BE KIND, REVIEW!

Atomic Cyborg est mortel, Daniel Greene est tellement à fond dedans. Ca dépote !

Interessante cette critique
Je connaissais pas

Scalp a écrit: Moi je connais des personnes qui aime pas Casino et qui trouve que Scorsese est sur estimé

Je peux pas dire pour Casino vu que je me suis endormi à l'époque - ah oui normal c'est du Scorsese chacun ses gouts

La musique adoucit les coeurs et Quatre Minutes en est une preuve flagrante. L'atout majeur de ce film, qui a rencontré un immense succès dans son pays d'origine, l'Allemagne, est sans conteste ses deux interprêtes qui nous offrent une prestation magnifique avec des émotions assez fortes. Malgré un scénario qui butine à quelques endroits et une utilisation des flashbacks hasardeuse par moments, ce long métrage est d'une force certaine et regorge de sentiments doux et amer à la fois.
Le réalisateur opte pour des idées salutaires comme lors d'un accès de violence la caméra se pose sur un insecte en difficulté, à l'agonie, un passage métaphorique qui nous montre la violence subie par l'un des personnage du film au travers de ce subterfuge plutôt bien pensé, ce qui nous amène à considérer cette oeuvre pour ce qu'elle est, moche et belle à la fois. Moche car les personnages ne vivent pas la belle vie et belle parce que l'exutoire face à ses destins meurtris est la musique, un élément important dans le récit.
Quatre Minutes se penche plus sur ses deux interprêtes principaux, il les explore au plus profond d'eux-mêmes, nous les mets à nu pour mieux submerger chaque plan du film. On doit ce titre à son final dont tout le monde parle et qui finalement n'est pas si surprenant que celà. Ces 4 dernières minutes viennent mettre fin avec sincérité et sans artifice à un joli film dramatique. On peut comprendre après tout, l'engouement lors de sa présentation dans les festivals qu'il a parcouru.

Le film a vieilli, John G. Avildsen nous met en scène un destin à peu près à la Rocky, un poulain se fait entraîner par un ancien. Les combats de Karate Kid sont très soft, voir trop même. Un film familial qui se savoure plutôt bien. Karate Kid a bercé plusieurs générations, Bill Conti est fidèle à John G. Avildsen et c'est logique que nous le retrouvons ici pour une composition qui sied à merveille au film, Bill Conti est un très bon compositeur. Avec le recul des années (pour ceux l'ayant découvert très jeune) on a l'impression que Ralph Macchio est bien plus jeune qu'Elisabeth Shue (elle est plus jeune de 2 ans finalement), car il est tout maigrelet. On croirait vraiment qu'il n'a pas tout à fait la majorité pourtant il avait 23 ans lors du tournage. Bref, passé ce détail on se laisse aller sans mal jusqu'au final qu'on peut qualifier de culte. Un remake de ce premier film sortira au mois d'Août en France avec Jackie Chan dans le rôle de Miyagi.

Celui dès que j'ai dépassé l'age de 8 ans je l'ai trouvé tout pourri

Rah ce souvenir de peindre les clôtures à la Karaté Kid

Scalp a écrit: Celui dès que j'ai dépassé l'age de 8 ans je l'ai trouvé tout pourri

ouaip , je l'ai jamais trouver " attachant " ce film ,meme gamin , je trouver daniel san assez tete a claque et pis tout les fight c est pas credible , bref le remake est mieux ( mercie a jackie ) meme si ca vole pas haut

Karate Kid 2 est plus sombre et émotionnellement plus vivant. Je ferai une critique quand je l'aurai revu prochainement.

J'ai jamais vu Karaté Kid

Kareem Said a écrit: Karate Kid 2 est plus sombre et émotionnellement plus vivant. Je ferai une critique quand je l'aurai revu prochainement.

Oue enfin sombre faut le dire vite.

En comparaison du premier trop gimauve, le 2 fait plus sérieux et pas neuneu.

Kareem, il faudrait que tu édites tes critiques pour en mettre une seule par post stp, sinon on ne peut pas référencer.

Merci.