2017, 22:27

MY FATHER, DIE
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Sean Brosnan / 2017 ............................. 7/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

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Un premier film avec beaucoup de personnalité qui part un peu trop dans tous les sens.

S'y entrechoquent les envies folles d'un jeune réalisateur (le fiston de Pierce Brosnan pour info) qui, pour marquer les esprits, s'autorise toutes les folies. A commencer par un scope maîtrisé (je ne sais pas qui a signé la photographie mais respect, ça envoie), auquel s'ajoute des personnages complètement frappés et une violence débridée (too much à mon goût d'ailleurs) : toutes les crasses du monde se donnent rendez-vous en Louisiane pour 1h30 de dinguerie, au bout d'un moment c'est usant, d'autant plus qu'on finit par anticiper sans se planter la prochaine crasse (le petit câlin après la session workout est bien gratos).

C'est la limite de ce premier essai prometteur, cette surenchère constante à laquelle se laisse aller Sean Brosnan pour prouver qu'il connaît son affaire et qu'il faudra désormais composer avec lui. Si niveau mise en scène, le mec impressionne (les poursuites sont bien gérées et la dernière scène dans l'antre des bikers envoie du bois), quand il s'agit de manier la plume ou de diriger les forts tempéraments en présence (le paternel notamment, catastrophique quand il est en pleine lumière), il y a encore un peu de route à faire.

Et pourtant, malgré mes réserves, j’ai apprécié la séance. Il est agréable de se faire servir une pareille bobine en 2017, un OVNI complètement barré qui ne s’embarrasse pas en travail de mise en place. Avec Sean Brosnan, on commence d’emblée les hostilités par du rétamage de tarins, et on finit de la même manière. Du drame redneck on passe au revenge movie bien craspec, puis on s’autorise une petite romance plutôt réussie (même si la relation entre le fils muet et le gamin est dégoulinante de miel, du Winnie L’ourson approved) avant de bifurquer vers le survival vicelard nappé un peu gauchement d’une petite pointe d’ironie (difficile d’ailleurs de saisir la frontière entre premier et second degré).

Une première impression un brin mitigée, mais résolument positive: il faudra confirmer ce premier geste prometteur altéré par une ambition quelque peu excessive. Je serai, en tout cas, au rendez-vous pour son prochain fait d’arme.

•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar Criminale » Mar 27 Juin 2017, 20:35

Je pense qu'il y a une petite erreur dans l'une de tes deux dernières critiques au niveau du nom du réal :wink:

Sinon jamais entendu parler du dernier mais ça donne envie :super:
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar osorojo » Mar 27 Juin 2017, 20:51

Yep, oublié de changer le nom du réal dans la dernière baffouille, merci ;)

Sinon, pour My father, die, faut juste y aller sans trop en attendre, aimer quand ça charcle et ça passe ^^
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Voici le temps des assassins - 6/10

Messagepar osorojo » Dim 02 Juil 2017, 15:21

VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Julien Duvivier / 1956 ............................. 6/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

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Damn, la gifle cinglante n’était pas loin. Quand Duvivier délaisse son portrait d’une vieille France à deux vitesses pour mettre en route une histoire de manipulation à la hauteur des meilleurs films noirs, Voici le temps des assassins fait forte impression, d’autant plus qu’il est marqué par l’association de deux talents : Gabin l’éternel, au magnétisme intact, Duvivier l’œil vif et son évident sens de l’image. La manière avec laquelle ce dernier dépeint la jolie Catherine et ses sombres desseins, n’aurait pu être plus efficace : pareil à ses victimes, on se laisse manipuler pendant un bon moment. Mais on se rend aussi bien vite compte de la limite du film, à savoir Daniel Delorme elle-même, en équilibre instable entre justesse et surjeu, lorsque la lumière la sort de l’ombre du monstre sacré qui lui sert de partenaire.

Il serait cependant cavalier de blâmer plus que de raison la jeune femme ; c’est en effet le personnage dans son ensemble qui pose problème. A vouloir le corser plus que de raison, Duvivier sacrifie le réalisme noir qui revêt son histoire pendant une bonne heure au profit d’un sensationnalisme morbide qui fonctionne péniblement. Le dernier acte, notamment, voit le cinéaste charger inutilement une pauvre mule qui tire la langue depuis déjà un petit moment. Depuis qu’un clignement de cils a fait voler en éclats une longue amitié, et plus que cela même, une relation père-fils : difficile, à ce moment là, de continuer à prendre pour argent comptant l’entourloupe qui se joue à l’écran.

