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Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mer 12 Déc 2012, 16:39
par Scalp
Attend c'est ptet pas instantané, y peut surgir n'importe quand maintenant et n'importe où ( moi je dis fait gaffe quand tu descendra dans ta cave nourrir ton petit juif )

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mer 12 Déc 2012, 17:26
par Killbush
Ouais fais gaffe, si tu sens une douleur dans le bas du dos, c'est que je t'ai trouvé :mrgreen:

Vous êtes des grands malades quand même, bon allez si ça peut le faire revenir dans le top, je ferais une tite critique ce week end (oui je sais, c'est pas la première que je promets)

Pour 2013, il va falloir que je trouve une solution.

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 16:10
par Scalp
Killbush a écrit:, je ferais une tite critique ce week end (oui je sais, c'est pas la première que je promets)


:mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 16:11
par Killbush
Je comptais la faire après avoir maté La Rançon de la Peur :mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 16:13
par Scalp
Mouais, tu mens comme un officier nazi à Auschwitz là :mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 16:14
par Killbush
:eheh:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 16:21
par Pathfinder
Un topic aussi vivant sans la moindre critique depuis des lustres, ça laisse reveur! :mrgreen:

Candyman - 8,5/10

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 19:38
par Killbush
CANDYMAN - Bernard Rose (1992)


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De tous les boogeyman qui ont émergés dans les années 80 et 90, Candyman est certainement le moins populaire, alors que paradoxalement il est surement le plus intéressant. Né de l'imagination du génial Clive Barker, bien connu des amateurs d'horreur pour avoir donner vie à Pinhead et à la saga Hellraiser, Candyman est un cauchemar poétique et extrême, qui exploite parfaitement la notion de légende urbaine, en donnant un vie à un tueur impitoyable qui apparait après que l'on ait prononcé son nom cinq fois devant un miroir.
Alors qu'une jeune étudiante prépare une thèse sur les croyances populaires, elle se penche rapidement sur la légende de Candyman et ne va pas tarder à le faire apparaitre.

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Sur ce postulat audacieux, Bernard Rose livre un film d'horreur aux antipodes du genre, bien loin des Freddy ou Jason qui misent avant tout sur des mises à morts délirantes. Candyman est un film mélancolique à la mise en scène léchée, qui prend le temps d'installer ses personnages et la relation ambigüe qui va naitre entre la jeune fille et la créature, et joue habilement avec son spectateur en délivrant avec parcimonie ses images chocs, sans pour autant oublier les passages de pure terreur (les scènes gores sont vraiment marquantes).
Le film se démarque également des autres slashers par une profondeur inattendue, aussi bien dans sa portée sociale (le tueur noir, dont l'origine remonte à l'époque colonialiste, et qui évolue dans un ghetto morbide), que dans sa noirceur psychologique, dans laquelle s'enfonce l’héroïne au fur et à mesure du récit et qui apporte un double niveau de lecture plutôt bien amené.

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Coté casting, Tony Todd trouve le rôle de sa vie (qu'il tentera d'ailleurs d'imiter péniblement tout au long de sa carrière) et incarne un tueur aussi terrifiant que bouleversant, Virginia Madsen est parfaite dans le rôle de l’héroïne qui va se laisser envouter par la légende, et donner naissance à une relation étrange et contre nature, jusqu'au point de non retour (a ce titre, la fin du film est bien loin des clichés du genre). A noter également la sublime partition de Phlipp Glass, qui ajoute encore à l'ambiance très particulière et onirique du film.

Au final, Candyman s'impose au fil des années comme un véritable classique du genre, qui passe nettement mieux le cap des années que ses concurrents, et dont le boogeyman reste encore aujourd'hui le plus charismatique et intéressant d'entre tous. Après Pinhead, encore une création signée Barker qui restera dans la tête de tous les cinéphiles grâce à sa puissance évocatrice hors du commun.

Be my victim !

8,5/10

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 19:40
par osorojo
J'ai bien fait de me le prendre à Noz, j'ai bien envie de me le revoir maintenant. ^^

Avoue-le, ils t'ont piqué au vif avec leurs petites remarques hein :mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 19:41
par Killbush
:mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 19:42
par Alegas
Et la critique de War of the Arrows elle arrive quand ? :mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 20:32
par Scalp
Killbush tu veux un truc drôle, ça a pas suffit ta critique pour le retour de Candyman :mrgreen:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 20:35
par Dunandan
Oui, belle redécouverte pour ma part ce film :super:

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 20:36
par Killbush
Dommage, il mérite mieux, enfin il est quand même dans le top pondéré (197 donc pas pour longtemps)

Re: [Killbush] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Lun 17 Déc 2012, 20:42
par Logan
Allez hop il reviens dans le top :super: