Décrépitude d'une passion

[Jed_Trigado]

Sinon, quand est-ce que vous voyez Truands ?

[Mark Chopper]

Bon je le télécharge et j'essaie de le mater prochainement.

[angel.heart]

Très bonne idée de topic et très beau premier post, Logan.

Je prendrais le temps de développer sur mon parcours de cinéphile très bientôt.

[lvri]

Il est clair que tu as consommé du ciné jusqu'à plus soif Logan, peu étonnant de voir ta passion s'éteindre. Fais attention de ne pas faire pareil avec les vinyles !

Perso, j'ai la chance d'avoir encore des tas de grands films à voir, du coup, année ciné de merde ou non, je m'en fout royalement. Je découvre sans pousser au dégoût ce qui me donne envie, récent ou non, mauvaise réputation ou non, film culcul niais fait par un yes man ou non .... Je ne me prive pas non plus de tenter un film ayant de bons retours alors que je pourrais le rejeter au premier abord. Et puis, au delà du ciné, il y a aussi des séries à voir.

Je vais éviter de raconter ma vie, parce que ce serait barbant, mais si je suis sur ce site, c'est avant tout pour lire des avis, des critiques, découvrir des films, des réalisateurs, des styles.... Et aussi pour me marrer (ou me faire pourrir après une critique de Divergente....). Sans BKR, pas sur que j'aurais tenté du Kitano ou du ciné coréen par exemple. Je ne sais pas si j'aurais tenté des rétro de réalisateurs. Je ne crois pas que j'aurai aimé ou détesté les films autrement que par leur sujet en mettant de côté la technique, la mise en scène... Bref, tout ce qui fait la richesse d'un film (ça n'empêche que la subjectivité garde quand même une grande part je pense).

Peut-être qu'en prenant une pause ta passion reviendra Logan (Scalp n'aurait pas ce même feeling que toi ?).

[ril]

Un peu la même lassitude.
J'ai bossé 7 ans dans un video club pendant l'age d'or, avant internet et pendant l'arrivé du DVD.
J'ai découvert pas mal de petites pépites en vhs dans un coin poussiéreux du magasin, mais c'est plus devenu du fast food cinématique.
Je matais des films toute la journée en boucle au taff et le soir 2 ou 3 films, j'ai perdu aussi la joie et l'envi de découvrir comme avant.
Très peu de film me marque maintenant, donc je me rabat sur les séries mais cela commence à prendre le même chemin, vu j'essaye de tout mater.

[Mr Jack]

Bref, c'est pas demain la veille que je lasserais du ciné, en tout cas en ce qui concerne son patrimoine.