Et c’est bien dommage, parce que Voici le temps des assassins avait tout pour trouver l’impact que lui souhaitait Duvivier. On y sent sa farouche volonté à jouer avec la moralité pour mettre en perspective amour, désir et pragmatisme, tout en construisant un polar noir bien corsé. Certaines séquences sont délicieuses, au sens propre —quand on connaît l’amour que portait Gabin pour les bons gueuletons, on se doute qu’il n’a ne s’est pas forcé pour mettre l’eau à la bouche de ses supposés clients— comme au figuré —ce riche client accompagné de très jeunes femmes qui assume complètement son mode de vie en invitant son interlocuteur à l’imiter—.

Quelle tristesse alors de constater que Duvivier pimente plus que de raison les deux garces qui portent son intrigue au point d’ôter à son plat de résistance la nuance nécessaire à sa pleine expression. A ce petit jeu, on pense aux Diaboliques de Clouzot, bien plus maîtrisé. De quoi sortir peiné de la séance, conquis par l’intention de départ et sa subtile mise en place, mais passablement attristé par son dénouement maladroit —un faux raccord grossier donne même l’impression que le final a été tourné dans la précipitation— ainsi que l’approximation de son écriture. Au sein d’un pareil exercice de style, ça ne pardonne pas.
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Belle équipe (La) - 6,5/10

Messagepar osorojo » Lun 03 Juil 2017, 20:18

LA BELLE ÉQUIPE
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Julien Duvivier / 1936 ............................. 6.5/10
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••

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[Attention, quelques spoilers à l'horizon !]

Etant donné sa flatteuse réputation, j’en attendais un peu plus… je sors quelque peu déçu de la séance. Il paraît que deux fins ont été tournées, à priori j’ai eu la chance de voir celle voulue par Duvivier. Malchanceux dans mon coup de bol, je l’ai trouvée plutôt manquée, donc finalement ...

Ce final sorti de nulle part, qui voit Gabin se mettre de la poudre sur les mains (alors qu’il est le seul à avoir les racines profondément ancrées dans le sol) est pour moi d’une gratuité aussi irritante que la sortie de toit qui la précède. Des ressorts dramatiques complètement hors de propos qui n’ont pour but que de bien faire comprendre au spectateur que sous ses airs de tranche de vie heureuse, la belle équipe cache un drame pessimiste qui ne fait pas de cadeau.

Je suis pourtant très client de ce genre de parti pris, encore faut-il qu’il y ait un effort narratif constant qui soit réalisé pour construire une ambiance désespérée. On sent bien que Duvivier essaye de parsemer son film d’un peu d’huile, par ci, par là, pour s’autoriser une grave glissade, à un moment ou à un autre, mais c’est fait maladroitement. Du coup, quand la jarre se brise, c’est à coups de marteau piqueur, un peu plus de subtilité aurait été la bienvenue.

Malgré tout, la belle équipe est une bobine agréable, habitée par des acteurs au verbe communicatif et une histoire d’amour particulièrement bien tournée. Chose rare, elle est une composante essentiel à la montée en puissance du personnage incarné par Gabin (on ne l’appelle pas Patron pour rien ici, il te donnerait presque envie d’apprendre à chanter pour aller faire le caïd dans les bals musette ^^), un vrai mec (si l’on en croit la charmeuse Viviane Romance) aux principes en béton armé, l’archétype du bonhomme droit dans ses botes dont il a le secret. Quand le bougre décide son retour au célibat pour préserver le noyau nécessaire à la bonne tenue de son projet, l’émotion se substitue à la bonhommie ambiante, preuve que le personnage est réussi.

