BE KIND, REVIEW!

C'est clair que le jeune fille et l'eau il est vraiment pas top

enfin je suis content après tiger blade tu enchaîne la jeune fille et l'eau donc tu es humains, tu ne vois pas que des bons films

Moi, je trouve que La jeune fille de l'eau, il se bonifie en le revoyant.
A part Sixième sens, tous les films de Shyamalan se bonifient au fur et à mesure des visions.

euh le village à la deuxième vision tu dors

Le jour ou la terre s'arrêta ( 1952)
( The Day The Earth Stood Still)
De Robert Wise



Ce film est un classique de la culture de science fiction. Le premier à délivrer un message de paix universelle, bizarrement agrémenté de menace de génocide planétaire en cas de non application de cette directive...message contradictoire!! enfin passons et savourons notre plaisir a suivre l'intelligence du propos, et la retenue des diatribes. L'histoire est solide et le personnage de l'extra terrestre fascinant. L'acteur Michael Rennie est doté d'un physique correspondant parfaitement au rôle et son jeu sobre augmente sa force. Patricia Neal représente l'idéal féminin qui accompagne " Klaatu " dans ces péripéties terriennes. Les effets spéciaux de l'époque portent à sourire mais c'est un métrage plus intimiste que spectaculaire et cette" simplicité" convient au contexte du film. Le traitement du thème pourrait encore être d'actualité, malheureusement... La musique est obsédante et tire sur les nerfs, parfait pour l'atmosphère "fictionnelle "
Un film suranné et qu'il faut voir en gardant à l'esprit l'époque, qui est à la haine des blocs politiques différents. J'aime ce cinéma direct et efficace, et sans grands effets techniques je trouve le résultat excellent...surtout comparé au navet moderne qui à été produit.... 7/10

London to Brighton
Date de sortie : 20 Juin 2007
Réalisé par Paul Andrew Williams
Avec Lorraine Stanley, Johnny Harris, Georgia Groome
Film britannique.
Genre : Thriller
Durée : 1h 30min.
Année de production : 2006


Londres, 3h07 du matin, Joanne et Kelly se réfugient en sanglots dans les toilettes délabrées d'une gare : elles viennent de tuer Duncan Allen, un riche et pervers boss de la pègre qui avait payé pour passer la nuit avec la toute jeune Joanne. Derek, le proxénète de Kelly, menacé de mort par le fils de Duncan, doit à tout prix retrouver les deux filles pour sauver sa peau. La seule issue pour Joanne et Kelly semble être celle de monter dans un train en direction de Brighton...


Pour un premier film c'est d'une qualité appréciable! le réalisateur arrive à nous intéresser à cette histoire , et l'on plonge avec les deux jeunes filles dans les bas fond de l'âme humaine. En plus d'étudier les réactions d'un microcosme en proie aux comportements extrêmes, le cinéaste offre des séquences à l'implacable mécanique, la scène finale est une vraie petite bombe! Une road movie joué de manière talentueuse qui permet l'implication émotionnelle . L'ambiance sordide qui ressort de ce métrage et le scénario ambitieux qui évite les échappatoires faciles mon marqué. Un film au style personnel plaisant et un métrage qui mérite ma considération cinématographique! 7/10

putain tu perd pas de temps

directement acheté, directement regardé

je suis en vacances, je bouge pas, alors.... a part lire, regarder des films et matté le tour de France...

LA LIGNE ROUGE Réalisé par : Terrence Malick
Avec : Sean Penn, Adrien Brody, James Caviezel, Ben Chaplin, George Clooney, John Cusack, Woody Harrelson, Elias Koteas, Jared Leto, Dash Mihok, Tim Blake Nelson...



USA:
2h50
Titre original :
The Thin Red Line


SYNOPSIS : L'histoire d'un groupe d'hommes de l'armée américaine, du nom de Charlie Company, qui changeront, souffriront et découvriront en bout de ligne des facettes inconnues d'eux-même durant la violente bataille de Guadalcanal de la Deuxième Guerre Mondiale. Suivant leurs périples, du débarquement sans opposition, durant les batailles sanglantes qui en suivirent, jusqu'au départ de ceux qui en sortiront vivants. Explorant les liens qui se développent et unissent les soldats sous la menace constante d'être attaqués, et découvrant leurs vraies aspirations. Ils se sont battus pour leur vie et celle de l'homme à côté d'eux.



Un film cérébral et philosophique, poétique et un scénario à l'écriture fine. La folie de la guerre face a la beauté tranquille de la nature sauvage. Au fond, Ce n'est pas des blessures humaines que ce film raconte, mais les blessures faite a notre environnement. L'histoire des hommes et ces conflits de personnalités ne sont là que pour mettre en avant la folie destructrice de la civilisation. Une narration sans début ni vrai fin... des scènes de tranquillités entrecoupé de scènes de batailles saisissantes. Un film qui se décortique en trois partie: la première dans la création de l'atmosphère, à la présentation des comédiens et des lieux, la médiane présente les combats et l'action classique, la troisième c'est l'épilogue qui rassemble les fils de l'intrigue. Mallick a un don pour prêter aux images richesses et texture. Un film superbe, qui na pas de fin, la guerre continue... je le revois souvent avec en mémoire cette musique traditionnelle de grande beauté qui nous accompagne tout le long de ce spectacle et je garde en mémoire des moments ( l'indigène qui double une patrouille dans la jungle et qui fait comme s'il ne les voyaient pas, la mort de witt (Jim Caviezel) forts. 10/10

Ha oui très sympa la ligne rouge !

Tu me donnes d'ailleurs envie de le revoir.

moi cela trois fois que je le regarde et l'émotion est toujours là! ce film est magique!!

un beau 10/10, de toute façon c'est la note pour tous les Malick... sauf Badlands peut-être 9/10

Malick c'est le real préféré des écolos, personne ne film les arbres comme lui ( des magnifiques plans fixe de 5 minutes sur une feuille qui tombe )

bah peut-être mais c'est beau et c'est jamais des plans gratuits... quand Gus Van Sant fait pareil dans Last Days c'est beaucoup plus chiant

Gugus c'est une plaie ce gars, faut lui interdire de faire ces films, Malick ça va je lui laisse la caméra, je reconnais qu'il a un style bien a lui dont j'accroche pas mais au moins c'est un vrai cinéaste ( chose que n'est pas Gugus ).

Je ne rentrerai pas une nouvelle fois dans le débat, ça ne sert à rien : tu es irrécupérable ...