Modérateur: Dunandan






 
  
  
  
  
 



 . Je me souviens que mon père en parlait régulièrement comme de la comédie ultime, et étrangement je n’avais pourtant jamais été très curieux de le découvrir. Grossière erreur de ma part, car c’est complètement ma came en termes d’humour, ça va loin dans la parodie, le non-sensique, l’absurde absolu, et ça le fait à un rythme tel qu’on est pas loin de la philosophie un plan = un gag que beaucoup ont repris depuis, je pense notamment à un mec comme Alain Chabat qui doit beaucoup à l’humour des ZAZ. C’est donc le premier film du trio en tant que réalisateur, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils posent la barre très haute. Impossible de ne pas se marrer toutes les cinq minutes devant ce film (ou alors il faut être complètement insensible à cet humour, je ne vois que ça), ça parodie intelligemment en reprenant juste ce qu’il faut des codes pour les détourner (mythique séquence reprenant Saturday night fever
 . Je me souviens que mon père en parlait régulièrement comme de la comédie ultime, et étrangement je n’avais pourtant jamais été très curieux de le découvrir. Grossière erreur de ma part, car c’est complètement ma came en termes d’humour, ça va loin dans la parodie, le non-sensique, l’absurde absolu, et ça le fait à un rythme tel qu’on est pas loin de la philosophie un plan = un gag que beaucoup ont repris depuis, je pense notamment à un mec comme Alain Chabat qui doit beaucoup à l’humour des ZAZ. C’est donc le premier film du trio en tant que réalisateur, et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils posent la barre très haute. Impossible de ne pas se marrer toutes les cinq minutes devant ce film (ou alors il faut être complètement insensible à cet humour, je ne vois que ça), ça parodie intelligemment en reprenant juste ce qu’il faut des codes pour les détourner (mythique séquence reprenant Saturday night fever  ), idem pour les running-gags qui ne sont jamais lourdingues.
 ), idem pour les running-gags qui ne sont jamais lourdingues. ), sur les punchlines (“I like my coffee black, like my men”
 ), sur les punchlines (“I like my coffee black, like my men”  ) ou qui prend au sens littéral des expressions anglo-saxonnes (énorme fou rire devant la scène où le héros dit “when the shit will hit the fan” et juste après on voit un ventilo qui sur lequel on lance de la merde
 ) ou qui prend au sens littéral des expressions anglo-saxonnes (énorme fou rire devant la scène où le héros dit “when the shit will hit the fan” et juste après on voit un ventilo qui sur lequel on lance de la merde  
   
   ). D’ailleurs, j’ai bien du mal à imaginer le film en version française qui fonctionnerait aussi bien tellement ça se repose sur des spécificités de la langue anglaise, ou alors il doit y avoir un titanesque travail d’adaptation. Côté mise en scène, ça se veut discret, mais c’est tout de même très travaillé dans la gestion des gags successifs, notamment à l’arrière-plan où il se passe quasiment toujours quelque chose. De ce côté là je pensais que Hot Shots était un maître étalon du genre mais à côté de ce film y’a clairement un fossé tant c’est ici géré de façon très fluide. Bref, c’est vachement bien, clairement une comédie que je serais heureux de revoir régulièrement tant j’ai l’impression qu’on peut y découvrir des gags cachés à chaque vision.
 ). D’ailleurs, j’ai bien du mal à imaginer le film en version française qui fonctionnerait aussi bien tellement ça se repose sur des spécificités de la langue anglaise, ou alors il doit y avoir un titanesque travail d’adaptation. Côté mise en scène, ça se veut discret, mais c’est tout de même très travaillé dans la gestion des gags successifs, notamment à l’arrière-plan où il se passe quasiment toujours quelque chose. De ce côté là je pensais que Hot Shots était un maître étalon du genre mais à côté de ce film y’a clairement un fossé tant c’est ici géré de façon très fluide. Bref, c’est vachement bien, clairement une comédie que je serais heureux de revoir régulièrement tant j’ai l’impression qu’on peut y découvrir des gags cachés à chaque vision.

Alegas a écrit:“when the shit will hit the fan” et juste après on voit un ventilo qui sur lequel on lance de la merde









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 , le voyage en train (bien qu'un peu longuet) ou encore le sauvetage de la jeune femme alors qu’elle chute d’une chute d'eau (avec une sacrée cascade à l'appui
 , le voyage en train (bien qu'un peu longuet) ou encore le sauvetage de la jeune femme alors qu’elle chute d’une chute d'eau (avec une sacrée cascade à l'appui  ), mais on est quand même loin du déchaînement d’idées dont peut faire preuve Keaton dans d’autres de ses films. Reste un divertissement plaisant et court, mais qui pèche par son rythme et son manque de diversité.
 ), mais on est quand même loin du déchaînement d’idées dont peut faire preuve Keaton dans d’autres de ses films. Reste un divertissement plaisant et court, mais qui pèche par son rythme et son manque de diversité.

Mark Chopper a écrit:Alegas ne verra plus jamais OJ comme avant.
Alegas a écrit:Ivri et Francesco, vous me rendez curieux : jusqu'ici je n'avais lu que des retours au mieux mitigés sur la suite.





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