Je me dis pareil, en fait. Je pense que comme le disait Way (je crois), c'est quand tu te forces à élargir ta palette d'intérêts que t'évites de te dégouter d'un truc. En fait (allez je raconte un peu ma life, c'est moins cher qu'une séance chez le psy xD), j'ai 30 ans dans ma tête depuis que j'en ai 12 et je me dis qu'à 29 ans ça passe pas si vite, finalement puisque j'ai toujours pas eu cette synchronisation entre l'âge que je me donnais dans ma tête et l'âge que j'ai vraiment (je dirais plus la même chose dans 5/6 ans ). Si je dis ça c'est parce que c'est vers cet âge là que j'ai du apprendre à me démerder tout seul, et gérer mes temps de solitude. J'avais deux passions déjà dans la vie : le foot et le cinéma. Et déjà à 8/9 ans, je m'achetais les Ciné Live et les Première avec mon propre argent de poche, d'un côté je regardais toutes les BA du CD du Ciné Live, en tenant un journal, présentant le film avec mes mots et laissant une place pour mon avis et ma note ; et je découpais les affiches miniatures du Premières et je les collais dans le même carnet. Ma première expérience ciné dont je me souvienne c'est Aladdin, et ensuite tous les Disney au Ciné Cité de Rosny 2. Depuis j'ai à la fois gardé une fascination pour les grands complexes ciné et un amour particulier pour les DA. Pendant ce temps là je faisais une sélection dans les Ciné Live, les films qui avaient des étoiles pour moi devaient forcément valoir le coup, alors j'y allais le week-end et je faisais chier mon père avec mes faux avis critiques. Dans le même temps, Logan m'a fait repenser à l'époque VHS que j'ai également connu. Je crois que c'est également mon format préféré, tu pouvais faire ce que tu voulais, tout enregistrer. Et j'avais une fascination grandissante pour le Vidéo Futur. Y'en avait un pas loin de chez moi et tous les jours après les cours de primaire, collège, j'allais au vidéo club et je pouvais rester une heure ou deux juste pour être entouré de films, de jaquettes, d'univers. Et comme je sais jamais quoi choisir, anxieux par nature que si on se lance pour un truc, on laisse plein de possibilités derrière soi, bah je mettais trois plombes pour choisir un film. Parfois j'attendais connement que les languettes soient dispos et je faisais chier le vendeur pour qu'il me conseille des trucs qui pourraient me plaire (anxieux là encore que je "perde mon temps" à regarder des trucs de merde). Finalement mes plus grosses expériences VHS c'était même pas "Le Dentiste" qu'on m'a forcé à mater quand j'avais 7 ans mais les films de Jackie Chan et de Bruce Lee que mes potes avaient à foison et qu'on se matait en mangeant des Pringles et entre deux parties de PES. Même pote qui faisait tourner à tout le cercle d'amis les films de cul de canal qu'il piratait avec son modem du bled

Après sont venus plusieurs gros changements dans ma vie, on s'en bat les noix mais du coup j'avais plus toutes ces habitudes et je me suis tourné plus vers les séries. Quand je sortais du lycée je me matais Friends à la TV. J'ai plein de souvenirs de la trilogie du samedi et des soirées frissons de M6. Oz sur Série Club. Angel sur TF6 avec ma mère. Là j'ai compris que je pouvais étendre mon amour pour le cinéma par les séries, vu que c'était un plaisir de se projeter différent dans le rythme mais similaire sur d'autres points. J'étais sur un autre forum quand je suis entré à la fac, que Logan connait bien d'ailleurs, Top Séries, c'était génial y'avait des critiques de séries mais aussi des avis épisodes par épisodes. Je me perdais dans les allées du forum un peu comme dans les rangées du Vidéo Futur et une fois que je trouvais mon bonheur je téléchargeais la série. J'ai compris quelles séries fallait mater, et comme j'allais à la fac en même temps, je façonnais mon esprit critique. Et plus le temps passait, plus les canaux que je prenais pour référence proposaient des trucs bofs ou nases en comparaison aux séries et aux films que je téléchargeais. Je me suis fait tout HBO, tout ce qui pouvait sortir, networks et câbles confondus, je me les testais, même juste le pilot, parce que j'aimais ce sentiment de passer d'une idée abstraite d'un film ou d'une série à une idée construite. J'ai compris que ce que j'adorais, plus que les personnages ou les histoires, c'était la construction qui s'opérait dans ma tête à la fin du visionnage. Une sorte de voile se lève et tout se fait plus clair et là mon esprit déconstruit ce que je viens de découvrir, étale les pièces comme des jouets, les prends un par un, scrute et ensuite remet tout petit à petit en place pour avoir un avis construit dessus. J'ai compris que ce sentiment là je pouvais l'appliquer sur tout : musique, littérature,... Du coup mon amour pour le cinéma a muté au fil du temps en une passion pour la fouille, la recherche. Étant donné que les magazines spécialisés comme les chaines de télé ne pouvaient plus m'aider à sélectionner mon contenu, je me suis focalisé sur les forums comme celui-ci (et d'autres) pour me nourrir des avis critiques des autres pour me construire le mien ensuite. Du coup j'ai pigé que sous ma passion pour le cinéma se cachait surtout une curiosité sans fin et peu importe les formats, les canaux, les époques, c'est cette curiosité qui me pousse à toujours vouloir découvrir de nouvelles choses et me construire mon propre avis.

[Waylander]

De près ou de loin, voici deux etxraits d'un bifrost que je suis entrain de lire :

Le rapport, surtout pour la seconde, il est simple : aujourd'hui , c'est l'ère de la surproduction. Qui dit surproduction dit chute qualitative inéluctable d'une majorité d’œuvres et d'artistes réputés (qui doivent eux aussi surproduire). La surproduction a toujours existé, surtout en littérature, mais dans le cinéma, c'est plus récent si je me trompe pas. Du coup, comment espérer atteindre un haut niveau sur l'ensemble des œuvres alors que les délais sont raccourcis, les artistes ont moins de libertés, la politique , la bien pensance etc... influencent bien plus qu'avant enfin bref...Disons que sous cette tonne de films, de livres, de jeux, etc....il faut trier le bon grain de l'ivraie sauf que c'est devenu très difficile. Et pas mal d'artistes ont de superbes idées seulement ils n'ont pas les moyens, pas les réseaux, pas la chance, et peuvent parfois être ostracisés parce que le fond est politiquement incorrect (c'est arrivé, ça arrivera encore). Le discours du " tout existe déjà" est compréhensible mais faux, totalement même, car comment peut-on dire que quelque chose est infini sans jamais en avoir vu la fin ? Là c'est pareil. Pour affirmer que tout existe déjà il faudrait au préalable avoir une vision du futur, tout connaitre, tout savoir,avoir tout lu tout vu....or c'est juste impossible.

Surtout qu'il faut bien faire la différence entre les œuvres "connues" ou en tout cas "sur le marché",donc facilement disponibles ,et les œuvres dans l'ombre qui n'ont pas cette chance et ce n'est pas une question de qualité vu la tonne de merdes qui arrivent à se faire publier, éditer, produire etc... chaque année. C'est comme quand j'entends dire que plus personne n'a d'idées : ça me hérisse le poil. Soit dit en passant, les mêmes qui critiquent le manque d’originalité (du cinéma admettons) sont les mêmes qui vont dénigrer des œuvres "ovnis", atypiques, avec des structures narratives différentes, des ambiances et mises en scènes uniques. Parce que , disent-ils, il ne suffit pas de faire original, il faut faire "maitrisé". Oui mais ça , c'est subjectif, ça les regarde, c'est leur avis. Et puis bon, maitriser un truc jamais fait avant, vu que c'est nouveau, sur quels critères on se base pour dire que c'est maitrisé ? Sur youtube, on trouve pleins d'artistes pas connus, qui s'autofinancent ou passent par le crowfunding et les mecs font des trucs hallucinants (cour métrages, musiques, jeux vidéo). Juste en passant, on a vue des remakes de jeux vidéos bien plus chiadés que des remakes pros.... et on le voit aussi dans les fanmades (ex : les affiches) où tout est 10x plus inspiré que chez les pros. Depuis 10 piges on prend conscience qu'être "pro" ne veut strictement rien dire en termes qualitatifs. Enfin, pas toujours.

Comme dirait Jean Marie Roth , tout a été écrit mais pas par vous (et ça change tout). Des idées il y en a, mais le marché c'est le marché et il faut distinguer 3 choses :

- Les pros qui peuvent parfois chercher à se faire du blé donc saisir une opportunité , donc faire ce qui marche
- Les pros qui veulent se détacher du marché, des modes etc....mais qui ne vendront pas. Prise de risques qu'on ne peut se permettre éternellement à moins de ne pas vivre de son art.
- Ceux qui peuvent faire ce qu’ils veulent parce qu'ils ne vivent pas de leur art. Et là on trouve des pépites, des trucs super originaux, avec une liberté de ton bien réelle et un style qui tente autre chose. Et eux , faut aller les chercher parce que personne n'en parlera à la tv, ni dans les revues spécialisées ou autre puisque par nature, ces médias sont là pour parler de ce qui existe au grand jour, c'est à dire sur le marché.

Tout ça pour dire que ce qui peut tuer un art, c'est la surproduction , homogénéisation du ton, l'influence omniprésente de certaines œuvres sur d'autres, créant ainsi des modes qui nuisent plus qu'autre chose et enfin, l'influence idéologique (aujourd'hui, surtout le cinéma, la "gauche" domine et se veut transgressive et progressiste mais c'est envahissant, pas subtil du tout, c'est fait avec des gros sabots, c'est moche et en plus c’est une forme de pensée unique, il faut voir le moindre tacle que se prend une œuvre qui ne tend pas à une pensée humaniste, universelle blaba).

Tout ça n'est pas nouveau attention, mais à l'heure actuelle c'est omniprésent dans le cinéma us et fr.

[Dunandan]

Pour ma part, pour revenir pleinement dans le sujet, j'ai toujours aimé le cinéma, mais c'est surtout depuis que je suis dans ce forum que j'ai pu approfondir cette passion, après avoir été simplement un hobby parmi d'autres. Mais voilà j'ai d'autres passions, et depuis que la fréquentation du forum se fait moindre, celles-ci ont repris davantage le dessus (le JV surtout ^^), mais je sais que tôt ou tard j'aurai mes «périodes», j'ai encore plein de trucs à (re)découvrir et j'espère, des impressions à faire partager (d'ailleurs, depuis que je suis dans le forum, j'ai du mal à distinguer le visionnage de la critique ).

Mais voilà, l'âge d'or du partage de trucs peu/pas connus, pour moi en tous cas, est clairement passé. Autre facteur aggravant : le cinéma actuel m'intéresse de moins en moins, et ça c'est pas cool .

[angel.heart]

Donc :

Je me souviens encore du premier bonbon que j'ai reçu de mon quand-père, c'était un Werther's original, je n'oublierais jamais cette saveur... Mais ça on s'en bat les balls, ouais gros!...

Donc, pour de vrai, mon premier souvenir d'une scène de film est le duel au couteaux de La fureur de vivre, qui était un de mes 3 films cultes entre mes 2 et 5 ans aux cotés de Rocky 3 et Le bon, la brute et le truand. Des films que je matés plusieurs fois par semaines à cette périodes, bien avant mes premiers Disney. Bien évidemment je ne me souviens pas de tout et tiens compte des souvenirs évoqués par ma famille pour cette période (même si j'ai quand-même de brefs flash-bachs de cette période). A noté que mon premier film vu au ciné fut Rocky 5 à l'âge de 3 ans, merci maman.

Vers l'âge de 6 ans, après un déménagement, j'ai eu ma période yakayo/Delta Vidéo (je me revois encore parcourir émerveillé le livret glissé dans les boîiers des VHS) , avec les Van-dammerie et Dolph-Lundgrenerie que cela impliquait (j'ai encore le souvenir d'un jour d'école manqué pendant lequel je découvrais tranquillement Le scorpion rouge dans le canapé de ma grand-mère), ce fut ma période partagés entre les films de yakayos (Van Damme, Dolph, Stalonne...) et les comédies française (j'y ai découvert l'intégrale des Louis de Funès). Ce fut également la période ou j'ai découvert la saga Freddy, celle qui hanta mes nuits pendants de nombreuses années.

Peu après ça, vers 8 ans, mon père (dans ses bons jours) m'a fait découvrir du bon gros film de de Tough Guys, ce fut alors la période allant de La grande évasion, à L'Homme des hautes plaines en passant par Les 7 mercenaires.

A partir de mes 9/10 ans est venu le temps où j'ai eu accès à un grand stock de VHS (tombées du camion ) et aux vides greniers , et là ce fut une période merveilleuse mais qui pourrait facilement paraître bien glauque vu de l'extérieur (pour un gamin de cet âge).
En gros de mes 9 à 12 ans j'ai découvert un nombre ouf de films méchamment bis, pour la plupart avec ma grand-mère chez un couple d'amies, comme on peut mater aujourd'hui Camping 42 en famille. Sauf qu'à cette période, en ce qui me concerne, les films en question étaient Cannibal Holocaust, Le dernier monde cannibale ou Street Trash...

