Modérateur: Dunandan













. Je me souviens que le film avait fait son petit buzz à Cannes en 2008, mais ça m’avait pas vraiment donné envie de tenter à sa sortie, et c’est pas plus mal car dans le genre film qui se subit ça se pose là, autant dire que découvrir ça coincé dans une salle de cinéma ça doit être un sacré niveau de torture 


, le tout avec une orientation premier degré du côté du personnage chantant, est vraiment savoureuse. La love story et son évolution fonctionne plutôt bien avec une écriture à double sens efficace (la princesse découvre que l’amour évolue avec le temps, pendant que le new yorkais apprend que le monde n’est pas aussi cynique qu’il n’y paraît), et même la storyline avec le sous-fifre et le prince charmant s’avère plaisante à suivre, c’est jamais exceptionnel mais il y a un vrai côté divertissant qui est à l’œuvre. Le casting est en plus bien choisi : Amy Adams est adorable en princesse qui tombe de haut
, Dempsey, malgré ses limites d’acting, est efficace en prince charmant qui s’ignore, et le duo Marsden/Spall joue à fond ce qu’on attends d’eux. Finalement, seule Sarandon est décevante, pas spécialement par sa prestation elle-même, mais surtout parce qu’elle n’a rien à défendre, et que son personnage n’apparaît jamais comme une menace vraiment sérieuse 

Amy Adams est adorable en princesse qui tombe de haut








)


, et je ne parle même pas de la façon dont Jeremy Northam chope le virus, ça devrait être interdit d’écrire des trucs aussi nuls 


) et autant dire que l’attente était haute, parce qu’au-delà du fait que c’est majoritairement considéré comme le meilleur western d’Howard Hawks, c’est aussi tout simplement réputé pour être l’un de ses meilleurs films tout court. A l’arrivée, et peut-être est-ce à cause de mes attentes, j’en ressors un poil déçu, mais toutefois en ayant eu conscience d’avoir vu un très bon film. Le métrage commence de façon excellente, avec une introduction muette du plus bel effet, où tout le savoir faire visuel et narratif de Hawks s’affiche à l’écran, et petit à petit le récit va prendre son temps pour poser les enjeux qui sont assez simples : un groupe de quatre personnages prêt à défendre leur ville et la loi, un prisonnier important dans une cellule, et une petite armée prête à tout pour le libérer avant qu’il ne soit remis à la justice.
, de Dean Martin à contre-emploi, et de Ward Bond parfait en vieux de la vieille au grand cœur qui emmerde tout le monde (et qui tire sur ses collègues 

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