BE KIND, REVIEW!

logan a écrit:Je confirme la soeur c'est perso le plus casse couille ever, tout genre confondu, tout univers, toute galaxy, tout quoi.

Et encore, je te trouve tendre ! C'est bien pire que ça !

Ouais enfin, elle a un rôle secondaire dans la saison 2 et elle fait de la figuration dans la suite donc rien de très gênant.

logan a écrit:Je confirme la soeur c'est perso le plus casse couille ever, tout genre confondu, tout univers, toute galaxy, tout quoi.

Pire que la femme ou la belle-soeur de Walter White ?

Mark Chopper a écrit:

logan a écrit:Je confirme la soeur c'est perso le plus casse couille ever, tout genre confondu, tout univers, toute galaxy, tout quoi.

Pire que la femme ou la belle-soeur de Walter White ?

Putain pire que les deux réunies même, sérieux la famille de Walter White c'est les Bahamas à côté.

Elle est encore pire qu'un Waylander à sa troisième page sur le métissage des pingouins.

Alegas a écrit:

Mr Jack a écrit:Allen Coulter à la réal

Ah bah tu vois j'avais même pas capté que c'était lui à la réal. J'aime beaucoup le travail de ce mec. Que ce soit SFU, Luck ou Rome il fait toujours des épisodes très soignés formellement.
Et puis j'aime vraiment son Remember Me. Dommage qu'il ne fasse plus de long depuis.

Pas vu Remember Me, tiens

Mais oui la soeur c'est pire que les deux gourdes de BB parce qu'elle surpasse l'antipathie, elle est vicieuse, opportuniste, cynique, c'est le reflet de sa conne de mère et celui du mauvais côté de l'Amérique, finalement.

Bon je retente le coup, et comme la première fois, je trouve la mise en place assez laborieuse. Après 2 épisodes, je sens le potentiel, mais la série ne développe pas vraiment d’intrigue interessante pour le moment, et surtout, elle ne pavient pas à me faire apprécier le moindre pesonnage. Je vais quand même continuer cette fois, au moins la saison 1 entiere pour donner une chance à la série de me convaincre.

Les premiers épisodes ne représentent pas la série. Pousse jusque fin de la saison 1, tu verras que ton avis changera complètement (et il changera même avant).

Rien que l'épisode centré sur Tony et la balance qu'il croit avoir détecté en allant juste emmener sa fille pour un entretien pour aller a l'université en pleine cambrousse, c'est un des meilleurs épisodes de série télé ever.

D'ailleurs, tu as avancé Alegas ?

J'ai fini la saison 2, j'adore toujours autant.

(Et effectivement la sœur en tient une sacrée couche)

J'ai très envie de continuer mais là je suis en plein déménagement et je dois me passer de mon home-cinéma. Dès qu'il est réinstallé je reprend le show.

Lentement mais surement, la série prend son envol. J''en suis à 4 épisodes, et ça commence enfin à m'intéresser. J'ai toujours ce problème de gros manque de sympathie pour un grand nombre de personnages, mais Tony, lui, commence enfin à me plaire. Mes passages préférés sont les séances chez la psy, et de loin (je suis pas fan d'In Treatment pour rien). C'est très juste, jamais simpliste, ça évite parfaitement la psychologie de comptoir. Et le fait que Tony se serve de ses conseils pour ses affaires mafieuses, c'est assez fun

Ton «problème» de sympathie envers certains personnages devrait s'améliorer au fil des saisons .

Vraiment chouette l'épisode 5. C'est presque du stand-alone, mais la relation père-fille est excellente, le tout entrecoupé d'une traque d'un traitre à buter entre 2 visites d'universités
Et puis ça clarifie les choses sur l'implication ou non de la famille. Jusque là, je pigeais pas trop ce que la famille savait sur les activités de Tony. En gros, tout le monde sait, mais personne n'en parle.

