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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Lun 19 Aoû 2013, 18:21
par Mark Chopper
Pour moi, 0,5/10, pas plus.

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Lun 19 Aoû 2013, 18:41
par Heatmann
Scalp a écrit:Non mais Heat tu peux mieux faire que me sortir le dossier Wild Wild West quand même, en cherchant bien tu peux trouver quelque chose de plus pertinent.


ben c'est pertinent comme Www VS lone ranger :mrgreen: voila tout . pis depuis quand tu te formalise pour une petite pique comme ca

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Lun 19 Aoû 2013, 18:49
par Scalp
Ah non je formalise pas, je dis juste que j'attends mieux de ta part.

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Lun 19 Aoû 2013, 21:55
par Waylander
Scalp a écrit:Je préfère Pearl Harbor à Titanic :mrgreen:



Là t’abuses. Pearl Harbor c'est super bien foutu mais alors putain vllà le scénr , l'acting et les personnages creux et désincarnés ô possible.

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Lun 19 Aoû 2013, 22:20
par zack_
La relation amoureuse de Titanic est bien plus puissante que le trio pas fiable dans leur relation de Peaul Harbor. Autant Titanic la liaison est utile et bien amenée autant dans Pearl Harbor on aurait pu s'en passé, et se faire mettre une claque par la partie "attack & revenge"

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mar 20 Aoû 2013, 00:04
par osorojo
Vous battez pas, les deux sont pompeux.

Voila ! Me remerciez pas :mrgreen:

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mar 20 Aoû 2013, 00:26
par Maïa
Dans Titanic mon personnage préféré est le iceberg.

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mar 20 Aoû 2013, 00:29
par osorojo
Ah ue, moi c'est l'hélice ! Le bong salvateur du mec qui se la prend de plein fouet remet un petit coup de peps salvateur au film qui s'enlisait dans la guimauve à ce moment précis. Mon seul regret, que Jack eut été du bon côté de la barrière à ce moment :mrgreen:

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mar 20 Aoû 2013, 08:05
par Scalp
Oso, tu révèles ta vraie nature.

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mar 20 Aoû 2013, 09:26
par osorojo
J'suis un bisounours insensible © ouais :mrgreen:

Espion qui m'aimait (L') - 6/10

MessagePosté: Mar 20 Aoû 2013, 22:53
par Alegas
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The Spy who loved me (L'Espion qui m'aimait) de Lewis Gilbert

(1977)


Le premier (et seul ?) bon épisode de la saga avec Roger Moore. La première chose qui choque avec The Spy who loved me, c'est bien entendu sa filiation avec You only live twice. Même réalisateur, plus ou moins la même intrigue (il faut savoir que Blofeld était censé être le bad guy, mais qu'il n'a pas pu être utilisé pour des problèmes de droits), climax final similaire, etc... Et pourtant, le film est quand même bien supérieur au Connery, et c'est véritablement le premier Roger Moore qui se prend un minimum au sérieux. On commence donc avec une introduction assez spéciale, puisqu'elle se concentre en grande partie sur un alter-ego féminin russe de Bond, pour ensuite finir sur une poursuite à ski loin d'être ultime mais franchement efficace. Le seul défaut est la bande-son aux accents disco que l'on peut percevoir et qui accompagneront une bonne partie du métrage, certes les compositions de Barry commençaient à se répéter, mais là on entre dans la grosse faute de goût (comme la chanson-titre, encore une fois oubliée juste après vision) et je ne parle même pas de la citation à Lawrence of Arabia qui est totalement hors-propos.Le film est aussi l'apparition d'un sous-fifre emblématique en la personne de Jaws. Un bad-guy pas forcément ce qu'il y a de plus charismatique, mais contrairement à beaucoup d'autres il sait donner du fil à retordre à Bond.

Là où le film devient vraiment intéressant, c'est dans sa relation avec la James Bond Girl, qui apporte une sorte de concurrence amicale qui permet à Bond de s'humaniser le temps de quelques instants et surtout de créer une véritable complicité vache entre les deux agents, notamment dans la séquence en Égypte. Si du côté de la menace, on est loin d'avoir ce qu'il y a de mieux dans la saga (malgré quelques scènes délectables comme la mort de scientifiques sur fond de musique classique), c'est tout de même parmi ce que l'on a de plus convaincant dans la période Roger Moore, et puis cela donne un climax d'ampleur bien plus intéressant que celui dans le Connery, là au moins il y a une véritable tension concernant les enjeux. Clairement le James Bond période Roger Moore le plus recommandable, la seule bonne contribution de Lewis Gilbert à la saga (même les courses-poursuites sont plutôt bien torchées), et il est vraiment dommage de constater que la suite ne prendra pas exemple sur le virage plus sérieux de cet opus.


