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Re: Goldeneye - 4/10

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 01:11
par Alegas
francesco34 a écrit:Heureusement y'a Sean Bean, c'est toujours bien d'avoir Sean Bean.


:eheh:

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 07:29
par Scalp
Ma première note plus haut que Francesco :banane:

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 08:52
par francesco34
Ouais ça c'est inédit :eheh:
J'en avais plutôt bon souvenir de ce Goldeneye et j'ai été très déçu en fait (d'où la note), surtout en le visionnant juste après Permis de tuer.
Du coup maintenant j'ai un peu peur, à part Le monde ne suffit pas, dans mon souvenir j'aimais déjà pas les 2 autres Brosnan :mrgreen:

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 13:33
par maltese
:super: Jamais compris l'enthousiasme général pour Goldeneye...

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 13:34
par Scalp
C'est à cause du jeu vidéo.

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 13:39
par Heatmann
maltese a écrit::super: Jamais compris l'enthousiasme général pour Goldeneye...


ta phrase marche aussi si tu remplace le mot goldeneye par : "les brosnan" :super:

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 13:41
par Mark Chopper
De temps en temps, on peut retenir quelques passages agréables dans les Brosnan.

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Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 13:45
par Heatmann
ah alors la completement d'accord , halle c'est my girl elle :bluespit: :bluespit: mais le film est nul a chier , pis la scene ou elle plonge du chateau pfffious les boule quoi

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Dim 13 Jan 2013, 14:05
par Mark Chopper
A part Halle Berry en maillot de bain référentiel, j'ai tout oublié :mrgreen:

Demain ne Meurt Jamais - 5,5/10

MessagePosté: Lun 14 Jan 2013, 10:10
par francesco34
Demain ne meurt jamais
de Roger Spottiswoode (1997)

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Brosnan enchaine les Bond presque aussi vite que Sean Connery. Cet épisode, le 18ème de la série déjà, a un pitch de départ assez séduisant, mais un scénario trop mal écrit qui le ruine quelque peu. L'idée de base était sympathique: un magnat de la presse mégalo et narcissique cherche à provoquer un conflit afin de pouvoir faire de l'audimat, et fomente un coup d'état en Chine pour rafler l'énorme marché qu'elle représente, rien que ça!
Hélas le script n'est pas vraiment à la hauteur de son idée, et part dans des élucubrations et péripéties trop grossières pour rester solide: genre le magnat fait annoncer les nouvelles avant que ça se produise, comme la mort de sa femme dans la chambre d'hôtel de Bond, en stipulant que la police a déjà trouvé le corps et que le légiste est déjà en cours d'examen… faudrait pas longtemps à un enquêteur pour deviner qu’il y a problème si la news a été diffusée 1h avant qu’ils arrivent sur place ! Le trait est du coup trop forci, ça aurait gagné à rester un peu plus crédible dans le déroulement.
Niveau gadgets, certes marque de fabrique de la série, on s'enfonce avec les Brosnan de plus en plus dans le délire. Ici c’est son mobile qui fait tout, ouvre les portes, les coffres, scanne les empreintes, etc… Trop plein de gadgets avec la poursuite en voiture qu’il conduit depuis son mobile, avec chaque truc utile lors de la poursuite, genre une cisaille pour couper un cable en acier tendu devant la voiture : comment prévoir un truc pareil ?
Les scènes d'action s'enchainent (ça mitraille beaucoup dans cet épisode) et sont inégale. La séquence prégénérique est rondement menée, sur un marché d'armes terroriste, très efficace. Et puis les scènes avec Michelle Yeoh sont bien. Y'a pas à dire, Michelle elle a la classe, et elle a toujours un sacré coup de tatane. La poursuite en moto lorsqu'elle est menottée à Bond est bien fichue, et leur duo final dans le navire furtif de Carver (Jonathan Pryce) s'avère assez séduisant. Du coup il ressort quand même quelques bons côtés au film malgré son script trop approximatif.
Brosnan se la joue toujours cool et séducteur, il est meilleur que Moore, mais je préférais quand même Dalton ou Connery y'a pas à tortiller. Et puis Jonathan Pryce en magnat de presse cabotine à outrance (bon c'est le personnage qui veut ça aussi peut-être).
Et puis pour un film qui dénonce les dérives de la presse et la toute puissance de certains médias aux mains de grands groupes, c'est paradoxalement celui où on commence à faire les placements publicitaires les plus grossiers et visibles. Y'a des scènes on dirait des spots de pubs.