Je poursuis mon visionnage. Saison 1 terminée, et saison 2 entamée (3 épisodes).
Je suis loin d'adorer comme d'autres grandes séries HBO (The Wire et SFU sont tellement au-dessus...), mais c'est quand même très bon, brillant dans ce que ça raconte sous la surface du récit de Mafiosi. Au fond, ce qui intéresse Chase, c'est de montrer le poids de la famille et de la tradition dans la construction d'un Homme d'aujourd'hui, et toutes les désillusions qui vont avec. Le choix du milieux mafieux offre en effet un superbe parallèle à la désillusion du rêve américain. Au fond, tout le monde se fait chier dans les Sopranos, et tous les personnages cherchent à casser la routine en tentant de retrouver l'image qu'ils se font de leur univers. Une image largement véhiculée et faussée par le cinéma (ils sont tous fans du Parrain).
A ce titre, la série est brillante, et le développement de Tony est passionnant.

Par contre, j'ai un peu à redire sur certains aspects de la série purement mafieuse. C'est pas toujours finaud dans l'écriture. Rien que dans la saison 1, je ne compte plus le nombre de fois où les enjeux reposaient sur "X fait des choses dans le dos de Y. Z est au courant des agissements de X, et finit sans le savoir par révéler les choses à Y, qui va ensuite foutre des bâtons dans les roues de X en faisant des choses dans son dos...". Bref, ça repose trop souvent sur cette ficelle assez facile du personnage un peu innocent qui finit par révéler des choses aux mauvaises personnes sans le savoir. Et c'est dommage car on finit rapidement par voir venir les choses. Dès que la gamin révèle à sa grand mère que Tony voit une psy (épisode 4 je crois), j'ai pigé l'enchainement en cascade que ça allait produire. Les derniers épisodes de la saison 1, aussi plaisants furent-ils, étaient totalement prévisibles depuis le début.
Aussi, j'ai un peu de mal avec le côté stand alone de certains épisodes et qui donne un côté un peu facile dans l'écriture. Pour finir de foutre la merde dans les relations entre les personnages, on introduit une nouvelle histoire et de nouveaux personnages dont on n'entendra plus parler à l'épisode suivant. Trop simple.

Pas de quoi gâcher le plaisir, mais ça m'empêche de totalement adorer le show.

Toujours dans mon visionnage, saison 2 terminée.
C'est toujours aussi plaisant, aussi passionnant dans ce que ça raconte sur la famille et le poids des traditions. Familles au pluriel d'ailleurs, la mafia étant une autre façon d'aborder le sujet.

Par contre, cette saison souffrait plus que jamais du côté one shot des épisodes. J'ai beau avoir aimé tous les épisodes, qui apportent tous quelque chose au tableau d'ensemble et à l'évolution des personnages, cette façon d'amener de nouvelles histoires et personnages secondaires à chaque épisode relève pour moi de la grosse facilité d'écriture. Il y a un manque flagrant de cohésion dans cette saison, et j'ai eu cette désagréable sensation que Chase et sa team se faisaient pas trop chier sur la construction de leur histoire. Ils ont clairement des choses à dire, et ils le font bien. Mais la manière qu'ils ont d'amener les choses laisse à désirer. Un coup on a un épisode sur des jeux d'argent, où on nous fait intervenir le père d'un ami de Meadow qui se met à flamber sur une partie, puis on nous propose un épisode à Naples (par ailleurs excellent), puis un épisode avec une agente de star hollywoodienne qui va émoustiller Chris et ses aspirations de scénariste, et ainsi de suite... Hormis la partie sur Pussy, la saison manque clairement de cohésion. Et aussi brillant soit le propos du show, je n'y vois pas de génie d'écriture tellement ces facilités me sautent aux yeux.

Du moins, cette remarque est valable pour la saison 2 (et un peu la saison 1). J'ai entamé la saison 3, et c'est du très lourd. Le bond qualitatif est flagrant sur les 4 premiers épisodes. Hâte de voir la suite.