BE KIND, REVIEW!

Tom Horn, dans le genre crépusculaire, en sachant qu'il va crever dans pas longtemps, ça prend forcément aux tripes.

francesco34 a écrit:

pabelbaba a écrit:Il aurait mieux fait de terminer sur Tom Horn...

Il y est aussi Tom Horn, il est bien?
Et y'a Guet-apens, La tour infernale, Thomas Crown (revu y'a pas très longtemps, bof).

Dans la sélection TCM j'aime beaucoup Une certaine rencontre, Tom Horn, L'enfer est pour les héros et Guet-apens.

Ok noté

Shock wave 2 - Herman Yau (2020)

Nawak mais pas déplaisant.
La première demi-heure est à la ramasse totale dans sa narration où tout va très vite et donne la curieuse impression de regarder un film en accéleré. Mise en place du sujet, élément perturbateur/trauma, montage de la rémission, nouvel élément perturbateur... Passée cette première demi-heure borbélique, l'intrigue est lancée et a le mérite de ne pas faire redite, le démineur, héros du premier film devenant ici suspect d'un acte terrosiste. On a donc ici du film de cavale un peu couillon, mais bien vif et efficace dans l'action.
Ça reste du vite vu vite oublié, mais qui livre la marchandise.

5,5/10


Le lac de Dracula - Michio Yamamoto (1971)

Comme pour le premier volet, je suis dans un premier temps séduit par le scope, la zik et de jolis plans colorés où se dégage un agréable parfum de fantastique baroque à la nippone, rien de ouf, mais une adition d'éléments qui suffit à gentiment toucher mon point G de bisseux indulgent.
Et puis, à a peine un tiers du métrage, l'indugence trouve ses limites et l'intrigue prévisible et d'une lenteur assomante m'emmerde totalement.
Le troisième volet sera sans moi.

2/10


Relic - Natalie Erika James (2020)

J'ai totalement adhéré à l'atmosphère. Ce climat anxiogène déployé par une mise en scène maîtrisée, ne cédant jamais à la facilité d'un jump scare.
Dommage qu'en son centre le film fasse du sur place et qu'on se demande parfois où cela veut en venir.
Mais ça reste un séance vraiment intéressante.

6/10

Maté Guet-apens de Peckinpah, je l'avais jamais vu en fait celui-là.
C'est d'un autre niveau que Le Chasseur que j'ai vu l'autre jour!
Et puis Ali MacGraw Et elle a un sacré beau rôle, pas juste la potiche de service.

Clair il est super celui-là, un digne représentant des 70's. Ca me manque des découvertes comme ça ^^

Découvert en famille en dvd, la fin avait un peu choqué tout le monde, mais c’était une super séance.

Un chef d'oeuvre de montage, ce film. Et de classe, aussi. McQueen avec un shotgun, quoi.

Ouais c'est sympa, mais ça ne vaut pas le Roger Donaldson...














































































Ha ha... N'empêche y avait de la sacrée bonasse...

George Romero aka le pape des zombies sur grand écran, malgré son décès n'a pas toujours livré ses dernières cartouches et pour cause voilà que The Amusement Park sort des tiroirs (diffusée de manière confidentielle en 1973, et enfin réhabilité aujourd'hui) une œuvre de commande certes mais pétrie d'une note d'intention visible : en dèche après La Nuit des Morts Vivants, il accepte de prendre la thune d'une communauté lutherienne de Pittsburgh pour filmer la condition du 3ème age et là, le cauchemar commence a travers ce parc d'attractions, on assiste a la descente aux enfers d'un vieillard au départ optimiste et va se rendre compte a force d'épreuves, que le monde qui l'entoure ne souhaite qu'une chose, qu'il crève.

On est dans la continuité du Romero d'alors, pas forcément subtil ni dans la forme (ça se lâche pas mal sur le montage), ni dans le fond, mais on sent qu'il avait des envies et au final on se retrouve avec ce qui aurait pu être un très bon épisode de la Quatrième Dimension si l'on enlève les monologues qui ouvrent et clôturent le film.

J'ai revu Evil Dead Trap, c'est encore plus con et cheap que je l'imaginais.

Les meurtres sont sadiques et les sfx assurent (l’œil percé en gros plan ) mais ça ne compense pas son manque de dosage, le film dure 1h40, il en paraissait le double tellement le bodycount est évacué très vite sans parler du "suspense" sur l'identité du tueur grillé a des kilomètres (les 40 dernières minutes sont un calvaire sur ce point). On a les couples qui s'éloignent pour baiser, les gens qui n'essayent même pas de se barrer alors qu'un simple portail leur permettrait de s'en sortir, on l'a vendu sur sa mise en scène, ben putain, c'est pas en foutant des éclairages verts/bleutés dans un endroit désaffecté , qu'on réalise un truc stylisé.

Mark Chopper a écrit:Pitié, pas Le Château Ambulant.

Je ne savais pas qu’il y avait deux films de Miyazaki avec le mot château dans le titre. Du coup j’ai regardé Le château Ambulant en pensant voir un Château dans le ciel…

C’était effectivement un bon somnifère. Je me suis endormi devant au bout d’une heure alors qu’il était à peine 21h

C'est con, parce que Le Château dans le ciel est très bien.

Ouep, pas de bol.