Finalement je préfère cet épisode à Goldeneye (c'était le contraire dans mes souvenirs avant de les revoir), surtout grâce à Michelle Yeoh et quelques séquences plutôt sympas. M'enfin ça reste léger vis à vis des meilleurs opus de la série.

5.5/10

007 n°1: James Bond contre Dr No (Terence Young) : 6/10
007 n°2: Bons baisers de Russie (Terence Young) : 7.5/10
007 n°3: Goldfinger (Guy Hamilton) : 8/10
007 n°4: Opération Tonnerre (Terence Young) : 6.5/10
007 n°5: On ne vit que deux fois (Lewis Gilbert) : 6.5/10
007 n°6: Au service secret de sa Majesté (Peter Hunt) : 7.5/10
007 n°7: Les diamants sont éternels (Guy Hamilton) : 5.5/10
007 n°8: Vivre et laisser mourir (Guy Hamilton) : 3/10
007 n°9: L'homme au pistolet d'or (Guy Hamilton) : 3.5/10
007 n°10: L'espion qui m'aimait (Lewis Gilbert) : 5.5/10
007 n°11: Moonraker (Lewis Gilbert) : 3.5/10
007 n°12: Rien que pour vos yeux (John Glen) : 7.5/10
007 n°13: Octopussy (John Glen) : 5/10
007 n°14: Dangereusement vôtre (John Glen) : 4.5/10
007 n°15: Tuer n'est pas jouer (John Glen) : 7/10
007 n°16: Permis de tuer (John Glen) : 8/10
007 n°17: Goldeneye (Martin Campbell) : 4/10

Monde ne suffit pas (Le) - 6,5/10

MessagePosté: Lun 14 Jan 2013, 10:32
par francesco34
Le monde ne suffit pas
de Michael Apted (1999)

Image

Dernier Bond du 20ème siècle, avec sa devise familiale pour titre, ce 19ème épisode est le meilleur des 4 Brosnan sans être fabuleux pour autant.
On commence le film par un record, celui de la séquence prégénérique la plus longue. Après deux introductions de 10 et 9 minutes sur les deux précédents, on porte ici la barre à quasiment 14 minutes. La scène est d'ailleurs plutôt sympa avec une poursuite en bateau sur la Tamise, assez rare que l’action de 007 se passe en Angleterre.
Q se fait vieux et introduit un remplaçant joué par John Cleese, assez bouffon. Heureusement ça ne dure qu’une minute. Mais c'est la dernière apparition du mythique Desmond Llewelyn, qui mourra peu de temps après.
Quand je disais que Judi Dench depuis son apparition dans le rôle inspirait les scénaristes: preuve ici où M a son rôle le plus important depuis le début de la série (sans compter Skyfall bien sûr). Elle est non seulement impliquée directement dans l'affaire, mais se rend sur le terrain et sera kidnappée et secourue par 007. Une première pour ce personnage qui s'étoffe de plus en plus et bonifie le background général de la série.
Niveau scénario on tient là un épisode bien mieux écrit que les 2 précédents, avec moins d'invraisemblances ou de blancs dans le déroulement (même si ça reste du Bond faut pas déconner: y'a toujours des vols d'armes nucléaires).
Mais le centre d'intérêt pour nous Français, c'est surtout la présence de Sophie Marceau qu'on aurait jamais imaginé dans cette franchise, et qui hérite d'un personnage très intéressant, fragile en apparence, retorse et manipulatrice, mais aussi victime et esclave de Renard (Robert Carlyle) qui l’a kidnappée et façonnée. Elle s'en tire pas mal. En tout cas meilleure actrice que l'autre JBG du film, Denise Richards, jamais crédible en physicienne nucléaire, mais super bombasse...
La grande scène d'action finale est plutôt prenante, dans un sous-marin en train de sombrer à la verticale, et globalement les scènes d'action du film sont pas trop mal emballées (Bon attention, c'est Apted quand même, pas John Woo, mais c'est honnête).
Et puis y'a LA scène marquante du film (et qui détonne dans la saga), où Bond tue de sang-froid une femme: ça surprend, surtout avec Brosnan (ça aurait moins surpris avec Dalton).