NOTE : 6/10

Lone ranger (The) - 4,5/10

MessagePosté: Mer 21 Aoû 2013, 16:28
par Alegas
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The Lone Ranger (Lone Ranger, Naissance d'un héros) de Gore Verbinski

(2013)


Sacrément déçu sur ce coup là. Alors autant je n'attendais clairement pas le film de l'année ou même le blockbuster de l'été, mais j'en attendais quand même un honnête divertissement, étant l'un de ceux ayant appréciés la trilogie originale de Pirates des Caraïbes et que trouve que Gore Verbinski est certes un yes-man, mais un yes-man compétent et qui livre souvent la marchandise que l'on attend de lui. Du coup, je tombe quand même de haut face à ce film qui, que ce soit dans la façon dont il est vendu ou dans ses intentions, se pose comme une sorte de Pirates des Caraïbes au western, avec cette même alchimie entre grande aventure et humour grand public, sauf que cette fois le mélange ne prend clairement pas. Mais clairement, là où le film perd énormément de points, c'est tout simplement dans la comparaison des films précédents de Verbinski. Car on pouvait reprocher bien des choses à la trilogie Pirates des Caraïbes, mais elle avait le mérite d'offrir le divertissement attendu, et plutôt bien torché en prime. Ici, on se retrouve avec la même problématique qu'un certain John Carter, à savoir un film le cul entre deux chaises, ne sachant pas choisir entre le sérieux de la mise en place de tout un univers intéressant et les concessions faites auprès d'un studio comme Disney. En résulte donc, comme John Carter, un film à la rythmique jamais soutenue, avec tout un milieu de métrage qui tente vainement de captiver son spectateur, une violence présente mais forcément ridiculisée derrière par un humour bas de gamme histoire d'élargir un peu le public et surtout de rembourses le gros budget placé sur le métrage. Et autant dans le film de Stanton, film ambitieux de SF au visuel créé de toutes pièces et au casting dénué de stars) on voyait où passait l'argent, autant ici on pense forcément que tout est passé dans les deux climax (qui, manque de bol, se ressemble beaucoup trop) ainsi que dans le cachet de Johnny Depp et Helena Bonham Carter.

Mais là encore, ce n'est pas ce qui fait le plus mal au film, c'est plutôt en se souvenant tout simplement du film précédent de Verbinski : Rango. Le film d'animation montrait un réel hommage au western derrière l'apparence parodique, et on tombe clairement de haut quand on s'aperçoit que Lone Ranger, western d'aventure live, se révèle être nettement moins inspiré, que ce soit visuellement, scénaristiquement ou thématiquement (car autant la citation au chef-d’œuvre de Sergio Leone est louable, autant ici ça paraît vraiment être le western pour les nuls, cela fait des décennies que le public a compris que le chemin de fer signifiait la mort du Grand Ouest et de toute une époque, et puis le coup de Wilkinson en bad guy c'est le retournement de situation le plus prévisible que j'ai pu voir au cinéma depuis bien longtemps). Reste donc les deux climax rarement impressionnants mais divertissants, des décors naturels sublimes ou encore un casting en demi-teinte (Depp fait du Depp, Hammer est bien fade, Pepper est ridicule, seuls Helena Bonham Carter et William Fichtner s'en sortent plutôt bien), c'est quand même bien peu de la part d'un film qui, certes, ne mérite pas totalement son échec financier, mais qui n'en fait pas n film incompris du grand public pour autant.


NOTE : 4,5/10

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mer 21 Aoû 2013, 16:59
par Dunandan
C'est marrant, je suis presque d'accord avec tous les défauts que tu soulignes, sauf qu'au final j'ai relativement bien aimé :mrgreen:

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mer 21 Aoû 2013, 17:19
par Alegas
Bah après je peux tout à fait comprendre qu'on y trouve son compte. Genre le 8 de Heatmann ça me surprend évidemment mais j'irais pas jusqu'à dire comme Scalp que c'est la bouse de l'année, le film a quand même des qualités et moi ce que je lui reproche le plus c'est davantage son côté bancal pour un si gros budget.

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

MessagePosté: Mer 21 Aoû 2013, 18:39
par osorojo
Perso, ce que je lui reproche, c'est surtout de durer deux LONGUES heures et demie sans avoir rien à raconter. Je me suis vraiment ennuyé alors que je suis allé en salle avec la banane, et l'envie d'en prendre plein la tronche.

Donc du coup, d'accord avec ce que t'en dis et pareil que toi, je peux comprendre aisément qu'on y trouve son compte, même si le film est à mon sens vraiment super creux, alors qu'il essaye de se faire passer pour une oeuvre un peu complexe et très écrite, ce qu'il n'est pas.