BE KIND, REVIEW!

c est vrai que Kunis elle a pas le magnetisme necessaire, elle fait un peu pop star , pis le final sur la tombe et le plan final c est naze , mais c est peu de chose, elle est quand meme bien mimi et pis tout le reste fait qu on ne focalise pas la dessus quoi

Mila c'est la remplaçante de Zooey si elle meurt dans un accident de voiture donc faites attention à ce que vous dites

Zooey celle qui louche ?

a non mais mila kunis je l aime bien hein , mais en lara croft post apo c est pas encore ca quoi , par contre zoey elle c est une autre categorie , faudrait un panorama yeux globuleux a coter de katy perry

Gonzo d'Alex Gibney - 2008

Je l'attendais ce docu sur une de mes idoles. Celui sur Bukowski était une merveille, on découvrait tout un tas de trucs sur sa personnalité qui étaient plus ou moins cachés dans ses textes. C'était une révélation, les intervenants étaient de qualité, les interviews du bonhomme nombreuses. Un vrai must.

Là, ça démarre déjà très mal, on zappe tout ce qui se passe avant son reportage sur les Hell's Angels. C'est à dire rien, mais alors rien du tout, sur son passage à San Juan dont il a été tiré The Rhum Diaries! Rien que ça, on sait que le mec qui a monté ce truc est une baltringue. Enfin quand on voit la gueule du biographe (qui intervient souvent) on comprend pourquoi sa biographie est si merdique. C'est déprimant de voir qu'il était entouré de gens aussi incompétents.

Malgré la présence de quelques intervenants de qualité (Tom Wolfe, Jimmy Carter, McGovern) les propos ne volent pas haut. Personne n'essaye d'analyser la personnalité du bonhomme, les gens ne font que constater le phénomène. Pourtant il y a de quoi discuter : un mec de gauche affilié à la NRA qui veut devenir shérif et invente un genre de journalisme en se gavant de drogues, ça valait le coup de pousser les analyses un peu plus loin.

Enfin passons. C'est rageant de voir aussi qu'il y a énormément de matériel qui a été tourné de son vivant, mais il est sous-exploité, les séquences ne durent jamais plus d'une minute. A la place on a droit à des extraits des films adaptant Las Vegas Parano (jamais je les verrai!) et à Johnny Depp lisant ses bouquins sur fond d'images d'actualités de l'époque...

Y'a pas à dire, ce docu est une merde, un gros étron sans intérêt. D'ailleurs les anecdotes les plus marrantes sont dans les bonus...

2/10

J'ai failli l'acheter, merci du conseil.
Je le verrais sans doute autrement.

Plus j'y repense et plus j'enrage.

Le choix des intervenants est aussi pourri, comment parler de l’institutionnalisation de la contre-culture avec le directeur de Rolling Stone? Comment dire que Carter était finalement une erreur de casting vu qu'il n'a tenu qu'un mandat sans avoir d'avis de critique politique (il n'y a que des politiciens dans le docu)? Pourtant ce sont les éléments qui permettent de comprendre pourquoi Hunter Thompson a baissé les bras dans la seconde moitié des 70's. Là, tout le monde ne fait que le constater, pas l'expliquer.

Le pire, c'est de se dire que sa mort n'a pas l'air de les toucher pas plus que ça. A les entendre (même son fils) c'était inéluctable. Tu m'étonnes, avec cette bande de branquignols autour de lui, c'est pas la réélection de Bush qui a eu raison de son moral, c'est eux!

Au-Dessous du Volcan de John Huston - 1984

Je ne connais pas le bouquin de Lowry dont le film est tiré et qui est soit disant inadaptable. Au vu du résultat, ça devait pas être si compliqué, il suffisait juste de trouver l'acteur principal idoine. Albert Finney est parfait. Je ne crois pas l'avoir vu ailleurs que dans Voyage à Deux. Là il est métamorphosé, et même s'il était vraiment alcoolique sur le tournage, son numéro est un des plus impressionnants que j'ai pu voir. C'est la clé du film.

Huston a emballé avec soin cette danse macabre en faisant très attention aux scènes dérangeantes (le générique, le roller-coaster, la découverte du cadavre sur la route, le bordel) soit les effets sont saisissants (mouvements de caméra, caméra embarqué) soit le casting de sales gueules fout les boules.

L'ambiance est unique. Seule la présence de la belle Jacqueline Bisset apporte un peu d'air frais au milieu des délires de Finney. Pas facile d'en rajouter.

7/10

j adore vraiment huston , mais la celui la , je l ai trouver incroyablement dater comme film , c est hyper static et lent quand meme , et ca part un peu en couille d adapter un si gros paver du coup , un peu bordelique a mon gout

Ouais, c'est chaotique, y a pas vraiment de fil conducteur, le rôle du frère est pas forcément très bien écrit. Mais FInney est énorme et l'ambiance vraiment originale.

ouai voila je cherchai le mot : chaotique , merci

on sent que papy huston etait fatiguer la , et encore plus dans prizzi honor dont j ai jamais compris l admiration

A Toute Epreuve de John Woo - 1992

Avant de me fader les deux derniers Potter (sans avoir lu ou vu le reste de la saga ) il fallait du lourd!

Y a pas photo, c'est le meilleur John Woo. Le casting explose tout! Chow Yun Fat Vs Tony Leung, les deux meilleurs acteurs HK face à face, le rêve. A côté, ça déboîte sec aussi avec Anthony Wong en bad guy sans pitié et surtout, surtout, PHILIP KWOK. Ce mec a une putain de classe. A la ramasse depuis la fin des films des Venoms, John Woo lui donne un putain de rôle à la hauteur de son charisme. A chacune de ses apparitions il crève l'écran. Son duel dans l'hosto face à TLCW seul ou aidé par CYF est juste mortel!

Mais il n'y a pas que le cast qui assure. Quelque soit le compartiment de la production du film, on nous offre le meilleur de HK : la BO de James Wong (Jazz et synthé atmosphérique), le montage de David Wu (ralentis bien sentis, plus tous ses petits grigris), un scénario (ouais, un scénario, avec des rebondissements... ). Tout est fait pour en prendre plein la tête.

Au milieu de tout ça John Woo alterne les scènes d'actions homériques et les scènes plus calmes avec brio (celle de la bibliothèque ). Bizarrement je n'avais pas le souvenir que le gunfight de la tea-house était si bordélique. Mais le reste rattrape tout. Que ce soit la double attaque du hangar, celle du bateau ou le siège de l'hosto, c'est du grand art. Tout l'arsenal des techniques de mise en image de l'action est de sortie : shaky cam, plan séquence, travellings, on en prend plein les mirettes. L'éclairage bleuté ne gâche rien et le body count est ahurissant des deux côtés.

Les petits passages humoristiques apportent un petit vent de fraîcheur au milieu de ce trop plein de testostérone. Contrairement à Alinoé, je les ai trouvé bien placés, pas si cons (sauf peut être le coup du bébé qui pisse...) et nécessaires dans un film de 2h.

Big masterpiece en somme.

10/10 (c'est mon premier!)

Yes, me voilà dépucelé!

Encore un film que je dois voir