BE KIND, REVIEW!

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rien a voir , lethal c est un peu actioner, un peu buddy , un peu polar, un peu comedi , et y a plein d autre facteur pour la note chiffrer qui est juste un detail . et la je sais que j ai raison donc .

tu parle de piège de cristal ?? oui pas dans le même délire je pense l'un se prend au sérieux et l'autre est beaucoup plus léger, plus dans le divertissement populaire. Les deux sont bien bien que je revois plus facilement l'arme fatale que la saga piège de cristal.

Heatmann a écrit:??

rien a voir , lethal c est un peu actioner, un peu buddy , un peu polar, un peu comedi , et y a plein d autre facteur pour la note chiffrer qui est juste un detail . et la je sais que j ai raison donc .

Tin t'es lourd quand tu t'y mets, enfin m'en branle l'arme fatale c'est juste sympa.

lourd parcque jte donne pas raison en 2 sec car c est simple comme ca .... tu veut trop avoir raison et ton avis unique quoi ... ca sert a quoi de parler de Mct ? de comparer ? un film se juge pas que sur sont jeu de camera , MCt est bien la pour en parler avec des bouzasse cosmique dans sa filmo mais avec des sequence bien realisaer

y a plein d autre parametre qui peuvent elever un film au top d un genre ..

quand les joyeux luron il y quelque semaine parlait de 9/10 pour v for vendetta ,c est clairement abuser, pour lethal 1 , non carrement pas , ca c est simple a comprendre meme si on est pas de cette avis ,c est toi qui est lourd a rien accepter a part TON avis .
Moi true grit , kill bill je trouve pas ca ultime du tout quoi , plein de gens le trouve , de meme que plein de gens trouve lethal ultime , pourtant je comprend les note du genre ... tu voit je suis un model a suivre

Ah bein pour le 9 à V c'est pareil qu'un 9 pour l'Arme Fatale.

Ont a tous nos préférences, le gout se juge comment?? je connais des femmes qui jugent les films sur les détails du récit qui sont pas crédible ou sur la logique des comportements des personnages qui conviennent pas à leurs moi, donc rejet! elles me sortaient un tas de petits détails que j'avais pas remarqué, moi je suivait l'action dans son ensemble et elles c'étaient les imperfections des séquences....j’hallucinais!! pour dire que les jugements sont obligatoirement partiaux, moi les 80 c'était ma période ciné fan et je garde une certaine mélancolie pour cette période riche en œuvres cinématographiques.

(un thème abordé sur dvdclassik il y a quelques années et à la fin rien n'en était sortie...)

A soldier's story (1984)

titre original "A soldier's story" année de production 1984 réalisation Norman Jewison interprétation Denzel Washington, Robert Townsend

7,5/10

Un très beau film de Norman Jewison (Dans la chaleur de la nuit) qui poursuit son expression filmique sur le thème du racisme et qui met en scène d'une magnifique manière et active efficacement le jeu tout en nuance de ses acteurs. L'histoire d'enquête criminelle menée par un officier noir en terre sudiste américaine est intéressante à observer. Les personnages sont succulents et sont très travaillés ce qui donne une profondeur immédiate au sujet et le récit rigoureux dispose de dialogues brillants. La stratégie narrative est intéressante par de multiples Flash-back qui articule l'avancer du récit et la moralité de l'histoire ne sera pas celle attendue. Un film qui est passé inaperçu et que j'aime bien.

Indiana Jones et les aventuriers de l'Arche Perdue

"Raiders of the lost ark" 1981 Steven Spielberg Harrison Ford, Karen Allen USA Oscar de la meilleure direction artistique Oscar du meilleur son Oscar des meilleurs effets sonores Oscar du meilleur montage Oscar des meilleurs effets visuels

8/10

Ce film est une idée de Georges Lucas et c'est son ami Steven Spielberg qui pris la direction avec comme scénariste l'excellent Lawrence Kasdan.

Le réalisateur aime les scripts légers pour donner une plus grande place au montage qui privilégie les sensations fortes, qui claquent comme un long fouet ! Lawrence a dû s'en arranger malgré que la vitesse des scènes qui s'imbriquent tellement les unes aux autres lui est pas facilité la tâche.

La scène première de ce métrage est un avant gout des stimulations filmiques qui nous attendent, Indiana se joue des pièges mis sur sa route et les flèches empoisonnées, les araignées énormes, les portes hérissés de pointes et les énormes rochers ne sont que bagatelles négligeables que l'acteur expédie vite fait bien fait.... sa double étiquette de professeur rangé et d'aventurier ultra-énergique ne cesse d'étonner !

