Modérateur: Dunandan





Scalp a écrit:Ben ouais.




| Film: Homme qui rétrécit (L') Note: 7/10 Auteur: Hannibal | Film: Homme qui rétrécit (L') Note: 9/10 Auteur: jean-michel | Film: Homme qui rétrécit (L') Note: 8/10 Auteur: Jipi | 





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 ) mais aussi la jeune Susan Kohner que je trouve autrement plus marquante que Sandra Dee (mais c’est aussi le rôle qui veut ça). Par contre, autant Sirk maîtrise les prestations féminines, autant j’ai l’impression que du côté masculin il fait souvent appel à des acteurs assez lisses/fades : John Gavin n’est pas mauvais, loin de là, mais il manque clairement quelque chose pour rendre son personnage plus attirant et intéressant. Formellement, le film confirme ce que j’avais pensé du premier film que j’avais vu de Sirk : ça n’a rien de révolutionnaire, mais c’est du pur cinéma hollywoodien dans toute sa splendeur, avec autant de flamboyances dans les scènes intimistes que dans les scènes de foule. Bref, ça donne envie de jeter un œil au film dont il est tiré pour voir ce que Sirk y a apporté, mais ça donne surtout envie de se faire la carrière de ce dernier pour y trouver ce qui faisait la force de l’âge d’or d’Hollywood.
 ) mais aussi la jeune Susan Kohner que je trouve autrement plus marquante que Sandra Dee (mais c’est aussi le rôle qui veut ça). Par contre, autant Sirk maîtrise les prestations féminines, autant j’ai l’impression que du côté masculin il fait souvent appel à des acteurs assez lisses/fades : John Gavin n’est pas mauvais, loin de là, mais il manque clairement quelque chose pour rendre son personnage plus attirant et intéressant. Formellement, le film confirme ce que j’avais pensé du premier film que j’avais vu de Sirk : ça n’a rien de révolutionnaire, mais c’est du pur cinéma hollywoodien dans toute sa splendeur, avec autant de flamboyances dans les scènes intimistes que dans les scènes de foule. Bref, ça donne envie de jeter un œil au film dont il est tiré pour voir ce que Sirk y a apporté, mais ça donne surtout envie de se faire la carrière de ce dernier pour y trouver ce qui faisait la force de l’âge d’or d’Hollywood.


 ). En plus, vu que je ne savais rien du film, j’ai eu la surprise du petit twist qui arrive au bout d’une vingtaine de minutes, et ça fonctionne vraiment très bien comme idée car ça permet notamment à Belmondo de montrer deux de ses faces d’acteur : le Bebel dans toute sa splendeur, et le gars plus tendre et naturel qui se cache derrière. Côté script, même si ça ne tient pas toujours sur la longueur (on sent dans la dernière demi-heure que ça répète des situations déjà abordées), c’est quand même assez intelligemment écrit, notamment avec le parallèle entre les deux personnages qui se répondent de l’un à l’autre et inversement.
 ). En plus, vu que je ne savais rien du film, j’ai eu la surprise du petit twist qui arrive au bout d’une vingtaine de minutes, et ça fonctionne vraiment très bien comme idée car ça permet notamment à Belmondo de montrer deux de ses faces d’acteur : le Bebel dans toute sa splendeur, et le gars plus tendre et naturel qui se cache derrière. Côté script, même si ça ne tient pas toujours sur la longueur (on sent dans la dernière demi-heure que ça répète des situations déjà abordées), c’est quand même assez intelligemment écrit, notamment avec le parallèle entre les deux personnages qui se répondent de l’un à l’autre et inversement. ), des séquences mémorables (“papa, tu devrais rajouter plus de sang”
 ), des séquences mémorables (“papa, tu devrais rajouter plus de sang”  ) et un dernier plan qui était tout ce dont j’avais besoin pour dire un dernier au revoir à Belmondo. Si on ajoute que ce dernier semble prendre un pied monstrueux à jouer sur ses deux facettes, et si on met en plus le joli bonus charme qu’est Jacqueline Bisset
 ) et un dernier plan qui était tout ce dont j’avais besoin pour dire un dernier au revoir à Belmondo. Si on ajoute que ce dernier semble prendre un pied monstrueux à jouer sur ses deux facettes, et si on met en plus le joli bonus charme qu’est Jacqueline Bisset  , ça donne un joli divertissement, très drôle, souvent osé, et qui fait dire souvent que c’était quand même une autre époque quand le cinéma français était capable de produire des propositions aussi originales.
 , ça donne un joli divertissement, très drôle, souvent osé, et qui fait dire souvent que c’était quand même une autre époque quand le cinéma français était capable de produire des propositions aussi originales.| Film: Magnifique (Le) (1973) Note: 7/10 Auteur: puta madre | Film: Magnifique (Le) (1973) Note: 7,5/10 Auteur: Pathfinder | 


 
 




pabelbaba a écrit:Ca doit faire bizarre de le découvrir sans rien savoir.



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