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Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:26
par Heatmann
:eheh:
pas mieux , ca porte bien son nom

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:27
par Scalp
Le film a une répute de fou, genre meilleur film de genre frenchy ( enfin belge ) de ces 10 dernières années.

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:30
par Heatmann
aaaaah les film de genre francais ..... tout un programme :eheh: ouai parcque bon a part martyrs c est le neant quoi

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:31
par Scalp
A L'intérieur c'est très bien aussi, mon préféré même.

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:33
par Heatmann
ah oui , bien celui la , j irai pas jusqua tres bien par contre, l acting laisse encore bien a desirer , mais sur le podium effectivement , derriere haute tension et martyrs ( la horde c est cool aussi mais pas plus )

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:34
par Scalp
Dans Haute Tension le casting est pire à part Nahon :mrgreen: et puis Bustillo/Maury savent qu'ils font un truc très con et ils assument alors qu'Aja le twist te flingue le film bien comme y faut.

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:37
par Kakemono
Le twist de haute tension me fait chier, sans ca ce film c'est la perfection. Je kiffe quand même, quand je le regarde j’arrête a 5 minutes de la fin. :mrgreen:

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:39
par Heatmann
ouai le twist etait pas voulue pas aja du tout au depart , ca gache un peu mais ca va encore , ca reste un excellent film et pour le coup je trouve meme cecil de france pas mal quoi , bien mieux que paradis et beart quoi , non franchement j aime bien a l interieur mais je prefere les 2 autre

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:43
par osorojo
Bah moi j'avais vraiment apprécié Calvaire à l'époque. Une atmosphère glauque qui te fout mal à l'aise dès le départ avec cette putain de scène où Lucas chante pour les vieilles, c'est juste énorme. La violence est omniprésente dans le film, avec des scènes qui sortent de trips sous acides ayant dégénérés. Les acteurs sont à taquet, et offrent une atmosphère globale qui n'est pas sans rappeler certains Noé si je me rappelle bien. Faudrait que je le revoie, ça fait un moment que je l'ai vu, mais j'avais vraiment kiffé moi :mrgreen:

Après, c'est le genre de film soit tu kiffes soit tu détestes, les ambiances malsaines comme ça, c'est proprice au rejet radical :p

Haute tension faut que je revoie, j'en ai un souvenir beaucoup plus mitigé par contre. Je m'étais ennuyé :p Comme quoi xD

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 04 Aoû 2011, 19:45
par Scalp
Heatmann a écrit:ouai le twist etait pas voulue pas aja du tout au depart , ca gache un peu mais ca va encore , ca reste un excellent film et pour le coup je trouve meme cecil de france pas mal quoi , bien mieux que paradis et beart quoi , non franchement j aime bien a l interieur mais je prefere les 2 autre


L'ex femme à Besson elle est insupportable dans Haute Tension, aussi mauvaise actrice que réal cte pauve femme.

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Ven 05 Aoû 2011, 00:25
par nicofromtheblock
On en reparlera quand t'auras vu les films qu'elle a réalisé ... :roll:

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Ven 05 Aoû 2011, 08:27
par Scalp
Réalisé est un grand mot, mais ton âme de bobo te pousse à la défendre je comprend.

Rue Rouge (La) - 8/10

MessagePosté: Ven 05 Aoû 2011, 10:17
par Kakemono
La Rue Rouge

En Rouge et Noir

De Fritz Lang

Avec Joan Bennett, Edward G. Robinson, Dan Duryea

Etats-Unis, 1945

8/10






Petit caissier sans histoires, Christopher Cross rencontre, suite à une soirée arrosée, une jeune femme du nom de Kitty dans une rue de Greenwich Village. Elle le prend pour un riche artiste, lui qui n’est qu’un peintre amateur, tandis qu’il tombe amoureux d’elle. Motivée par Johnny, son amant, Kitty décide alors de profiter de l’affection de Christopher afin de lui soutirer de l’argent.







Tourné dans la foulée de La Femme au portrait, La Rue Rouge en est son prolongement. A partir d’un casting identique, Fritz Lang brode une histoire passionnante avec toujours autant de maitrise.

Joan Bennett y campe une femme bien plus sensible, au cœur de la tourmente mais dont le seul but sera de servir son propre intérêt. Edward G. Robinson, plus convaincant, sera, comme dans La Femme au Portrait, l’aide dont elle aura besoin. Tombé véritablement amoureux de cette femme, il fera tout pour la sortir de la misère relative dans laquelle elle est, y compris sacrifier son propre couple et mettre en danger et son travail. Dan Duryea, beaucoup plus présent ici, incarne le petit ami de Bennett, lui qui va tirer les ficelles de ce complot pour son compte. Ce trio amoureux et complice va se mentir, s’aider et se démolir sous nos yeux jusqu'à l’inexorable. Toujours porté par la mise en scène léchée et précise de Lang, le déroulement de l’histoire se révèle passionnant. Et ce jusqu'à dénouement d’une noirceur bien plus prononcée que dans La Femme au Portrait.

Encore une franche réussite de la part de Lang dans sa filmo proche de la perfection. J’aurais surement énormément de plaisir à le revoir dans un future proche. A noter l’excellente initiative de Wild Side que de sortir ces deux films dans un superbe coffret, tant ils se complètent et sont indissociables l’un de l’autre.

Menaces dans la Nuit - 6/10

MessagePosté: Mar 09 Aoû 2011, 21:34
par Kakemono
Menaces dans la Nuit

Menace indolore

De John Berry

Avec John Garfield, Shelley Winters, Wallace Ford

Etats-Unis, 1951

6/10
Image


A la suite d’un Hold-up, un gangster trouve refuge au sein d’une famille qu’il va prendre en otage.

Le début du film est très bon. On y suit le hold-up en question, la fuite de Nick Robey et sa rencontre avec Peg Dobbs. Le rythme est rapide et prenant. Mais les premières limites apparaissent : le personnage de Nick. C’est bien simple, on ne peut jamais s’identifier a lui tant ses réactions semblent absurdes et inadaptées a une telle situation. Et c’est vraiment le gros point noir du film, à aucun moment on a de l’empathie pour lui et son sort nous est bien égal. Du coup on relâche grandement l’attention et le reste du film en pâtit.
La prise d’otage qui suit manque clairement d’enjeu pour être palpitante, même si elle est bien menée. Quelques scènes réussies retiennent l’attention dont celle du diner dont parle Logan dans sa critique qui est vraiment excellente, sous tension et révélatrice des rapports entre preneur et otages.

Bref, pas mauvais, loin de là, mais ca manque un peu de crédibilité surtout dans le personnage principal. Le reste est plutôt bon et la fin excellente. A voir pour les curieux.

Re: [Kakemono] Mes Critiques en 2011

MessagePosté: Jeu 11 Aoû 2011, 01:10
par zack_
Je te trouve sévère sur Calvaire
Je l'avais découvert au festival de Gerardmer et je l'avais bien apprécié - bien malsain je trouve! Frontiere c'est de la daube mais pas Calvaire!