L'intensité du métrage est sans temps mort et en met plein la vue à un public conquis. Pas de place à la réflexion dans ce film, une soumission au diktat du temps filmique du réalisateur est obligatoire pour prendre plaisir à ce spectacle. La musique de John Williams est du même tonneau et explose nos tympans par un ton de volume d'une force redoutable.

Harrison Ford et Karen Allen arrive à exister grâce à leurs intrépidités, les réparties sont très bien utilisés, mais sans émotions, car le temps ne permet pas de les vivres... la faute à la séquence suivante qui est déjà lancé ! on n'installe pas vraiment les personnages, ont les faits galopés d'indices en indices jusqu'à la séquence finale .....Spielberg ébloui les foules par sont savoir faire, il a le don de coller aux aspirations d'une jeunesse en recherche d'effets visuelles esthétiques et de s'arranger d'un script sobre qu'il cache par son expression filmique parfaitement organisé.

Spectacle époustouflant qui ressuscite le classicisme du film d'aventure de Hollywood. Un personnage central qui va devenir une figure incontournable et amener l'acteur qui lui donne vie au statut de vedette. Son accoutrement particulier (fouet et chapeau) lui donne une image imprimée dans les rétines et le voyage qu'il aborde donne une atmosphère exotique à l'ensemble.

Le courage, la hardiesse même est la marque de fabrique de Indiana Jones et l'identification du public est immédiate. L'humour divertissant qui se dégage de l’œuvre lui donne un ton spécial, on se dégage des protagonistes pour s'intéresser avec concentration à l'action. Spielberg est encore un faiseur de miracle et c'est bien plus tard après que la maturité l'ai pris que des œuvres dramatiques pourront naître. Pour l'instant c'est un enfant facétieux qui joue avec ses jouets à millions de dollars!

Un film novateur en son temps possédant une action démarrant sans prologue avec de temps en temps un petit clin d'oeil réactualisé sur certains films de brousse des années 40.

Dossier plein à 100% (50 sur 50 messages)

Bonjour Jean-Michel
Je n'arrive plus à lire les Mps. Comment vire-t'on le contenu de la boite?
Merci
Jipi

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Loup-garou de Londres (le) (1981)

Réalisé par John Landis Avec David Naughton, Griffin Dunne, Jenny Agutter Titre original : An American Werewolf in London Long-métrage britannique , américain . Genre : Epouvante-horreur , Fantastique Durée : 01h37min Année de production : 1981

7,5/10

John Landis le réalisateur des Blues Brothers est un fan des films fantastiques et cela se voit par la maîtrise complète des éléments du genre. Installation de l'histoire, de l'atmosphère oppressante dans lequel va baigner toute l'action, humour variant avec l'horreur, le mélange a un charme certain.

Un métrage qui marche au niveau sensoriel, on sent la bête approcher dans le brouillard, mais sans la voir, elle est proche et brusquement .... l'attaque, dans la lande trop rapide pour l’œil de la caméra qui n'aperçoit que des flash. Les trucages sont impressionnant et aide à la crédibilité de la bête, mais ce film reste une parodie par le style décontracté du réalisateur qui refuse de se prendre trop au sérieux. Ma scène préférée, celle qui marque ma mémoire est le moment ou le loup-garou est enfermé dans un cinéma à Londres et dans une ultime attaque décapite un policier!! effrayant!! Les acteurs jouent correctement leurs rôles et l'anonymat de leurs noms met plus en avant l'aventure collective qui va les lier.

Un film qui fonctionne par le savoir faire de Landis sur les séquences spectaculaires, sa narration est très bien menée et la fin du jeune homme désespéré héros du récit, parait inéluctable rapidement. Un métrage qui séduit l’œil tout autant quelle satisfait l'esprit.
Quelques années plus tard je suivrais avec fascination la série télévisée "La malédiction du loup-garou" de Frank Lupo (1987-1988) qui est une variation sur le même thème, j'attends toujours la sortie dvd....

Roh que 8 aux aventuriers de l'arche perdue, et cité en plus avec l'horrible titre de l'édition vidéo made in Lucas...
Bon ben c'est pas encore aujourd'hui que je sortirai mon logo approved

Je l'ai tellement vue que...cela à perdu de sa saveur pour moi!!

pas plus pour le 1er indy jean mi ?