6.5/10

007 n°1: James Bond contre Dr No (Terence Young) : 6/10
007 n°2: Bons baisers de Russie (Terence Young) : 7.5/10
007 n°3: Goldfinger (Guy Hamilton) : 8/10
007 n°4: Opération Tonnerre (Terence Young) : 6.5/10
007 n°5: On ne vit que deux fois (Lewis Gilbert) : 6.5/10
007 n°6: Au service secret de sa Majesté (Peter Hunt) : 7.5/10
007 n°7: Les diamants sont éternels (Guy Hamilton) : 5.5/10
007 n°8: Vivre et laisser mourir (Guy Hamilton) : 3/10
007 n°9: L'homme au pistolet d'or (Guy Hamilton) : 3.5/10
007 n°10: L'espion qui m'aimait (Lewis Gilbert) : 5.5/10
007 n°11: Moonraker (Lewis Gilbert) : 3.5/10
007 n°12: Rien que pour vos yeux (John Glen) : 7.5/10
007 n°13: Octopussy (John Glen) : 5/10
007 n°14: Dangereusement vôtre (John Glen) : 4.5/10
007 n°15: Tuer n'est pas jouer (John Glen) : 7/10
007 n°16: Permis de tuer (John Glen) : 8/10
007 n°17: Goldeneye (Martin Campbell) : 4/10
007 n°18: Demain ne meurt jamais (Roger Spottiswoode) : 5.5/10

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Lun 14 Jan 2013, 13:31
par Scalp
Oula t'es super généreux là.

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Lun 14 Jan 2013, 15:48
par francesco34
Oui je vois que tu l'aimes pas plus que les autres là... pour ma part je le trouve pas si nul, enfin pour du Brosnan quoi :eheh:

Meurs un autre jour - 3/10

MessagePosté: Lun 14 Jan 2013, 16:02
par francesco34
Meurs un autre jour
de Lee Tamahori (2002)

