
Modérateur: Dunandan





), et ça ne fait que renforcer la crédibilité de la jalousie de Cluzet. Sinon, y'a Marc Lavoine dans un rôle de beau gosse, mais heureusement on le voit pas beaucoup (il est pas mauvais mais il est pas bon non plus). Du coup, ça me fait penser qu'il faudrait que je mate d'autres Chabrol à l'occasion.






















. Sur le papier, why not : l’histoire de deux français qui se rencontrent en plein New York et qui, au fil des discussions, vont finir par avoir une relation amoureuse qui va s’effriter au fil des non-dits et des tromperies, le tout avec une ambiance un peu jazzy, ça s’annonçait pas trop mal. Mais ça, c’était sans compter le traitement fait par Carné, qui décide de livrer le film le plus ennuyeux possible. Tout est plat dans ce long-métrage, du casting (Lesaffre j’ai l’impression que plus les années passent et moins il est bon, Ronet et Girardot sont transparents) à l’histoire (comme quoi Simenon ça peut vraiment donner du bon comme du mauvais) en passant par les dialogues qui donnent l’impression d’être devant le Cartel de Ridley Scott 


| Film: Strange days Note: 7/10 Auteur: Heatmann |
Film: Strange days Note: 7/10 Auteur: corrosion |
Film: Strange days Note: 9,5/10 Auteur: Kakemono |
Film: Strange days Note: 8/10 Auteur: Mark Chopper |
Film: Strange days Note: 7/10 Auteur: francesco34 |



) et c’est donc l’unique réel faux-pas de Bigelow en quasiment quarante ans de carrière.






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