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Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta

MessagePosté: Jeu 12 Oct 2017, 18:32
par Val
Avec un peu de chance, il fera partie de la sélection du Black Friday. Du coup, je craquerais peut-être, pour découvrir la série.

Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta

MessagePosté: Sam 28 Sep 2019, 19:38
par Waylander
Un livre d'analyses etc.. est prévu chez THIRD EDITIONS pour Février 2020.

Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta

MessagePosté: Sam 28 Sep 2019, 20:12
par maltese
Il y a un livre co-écrit par Pacôme Thiellement prévu pour le 14 octobre également.

Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta

MessagePosté: Sam 28 Sep 2019, 20:53
par lvri
Excellentes nouvelles ! :super:
Ce sera l'occasion de se replonger dans cette superbe série !

Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta [HBO]

MessagePosté: Lun 07 Mar 2022, 15:02
par padri18
Deuxième visionnage pour montrer à madame. Et j'ai quand même encore bien pris mon pied. Mieux encore, je pense que j'ai mieux digéré le final.
Car ce coup-ci, j'étais plus investi dans la relation Kevin/Nora que dans l'apocalypse promise en dernière saison.
Bon je reste toujours pas fana de certaines storylines de la première saison (tout ce qui gravite autour de Tom et Wayne quoi) mais sinon c'est vraiment du gros qualitatif.

Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta [HBO]

MessagePosté: Lun 07 Mar 2022, 16:21
par Dionycos
La série se cherchait un peu sur la première moitié de la saison 1, c'est assez flagrant, et il me semble d'ailleurs que Lindelof lui-même l'a avoué. Hormis le pilot et l'épisode centré sur Matt, le début de la série se perd un peu au démarrage, mais ça prend son envol à la mi-saison avec le premier épisode sur Nora, pour ne plus jamais perdre en qualité ensuite.

Re: THE LEFTOVERS de Damon Lindelof & Tom Perrotta [HBO]

MessagePosté: Lun 07 Mar 2022, 20:05
par Mr Jack
La série devient ce qu'elle est au moment où Nora fait un calin à Wayne. Là on a tout le pouvoir émotionnel de Lindelof à l'écriture à son paroxysme. Et comme tu dis, Dio, ça retombe plus jamais jusqu'à la fin.