Excepté son dénouement scabreux, le triangle amoureux que compose ici Duvivier mérite, à lui seul, le coup d’œil, et justifie la belle réputation que se trimballe la belle équipe. Il suffit de ne pas être un aigri notoire comme moi pour mettre de côté les quelques soubresauts malades du script pour trouver tout cela plutôt audacieux. Mais, que voulez-vous, on ne se refait pas.
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Vengeance est à moi (La) - 8,5/10

Messagepar osorojo » Dim 09 Juil 2017, 14:54

LA VENGEANCE EST A MOI
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Shohei Imamura / 1979 ............................. 8.5/10
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Pas évident de savoir sur quel pied danser au sortir de La vengeance est à moi, tant le portrait rugueux qu'y livre Imamura d'un tueur en cavale inspiré de faits divers ayant ébranlé le Japon, est à double vitesse. Entre farce noire pince sans rire et réalisme morbide qui remet violemment en place le goujat qui se serait laissé aller à sourire, le bonhomme livre un film exigeant, mais non moins fascinant, pendant lequel il est bien délicat de poser ses états d'âme.

Lorsqu'il pointe du doigt le poids criminel de la pensée traditionaliste qui gangrène son pays, celle-là même qui condamne les femmes à devenir des esclaves choyées par des maris à la main leste, quand elle ne réduit pas un pauvre père pêcheur à courber l'échine devant son fils, il ne mâche pas ses mots. De même qu'il rend limpide la considération qu'il a pour le discours étriqué des regroupements religieux quand ces derniers transforment leurs fidèles en zombies malheureux tout juste bons à culpabiliser. Faut-il forcément renoncer au bonheur pour être digne de considération?

S'il est évident que cette charge violente nourrit une volonté de comprendre ce qui a pu motiver la crapule au centre de l'ouvrage, ou tout au moins ce qui pourrait expliquer la violence radicale de ses agissements, elle n'est jamais présentée comme étant un début de réponse satisfaisante. Au contraire, en isolant Iwao Enokizu de ses semblables, en en faisant un être à part, une entité qui se serait désintéressée de tout ce qui régit la société dans laquelle il vit, n'écoutant que ses pulsions, Imamura se garde bien de rendre légitime les agissements de son psychopathe. On pourrait même penser qu'il l'utilise comme un contre argument à sa propre thèse : si les hommes méritent sans doute plus de latitude, des bases élémentaires d'un savoir-vivre en communauté sont indispensables. Ainsi qu'une capacité de compassion, celle qu'a perdu Iwao, ou qu'il n'a jamais eue. Un personnage bien délicat à mettre en images dont Imamura parvient à conserver l'ambiguïté d'un bout à l'autre de la séance en le rendant tour à tour amusant, voir sympathique, puis profondément détestable.

Mais pas seulement. Si le portrait qu'il compose réussit à trouver sa dimension, c'est aussi grâce aux personnages qui l'entourent. Grâce à ce père hésitant bien décidé à vivre dans la frustration, à sa femme, perdue, qui n'attend que le jour où son salopard d'époux se fera condamné pour espérer, vainement, revivre. Grâce, enfin, à cette jeune maquerelle tourmentée qui le choisit bien maladroitement pour essayer de retrouver un sens à sa vie.

La vengeance est à moi est un film insaisissable dont le propos très premier degrés et les images destructrices ont tôt fait de le classer dans les polars chocs. Et pourtant, dans les silences qui suivent ses mises à mort, c'est un sous-texte riche qui grandit. Entre résignation de l'individu prêt à courber le dos pour pouvoir jouir d'une vie tranquille, impossibilité à composer avec la différence, et vanité des hommes qui ont à cœur de tout expliquer, se déploie l'illustration du cas particulier non envisagé dans une équation destinée à convenir au plus grand nombre, qui pourtant fait plus de bruit à lui seul que tous les autres réunis, bien appliqués, eux, à se taire pendant qu'ils planquent sous le tapis ce qui pourrait faire penser que la pièce est en désordre.

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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar Scalp » Dim 09 Juil 2017, 15:18

Putain je l'avais subis celui là, je me rappelle même si j'ai l'ai fini par contre je me souviens l'avoir revendu bien cher :mrgreen:
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Re: [oso] 2017, critiques de mauviette & avis express...

Messagepar Mark Chopper » Dim 09 Juil 2017, 15:21

Je l'ai trouvé interminable et je l'ai subi, comme à peu près tous les Imamura que j'ai regardés.

Je retiens juste l'interprétation de Ken Ogata, parfait comme toujours.
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