Avis express de feignasse / Mon dernier visionnage

[Mark Chopper]

Malice je n'en retiens que le cul de Nicole Kidman. Tu fais bien de zapper.

Le cul de Nicole Kidman 90's, ça peut me suffire parfois

[Alegas]

On est d'accord.

[osorojo]

Malice je n'en retiens que le cul de Nicole Kidman. Tu fais bien de zapper.

Le cul de Nicole Kidman 90's, ça peut me suffire parfois

Même quand elle fait du BMX ?

[Mark Chopper]

Jamais vu et ça date de 1983 visiblement

Mais Nicole Kidman dans Calme Blanc, Jours de tonnerre... jusqu'à Eyes Wide Shut, la période longs cheveux frisés + cul à l'air un film sur deux, c'était quand même le rêve

[osorojo]

J'l'aime bien aussi dans les années 80, pas de souci de mon côté
Mais elle est pas très forte à vélo

[Olrik]

Elle en montre encore un peu dans la Mise à mort du cerf sacré, de Lanthimos (2017). Plutôt pas mal d'ailleurs (le film comme le cul).

[Mark Chopper]

J'l'aime bien aussi dans les années 80, pas de souci de mon côté
Mais elle est pas très forte à vélo

Nan mais dans ce film elle avait 16 ans, fais gaffe à ce que tu écris Roman

Chacun ses goûts, mais bon...

[osorojo]

J'l'ai jamais vu ce truc, t'as cru que j'étais maso à ce point

[Mark Chopper]

J'l'aime bien aussi dans les années 80, pas de souci de mon côté
Mais elle est pas très forte à vélo

J'ai mal interprété ce post. On ne sait jamais, tu aurais pu le voir gamin en bon fan de BMX

[osorojo]

J'me fiais à la jaquette, croisée un paquet de fois à Noz ^^

[Mr Jack]

Rattrapé Hérédité et Midsommar.
Le premier ne m'a pas convaincu plus que ça, mais ça livre quand même la marchandise, c'est dérangeant voire un peu flippant par moments. Et puis Aster a bien construit son truc, il a une patte et ça se voit, ça se sent. La fin est cheloue pour pas dire un peu ridicule mais le film tient quand même. Par contre Midsommar (...). C'est même pas que j'ai pas adhéré au trip. Non plus que j'ai trouvé ça long (j'ai maté la DC de 2h50) parce que mis à part quelques passages bof la longueur se tient. Mais c'est juste qu'au bout de deux heures je me demandais pourquoi je regardais ça, en fait. Déjà "qu'est-ce que je regarde, en fait ?" (un film d'horreur ? un faux-doc ? une métaphore bateau ?) et puis "pourquoi je m'inflige ça, moi ?". Non en vrai sans l'ambiance et tout le côté léché je trouve ça terriblement banal dans la thématique centrale (le couple qui se divise). Un peu le mal des réals contemporains, en fait. Et puis Pugh j'y ai cru pendant un moment mais elle surjoue quand même pas mal. Tout dans la finesse, mais elle surjoue quand même. Finalement j'ai été déçu que le film parte dans le délire païen parce tout le début m'avait bien happé. Je pense pas être là pour le prochain du mec, sauf si l'histoire me branche vraiment.

[maltese]

Deux très bonnes découvertes ces derniers jours:

- Guy, d'Alex Lutz. Vraiment étonnant, Lutz est saisissant dans ce rôle de vieux chanteur français de variété en fin de carrière, mélange parfait des Claude François, Sardou, Serge Lama, etc. Le maquillage est formidable, mais c'est aussi tout le travail de l'acteur qui est à souligner, sa façon de marcher, de parler - on a vraiment l'impression d'avoir affaire à un vieux. Et le style façon faux-documentaire (son fils caché le filme sans lui dire qui il est réellement) est très réussi également, que ce soit dans les situations, les dialogues, le ton général fait très autenthique (les tubes de Guy Jamet composés pour l'occasion sonnent aussi très vrais). Lutz joue bien aussi de l'utilisation des fausses images d'époque, que ce soit les années 1960 ou les années 1980, et puis il y a une vraie tendresse qui naît de l'interaction entre ce personnage un peu misérable mais attachant et son fils caché. Beau film.

- Les douze salopards, de Robert Aldrich. Comme ça surbute bordel. Je n'ai jamais été très attiré par les films de guerre "classiques", du coup j'étais toujours passé à côté de ce chef-d'oeuvre (je préférais me regarder un Clint passable comme Quand les aigles attaquent ), et ça fait du bien de découvrir un film pareil aujourd'hui. 50 ans après, ça enfonce encore la concurrence dans le genre, chaque partie est nickel: introduction des personnages, entrainement, mission - il y a un côté définitif à chaque fois. On s'attache à ces personnages (casting de dingue, duquel je retiens surtout Cassavetes) mais Aldrich évite brillamment de faire une apologie de la guerre et de la violence en rappelant systématiquement les côtés les plus sombres de tout ce merdier : mensonge, manipulation des responsables, état-major cynique, et puis ce final ultra-violent où on tire dans le dos et massacre du civil sans pitié, c'est du lourd. Très grand film.


Et puis je me suis revu deux films du tandem Siegel-Eastwood, que je n'avais pas vu depuis longtemps: Un shérif à New York et Sierra Torride. J'en gardais un souvenir médiocre: confirmation pour le western, sorte de western italien aseptisé avec des personnages faiblards (il reste tout de même la B.O. de Morricone), mais j'ai un peu revu à la hausse Un shérif à New York. Ce n'est clairement pas extraordinaire, mais la confrontation du Clint "cow-boy" avec le New York des sixties me fait tout de même marrer (la scène de la boite de nuit putain ), et ça reste un polar sympathique et efficace.

[Scalp]

Découverte des 12 Salopards

[maltese]

Ben ouais j'arrive après la guerre, mais c'est pas grave, ça permet d'encore s'émerveiller

[francesco34]

Ben pour les gens un peu plus vieux comme moi, c'est le genre de film qui repassait tous les ans à la télé, et vu qu'on avait que 3 chaines on le matait forcément un jour ou l'autre étant gamin... Mais je comprends qu'aujourd'hui on puisse passer à côté de tous ces films mythiques...
En tout cas ouais clairement dans le genre c'est le haut du panier Les 12 salopards