Mais c'est réellement entre mes 12 et 19 ans que j'ai vraiment, peu à peu, pris conscience du travail du réalisateur et que j'ai commencé à vraiment explorer la filmo de ceux qui m'intéressaient. Je pense que c'est depuis cet âge que je suis totalement obsédé par le cinéma, avec une mention spéciale pour les bisseries.

Même au jour d'aujourd'hui je ne sais pas expliquer ma passion sans passer pour un fou. Je pense cinéma 7/7, je vis cinéma, je rêve cinéma, au point de faire de la mise en scène pendant mes rêves (je me souvient encore de celui où des meufs ninjas, boobs à l'air, sautaient sur les murs pendant qu'un zoom/traveling agressif à la Tsui Hark me démontait la tronche. ) et si ce n'est pas du sang qui coule dans mes veines, c'est la rivières de notre enfance (ouais gros... ha ha ha, ok je déconne...)...

Plus sérieusement, je pense avoir toujours été cinéphile et, malgré cette époque de merde je suis certain de le rester toujours, pour le meilleur ou pour le pire.
A partir du moment où, malgré mes préférences, je m'intéresse à tous les genres, tous les styles, toutes les époques...
Je penses qu'il me reste de beaux jours de passions devant moi...

[lvri]

La fureur de vivre, qui était un de mes 3 films cultes entre mes 2 et 5 ans aux cotés de Rocky 3 et Le bon, la brute et le truand

À 5 ans tu avais déjà ta liste de film culte ?

[Eikichi Onizuka]

Sympa comme premier poste.
Je suis clairement à mille lieu d'un cinéphile que tu as pu être, mais j'ai aussi eu ma période "faste". J'étais étudiant, j'avais découvert Dvdrama et la connaissance et le partage des cinéphiles m'a donné envie de voir plus de films mais également de séries. Pendant quelques années je suis allé souvent au cinéma, j'achetais des dvds, des br et basta. Puis ça a décliné, car de 1 quand tu prends ton indépendance t'as un peu moins de tune et de 2 d'autres passions peuvent naître. Ainsi j'ai découvert le vinyle et la BD qui sont devenues pour moi mes passions principales. Je me rappelle encore de Caducia qui me disait il y a 2/3 mois sur le topic de notation des films "tiens t'es encore là toi". Car ouai, je ne vais plus beaucoup au cinéma, je devient hyper sélectif, je regarde les séries sur netflix et les films je les prends en BR quand y'a des promos. C'est devenu un loisir, plus vraiment une passion. Pour moi, ce n'est pas une histoire de cinéma je pense, mais la découverte d'autres mondes, celui du vinyle et de la BD. Après quand je retourne au cinéma, y'a cette petite excitation de retrouver la salle de ciné, le lieu un peu magique, une sensation qui s'était éteinte lorsque j'y allais trop souvent. C'est peu être pas plus mal, qui sait.

[caducia]

bah oui, Eikichi viens dans la partie ciné de temps en temps, ça fera toujours plaisir.

C'est vrai que je suis plus série que ciné en ce moment, car les pépites deviennent de plus en plus rare.
Le problème c'est que le choix en série est énorme et la qualité ne suit pas toujours...

Après, j'aime bien assister à des festivals, ça permet de découvrir des films que je n'aurais peut-être pas été voir en salles, de rencontrer d'autres passionnés.

[angel.heart]

La fureur de vivre, qui était un de mes 3 films cultes entre mes 2 et 5 ans aux cotés de Rocky 3 et Le bon, la brute et le truand

À 5 ans tu avais déjà ta liste de film culte ?

Culte au sens où ce sont des films qui m'ont réellement marqué et que j'ai regardé un nombre incalculable de fois.

[Dunandan]

Cette période pour moi, c'était plutôt 12-13 ans.

[pabelbaba]

Un petit retour suite à mon passage dans un multiplexe tout seul, comme dans l'ancien temps, pour voir un film que j'avais sérieusement envie de voir et une fois installé dans mon fauteuil, j'ai pensé à ce topic parce que j'étais foutrement content d'être dans une salle de ciné. Du coup, je vois mal cette passion partir en sucette si facilement.