BE KIND, REVIEW!

Découvrir les épisodes au fur et à mesure était une bonne chose, ça donnait le temps de digérer, de rêver à ce qu'on avait vu et de réfléchir à ce qui allait arriver. Aucun problème de rythme en ce qui me concerne. Impression au contraire que chaque épisode passait trop vite.
Et oui, Dougie c'est du pur bonheur, une vraie création. Il touche mille fois plus juste dans sa drôlerie involontaire, dans les situations qu'il provoque, que les pesantes tentatives de décalages humoristiques de la saison 2.

Val a écrit:Pourtant, découvrir cette œuvre totalement inclassable, inespérée et unique au fur et à mesure fût une sacrée expérience, une des plus stimulantes de la décennie.

On ne regarde pas un "film" en plusieurs fois

Val a écrit:

Alegas a écrit: Bien content du coup de découvrir cette saison avec la totalité des épisodes à disposition.

Pourtant, découvrir cette œuvre totalement inclassable, inespérée et unique au fur et à mesure fût une sacrée expérience, une des plus stimulantes de la décennie.
Depuis, difficile de ne pas se sentir un peu orphelin.

+1 team bûcherons jusqu'au bout.

S03E07 :

Pas grand chose à dire de nouveau : Dougie est toujours un plaisir à suivre (l'épisode a le mérite de ne pas trop se concentrer sur lui et de donner une scène qui casse avec le rythme lent : la rencontre avec le nain) et l'histoire a l'air de s'emballer du côté de l'enquête, que ce soit côté FBI (super incarnation de Diana, et je pense que ça doit beaucoup à Laura Dern, ça n'aurait sûrement pas fonctionné avec une autre actrice) que du côté Twin Peaks (les pages manquantes du journal, enfin !).
Sinon, je crois que je tombe amoureux de la nana qui bosse dans le boîte de Dougie.

On approche...

Il va aimer, il est dans le bon mood. Tu vas être déçu

@Alegas : tu pourrais faire une cap de la nana dont tu parles, je crois que je l'aimais bien aussi

Got a light....

osorojo a écrit:@Alegas : tu pourrais faire une cap de la nana dont tu parles, je crois que je l'aimais bien aussi

C'est celle qui lui permet d'aller aux toilettes des femmes :

osorojo a écrit:Il va aimer, il est dans le bon mood.

Si c'est le cas, je l'inviterai à revoir INLAND EMPIRE et à poser son 10.

J'adore The Return (et son épisode 8 évidemment) et je n'aime pas du tout INLAND EMPIRE donc rien à voir.

Attends l'édition 4K de INLAND EMPIRE pour que la mocheté de cette branlette filmique ressorte mieux.

Ceci dit, je dois avouer que mon amour grandissant pour Lynch cette année (revision à la hausse de Elephant Man et Twin Peaks, découverte de Fire walk with me et Une histoire vraie) m'a donné envie de revoir les oeuvres avec lesquelles je l'ai découvert et où je n'avais pas trop apprécié : Blue Velvet et Sailor et Lula.
A voir si ces deux films vont être des redécouvertes, mais si c'était le cas j'envisagerais peut-être de donner une seconde chance à Inland Empire.

J'ai jamais vu Inland Empire mais j'ai déjà entraperçu le truc. C'est pas la facette de Lynch que je préfère. Mais j'aime beaucoup The Return (comme Val je vois pas trop le rapport -a priori).

Le rapport avec l'épisode 8 me semble évident : branlette cosmique pour Cahiers du cinéma. Nawak total.

Mark Chopper a écrit:Le rapport avec l'épisode 8 me semble évident : branlette cosmique pour Cahiers du cinéma. Nawak total.

À moi, c'est plutôt cette assertion définitive qui me semble cosmique. Il s'est passé quelque chose de grave durant ton visionnage de l'épisode ?