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20ème Bond qui se fête avec un des pires épisodes de la série. Le genre d'opus où on a envie de dire "il serait temps que ça s'arrête". Pourtant la première moitié du film laissait présager quelque chose de bien.
On ouvre sur la traditionnelle séquence prégénérique: Point break sur la Corée du nord, envahie par 3 surfers dont 007. Passé ce détail idiot, la scène devient plutôt sympa avec une poursuite en hovercrafts à la clé. 13 min, soit les 4 plus longues séquences prégénériques sur les 4 Brosnan, il aura au moins légué quelque chose à la série... En plus elle se termine de façon très inédite, par la capture de Bond en Corée du Nord et sa torture… tortures qui se poursuivent en fond sur le générique (avec la plus laide chanson de la saga, celle de Madonna).
On retrouve Bond 14 mois plus tard, emprisonné, barbu, avec une sale tignasse, où il recouvre la liberté suite à un échange de prisonniers.
Toute l’entrée en matière est assez sombre pour du Brosnan, on croit qu’il a parlé et trahi, M lui retire son double zéro (et toujours aussi amicale lui dit qu’elle aurait préféré qu’on le laisse crever dans les geôles nord coréennes, et lui repoche de ne pas avoir utiliser son cyanure !). Bond sous le choc qui cauchemarde sur son emprisonnement et ses tortures.
On a donc Bond pour la 2nde fois depuis Permis de Tuer, hors MI6 et mission officielle en mode vengeance, à la recherche du mec qui l’a balancé. Toute la première heure est vraiment sympa, avec la rencontre de Halle Berry à Cuba, et le duel à l’épée qui dégénère dans un club select de Londres entre 007 et le badguy Gustav Graves (Toby Stephens).
Au bout d’une heure, dès que Bond réintègre le MI6, ça part en couille… Ca commence avec un des trucs les plus débiles de l’histoire de la saga, un simulateur de combat virtuel tellement réaliste que leurs images de synthèses relèvent de la SF la plus délirante (et qui clôt le film sur un gag débile, avec Moneypenny qui fantasme se taper Bond – genre le simulateur de combat est programmé pour des relations de ce style…). Rayon SF, en plus des gadgets habituels qui seront pile poils les gadgets utiles lors de la mission, voilà le 2ème truc le plus débile de l’histoire de la série : la voiture invisible. Seul réconfort, on revient à l’Aston Martin après les 2 pubs pour BMW.
Presque toutes les scènes deviennent grotesques, comme une bagarre entre Bond et un gros type au milieu de faisceaux lasers qui dansent la samba. C’est bourré d’effets spéciaux très laids, la palme revenant à une scène de kite-surf hideuse. Et un final d’un ridicule consternant dans un avion…
Et un truc qui commence à m’exaspérer dans tous ces films (pas que les Bond) c’est la facilité avec laquelle les gars se font assomer. Y’a un passage où Halle Berry fout juste un petit crochet dans la machoire à un type et il est assommé direct (ça aurait été Tyson j’dis pas, mais là c’est abusé).
Au rayon des trucs agaçants, y'a les effets de style répétitifs de Tamahori, avec ces passages en accéléré/ralenti qui vieillissent très mal puisqu’aujourd’hui on les croirait sortis d’un épisode de NCIS.

Sur la première moitié j'aurais pu lâcher un 6/10, mais je fous un 0 à la deuxième. Je ferai donc la moyenne...

3/10

007 n°1: James Bond contre Dr No (Terence Young) : 6/10
007 n°2: Bons baisers de Russie (Terence Young) : 7.5/10
007 n°3: Goldfinger (Guy Hamilton) : 8/10
007 n°4: Opération Tonnerre (Terence Young) : 6.5/10
007 n°5: On ne vit que deux fois (Lewis Gilbert) : 6.5/10
007 n°6: Au service secret de sa Majesté (Peter Hunt) : 7.5/10
007 n°7: Les diamants sont éternels (Guy Hamilton) : 5.5/10
007 n°8: Vivre et laisser mourir (Guy Hamilton) : 3/10
007 n°9: L'homme au pistolet d'or (Guy Hamilton) : 3.5/10
007 n°10: L'espion qui m'aimait (Lewis Gilbert) : 5.5/10
007 n°11: Moonraker (Lewis Gilbert) : 3.5/10
007 n°12: Rien que pour vos yeux (John Glen) : 7.5/10
007 n°13: Octopussy (John Glen) : 5/10
007 n°14: Dangereusement vôtre (John Glen) : 4.5/10
007 n°15: Tuer n'est pas jouer (John Glen) : 7/10
007 n°16: Permis de tuer (John Glen) : 8/10
007 n°17: Goldeneye (Martin Campbell) : 4/10
007 n°18: Demain ne meurt jamais (Roger Spottiswoode) : 5.5/10
007 n°19: Le monde ne suffit pas (Michael Apted) : 6.5/10

Re: [francesco] Mes critiques en 2013

MessagePosté: Lun 14 Jan 2013, 17:04
par zack_
Clair que la partie de surf sur la vague entre la glace est grossière :eheh: